Pour l'an prochain projet d'un cours au Collège de philosophie - s'il est accepté - à prévoir sur 12 séances, aussi le cours débuterait en décembre jsuqu'en janvier 2008, pour séances puis reprendrait de mars à juin. |
Le dernier cours exposait le rattage de Joyce et sa réparation. Ceci justifie l'orientation de définir une nouvelle clinique, c'est dit par Lacan, refaire la clinique freudienne. Il y a 4 strructures freudiennes du symptôme, le groupe névrose perversion qui sont des figures singulières,, plutôt du côté de la Culture qui est un produit de la Civilisation, soit une attitude du sujet , en rapport à la raison ..bien qu'aujourd'hui tout soit rabattu sur le culturel. Lire Léo Strauss qui en 1941 ecrit Nihilisme et Politique (édité dans la collection Rivage), Sur le nihilisme allemand .(Hobbes à Cambridge par comparaison) . Il s'agit du rejet de la civilisation industrielle destinée à produire de la jouissance. Détruire la civilisation industrielle pour retourner au Néant dans la peine, la douleur et les larmes. La raison non nihiliste a une préférence pour l'état
souverain. (Même Duras dira que sur la confiance à faire aux allemands après guerre et bien Non ! car il y a la question de l'hérédité ! Par comparaison les psychanalystes disent que leurs patients jouissent de leurs symptômes. Les deux autres figures du symptôme sont : la psychose
et la psychanalyse qui sont de l'ordre du discours, ou
de l'absence de discours. Le nihilisme a à voir avec la
psychose. Jean-michel Vappereau lui introduit le 4, comme suppléance freudienne pour résoudre le problème de l'Oedipe voir : Clinique du processus du noeud. Cela correspond aux entretiens préliminaires, ou il faut affronter quelque chose de l'ordre du rejet de la raison et depuis Freud la raison a bougé. la raison classique, grecque, est parallèle à la religion, la philosophie. Le nihilisme allemand n'a pas été perçu, vu. Léo Strauss situe le 20 eme siècle comme la fin d'un monde qui a commençé en 1517 et se termine avec Hitler. 1517 correspond aux thèses de Luther, à la réforme protestante. Dans l'ordre de la raison, notons que depuis 1975, depuis les nouveaux philosophes, il y a rejet de la structure et l'on recherche les causes dans l'histoire, ça aboutit à la chutre du mur de Berlin. En 1974/1975, Lacan refait la clinique avec Joyce et Freud loin du monde sans limite de Ch Melman et de Milner qui dans l'Oeuvre au claire indique que Koyré ne pourrait pas introduire au doctrinal de science . (voir Koyré ??) Dans Goethe, dans le dialogue de Méphistos et de faust nous trouvons : Méprise la science ..et tu seras à ma merci. Dans l'Europe démocratique, capitaliste et scientifique, qui prévaut du sens de l'histoire ou de la raison ? I n'est pas évident que le séminaire le Sinthome soit sur Joyce et Feud. lacan en parle dès 1967 dans Proposition du 9 octobre 1967 (AE) : retirer l'Oedipe, et la psychnalyse en extention, dirai-je,devient tout entière justiciable du délire du président Schreber. Le noeud dans le rattage Schrébérien ne tient pas, Freud supplée au noeud Schrébérien en y nouant l'Oedipe ou réalité psychique. Freud répare le rattage Schrébérien. C'est la 2 eme leçon du Sinthome Nous avons les 5 croisement de Joyce, les 6 croisements du noeud borroméen et ces dessins incimplets posent la question du nouage à l'infini. Comment se ferme la droite à l'infini dans le discours de l'analyse : la droire infinie est un cercle, elle a fonction de trou,et se ferme par un point de compactification, c'est le refoulement originaire, c'est le troumatisme, c'est ce à quoi on ne pense pas car on est dedans. Avec humour, Lacan, la nomme la D.I, la droite infinie, y entendre
consonnant, le terme Dei, la gloire, le Di(eu)re, l'ennonciation.
