Cours de Jean-Michel Vappereau du 20-02-2007 < >

 

Nous avons abordé les diverses occurences de Joyce le symptôme à propos du Sinthome.
Lacan réserve pour son séminaire le mot Sinthome, ce qui a eu un effet de surprise.

Il y a diverses raisons d'appeler Joyce le symptôme, le Sinthome qui est une ancienne façon de l'écrire avant l'injection dans la langue-française latine du grec (en référence principalement au discours de la science dont les mots ont des racines grecques), et aussi en référence au Saint, voir à ce sujet la bibliographie du cours ! La référence principale en la matière semble être l'ouvrage de Peter Brown, la société et le sacré dans l'Antiquité tardive, p61 le saint homme, ...p185 Reliques et satut social au temps de grégoire de Tour; Points, Histoire H316.

[Le saint jouit d'une réputation acquise à force de travail, il a vaincu son corps par des prouesses de mortification, il a acquis un pouvoir sur les démons qui gouvernent le monde et ainsi peut ouvrir au laïc les portes du ciel. Le saint est le produit d'une société. Le corps du saint prend sa valeur comme relique. Le saint se caractérise par une vie ascétique.

Le saint apparait dans une société travaillée par une crise de l'autorité. La patronage rural qui réglait les troubles locaux vascille car il ne répond plus à la situation d'une société en expension, et de nouveau xintermédiaires remplacent ces hommes charnières esclaves des paysans que sont les patrons ou les conseils des anciens.

Le saint homme est un homme de pouvoir, de pouvoir en acte. Son pouvoir est stylisé, dans ses gestes, ses membres : la main ! et le miracle est la preuve de l'existence de ce pouvoir comme noyau caché et intengible.

Le SH (pour saint homme) intervient dans les cas de malédictions (très fréquentes en ces temps anciens) et leurs conséquences dan sle quotidien (maladie, récoltes..) ou d'exorcismes ou dans sun jeu libérateur, le SH démontre le pouvoir qu'il détient sur le démon. Pouvoir semblable à celui du chamane qui maitrise en les diagnostiquant les agressions non explicitent et les récriminations.

Le SH procure aux villes et village un sentiment d'identité, il est médiateur et organise la pénitence réconciliatrice.
Son rôle devient quasi judiciaire, ou de négociateur, médiateur , intermédiaire.
Le SH est un bon patron grand format.

Le SH n'est plus humain, il est devenu l'étranger par excellence, ceci par son comportement d'ascète, sa longue retraite dans le sésert, les rituels de dissociation, en cela il est étranger total.
Il se tient hors des attaches familiales et des lieux d'intérêts économiques. Le rejet de la nourriture valait comme rejet de tout liens de solidarité avaec la parenté et le village. Le saint ne doit rien à la société, il fuit lesfemes et les évèques car cela risquerait de la river à une place définie dans la société. Son pouvoir est une création purement personnelle. Son pouvoir lui vient d'un lieu extérieur à la race humaine (désert, règne animal). L'existence du SH est dûe au grand besoin dans la société d'un médiateur objectif, rôle qui ne peut être tenu que par un étranger, ordonné par la main de Dieu et non par un patriarche. Le SH peut ainsi rendre un arbitrage internationnal, et comme porteur de l'objectivité il remplace l'oracle. Oracle dont la parole va peu à peu s'éteindre.

Le SH a une position d'étranger sans être possédé par un dieu, il conserve intacte son identité

Un rituel de dissociation exigeant et théatral remplace la transe car cette dernière relève du démoniaque.
La société observe ainsi un homme forgeant une disssociation de son être par une vie entière d'ascétisme. Le SH, immobile, plaide devant le roi des rois, il a accès à l'intimité de Dieu et jouit de la liberté de parole (paresia : voir "Pouvoir et persuasion dans l'antiquité tardivede P Brown).
le SH est l'athlète du peuple qui indique le chemin de la vertu.

En quel lieu siège le pouvoir spirituel ? le locus !
La relique du mort martyr était le centre unique de grâce efficace, cette charge accumulée autour du saint se rertait aussi sur l'icone.

la guérison attendue se traduisait par une formulation et un résolution de la souffrance et du malheur.