Il faut poser que le dire est différent du dit ! Le fait de
dire reste oublié derrière ce qui se dit de ce qui s'entend
! C'est différent du référent en linguistique. La psychanalyse est trop difficile, elle n'est pas généralisable On est responsable de ce que l'on dit. Le Dieu dire fait trou dans le langage. Nous sommes traumatisé par le malentendu des parents ( Qu'on dise reste oublié derrière ce qui se dit dans ce qui s'entend) Pour le cercle de Vienne, le langage c'est la représentation du monde ! Les gens au quotidien sont dans le dit. La transparence fait trou, c'est la question de Dieu, la Dei, la D.I qui devient un athéisme tenable. Un homme a comme symptôme une femme. L'homme fait l'amour avec Dieu. La DI, la droite infin ça concerne les oreilles, ça
traverse le corps. Les Epiphanies sont des évènements de langue, des
paroles ou gestes ( dans Stéphen le héros), l'horloge
s'épiphanise. Nous trouvons aussi chez Jung ce phénomène
: le meuble craque et participe à la conversation . Pour Kant, ce sont les objets référents, c'est la sensation qui forme l'intuition qui elle forme la pensée. Mais tous oublient la lettre.Aussi fait-on des ronds ! des concepts .. Lacan crée un objet, l'objet a, c'est une lettre . Freud distingue des représentations de chose et des représentations de mots ! Qu'est lire : c'est le trait unaire, c'est pas écrit et pourtant c'est lisible ( Derrida parle lui d'écriture avant la lettre ! ce qui ne peut être). Il y a une lecture du trait non écrit. La lecture est du côté mathémata, c'est ce que l'on sait déjà. Ca se retrouve dans le dessin de Lacan. Joyce se trompe dans le nouage à l'infini . Dedalus est le fils nécessaire ....oreille zeugma .... S6 , le désir et son interprétation, leçon 22, et leçon 19, le ghost empoisonné par l'oreille , c'est le père d'Hamlet que celui-ci a dans l'oreille . Dans Jones, nous trouvons l'impatientce d'Hamlet d'Ella Scharp et la hâte. Jones a lu toute la littérature sur Hamlet pendant 300 ans !! (comme Joyce espère voir son oeuvre étudiée pendant 300 ans apr les universitaires) Lacan veut comme Jones sur Hamlet avoir tout lu sur Joyce . Dans la leçon 5, J Aubert prolonge le séminaire de J-Lacan en questionnant : Qu'est-ce qu'un père ? Que veut une femme ? Pour Joyce, il y a rattage du nouage, traduit dans une scène de violence Chapitre 2 du Portrait de l'artiste en jeune homme. L'ego de Joyce parait dans son art, son argueil !
Voir le débat dans Analytica sur l'ego ( imaginaire de sécurité !!?)
Einstein veut expliquer la matière et non pas construire
une bombe. Qu'est la fonction de l'ego ? Ego fort ou ego faible, ils sont fabriqués . En anglais le Ich est l'ego. Lacan lui introduit le sujet par le mathème, par la lettre. Le S est le Es freudien soit le Ca. C'est chez Nietchze que Freud trouve le Es freudien . (voir le Moi et le ça) Chez Joyce le corps glisse comme une pelure . L'Ics n'a rien à faire avec l'ignorance de son corps. On sait des choses qui relèvent du signifiant. L'ics de Freud c'est le rapport d'un corps étranger et de quelque chose qui fait cercle, c'est la D.I. la droite infinie. C'est plus que le corps propre. Le corps écrit pour vivre, il détourne les fonctions du corps selon l'Instance de la lettre. Descartes fait une géométrie pour faire une physique ....(machine, texte, déique) ..la lumière est un texte. Le cas Schréber
Solution Freud au cas Schreber : Dans RSI du 14-01-73, le 4eme rond est la réalité psychique, ou le symptôme ou l'oedipe et dans le cas Freud, sans Oedipe rien ne tient ! Dans Freud le Noeud est explicite, c'est l'Oedipe qui vient nouer les 3 dimensions (RSI) [ Malaise dans la civilisation - Freud - Puf, p91 : "...la participation de l'amour à la naissance de la conscience, et de l'inévitabilité fatale du sentiment de culpabilité. Il est donc exact que le fait de tuer le père, ou de s'en abstenir, n'est pas décisif; on doit nécessairement se sentir coupable dans les deux cas, car ce sentiment est l'expression du conflit d'ambivalence, de la lutte éternelle entre l'Eros et l'instinct de destruction ou de mort. Ce conflit s'alluma dès l'instant ou s'imposa aux hommes la tâche de vivre en commun. Tant que cette communauté connait uniquement la forme familiale, il se manifeste nécessairement dans le complexe d'Oedipe, institue la conscience et engendre le premier sentiment de culpabilité ...]
Le sujet bute surl'ombre de l'objet L'ombre c'est dans Kant, c'est le cercle de Viennes, via Chomsky,
où le langage est une représentation. On peut voir l'ombre de l'objet dans les objets modernes qui sont des textes réalisés. La réalité psychique comme l'Oedipe supplée aurattage de l'objet. Les objets sont 2, même et différents : Les objets sont même et différents. On a un corps, et le sujet l'habite de façon intinsèque
mais le corps peut être pris comme un objet de façon
extrinsèque. par exeple dans le miroir dans le champ scopique. Les sourds aussi savent que l'objet est 2. Car ce n'est pas un problème de signal physique. Le mot gateau est en français une patisserie et gato en espagnol est un chat. Nous avons à faire à 3 Instances : celle de la Lettre, celle du Signifiant, celle du Phonème ( pour ce dernier voir B de Courtney et Jakobson, 6 leçons sur le signe et le sens) Le rêve c'est pas un code. Un rêve de sortie de cure sera différent d'un rêve d'entrée (exemple le rêve d'entrée de la femme poursuivie par un athlète nègre qui a oublié son parapluie dans la salle d'attente ...le rêve de sortie sera le contraire...!) Distinguons le ça parle de la confession, la parole n'est pas de la magie ... Il ya du "on ne peut pas dire" et ça c'est le transfert, alors on peut peut être l'écrire, à partir d'une intuition ..mais il y a aussi du "on peut pas l'écrire " et ça c'est les mathèmes, c'est le Réel de l'écriture qui consonne avec la DI, mathématas, et ça c'est le sexe, c'est la nature, la phusis. Le passage du Sinthome au Symptôme, c'est celle du passage du latin à l'injection du grec dans la langue française, ce par le biais de la langue arabe qui servit alors de relais à la culture grecque pour être reprise dans la culture chretienne. Freud nous incite à faire de la philologie : L'écriture peut servir toute cause, et être un excellent styliste n'exclut pas d'ête une crapule (voir Céline) Aujourd'hui certain veulent apporter des garanties à la psychanalyse, et des écoles se forment sous la banière de la faculté de médecine ou sous celle de l'école normale .... hors il n'y a pas de garantie qu'une psychanalyse se fasse puisqu'elle ne peut être que sous la responsabilité de l'analysant et à ce jour seul Freud a produit une analyse ... L'analyse ne s'adresse pas aux fous, ni aux malades mentaux. Le sujet s'engage dans l'analyse et constitue son analyse.....
Quel est est le lien entre Freud-Oedipe et Joyce-Hamlet ? Le symptôme Feud et le Sinthome Joyce ont un lien avec le symptôme découvert par Marx Cervantès se moque de celui qui croit au Chevaliers de la table ronde, à cette époque on ne croit plus à la parole du ROi Artur, à la noblesse des ancêtres ....de ce refu est né le roman psychologique moderne.
Le cas Joyce - la chaine Joyce
Freud s'intéresse à l'hystérie et produit la psychanalyse . Les solutions que sont les névroses et les perversions, ça produit de la lettre, du détournement, c'est le drive, la dérive. Elles surmontent la mort, et le corps tient par ces métaphores constituées par la lettre. C'est aussi ce que font les enfants, ils réinventent la langue, car celle de leurs prédécesseurs, ça les fait chier !
Se référer à J Paris sur Hamlet Seuil 172
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