- la guérison par l'exorcisme nécessite un agent guérisseur autorisé, l'isolation , l'extirpation de l'élément perturbateur, non sans usage d'un placebo porteur de la bénédiction du saint homme, pour cela on donne de l'eau, qui correspond au besoin du patient d'un agent unique de guérison

le SH comme un objet béni, sa posture rigide était un précipité des besoins insatisfaits d'une société désorientée et hautement compétitive. Le but était d'adapter un dieu distant aux besoins des hommes. Se desssine ainsi un professionnel dans un monde d'amateur, ému aux larmes et héritier des prophètes qui calmait l'angoisse sociale.

Le SH prône le renoncement ascétique au monde, le remède au péché est un renoncement total au monde, en découle pénitences, bénédictions, pardon des péchés.

La société antique doute sur le rôle du père, jugé distant, impressionnant contrairement aux éducateurs véritables (père nouricier, professeur de rhétorique renforçés par la mère..). Le Christ était alors vécu comme un précepteur. La promotion du père spirituel est la promotion d'un éducateur.

Le SH correspond au silence des oracle. Alors la bénédiction rend les amulettes inutiles, la parole du SH remplace les formules prophylactiques habituelle, la sagesse collective et les remèdes de bonne femme. Le SH est un homme plutôt qu'une femme. Le SH représente un grand pouvoir, celui du corps martyr porteur du surnaturel parmis les hommes .]

[Reliques et satut social au temps de Grégoir de Tour : la croyance aux reliques du IV eme siècle .

Cette époque est un monde de tombes, nombreuses cités dortoirs des morts autour des villes. Ces tombes figurent délivrance et guérison des aveugles, des estropiés, des possédés, des morts qui s'élancent vers une vie nouvelle sous la main étendue du Christ. Le coprs est dans la tombe, l'âme dans les étoiles !

Le message des tombes proclame que les âmes des morts reposent dans les étoiles, et elles disent vrai ! C'est ce qu'est fondamentalement une tombe avec ses reliques et ses restes humains, un locus (un lieu) où le ciel et la terre se rencontraient dans la personne du mort. Le genre de récompense qu'il a au ciel est montré sur la tombe, le pouvoir qui sort de la tombe leproclame vivant au paradis (virtus-pouvoir surnaturel et miraculum-événement merveilleurx).

grégoire réussit l'exploit de faire de la mort physique ce qui peut condenser toute la beauté et tout le rafinement de la vie de cette époque.

L'esthétique du IV eme siècle : visage rose et corps blanc (c'est le goût de Virgile).
la mort du Défunt Très Spécial n'entraine aucun de seffets constaté sur le chrétien ordinaire : sur la tombe d'un martyr, le smembres de notre groupe eurent les narines envahies par l'odeur des lys et des roses.

A la lecture des passions, des Souffrances, coincident de nombreuses guérisons, c'est le triomphe sur la souffrance et la désintégration, onrejouait eton résolvait cette souffrance. la guérison tient à une dissociation précise, d'un lien avec un objet sacré .

Le culte des saints est à relier au thème ancien de la quête du compagnon idéal, seul parent dont le choix fût libre, parenté de substitution.
Ainsi nait la valorisation de la reverentia, soit la focalisation de la croyance sur des objets précis, bien qu'invisibles, de ma,ière à créer des obligations par rapport à eux.

L'opposé de la Reverentia est la Rusticas qui équivaut à un mauvais comportement de paysan, une mauvaise éducation, un manque de tact ..au refu d'un surnaturel structurant. En ce temps la grille des obligations du système catholique s'étend à la société, mais à la ville pricipalement. La Rusticas restait l'apannage des campagnes .
D'un côté l'usage du signe de croix (prendre ses rêves au sérieux) , de l'autre celle de la moquerie (faire des gaffes). La Rusticas est un refu de voir le monde comme intelligible; la reverentia est la reconnaissance que le vie est intelligible. La vie devient ecplicable par cette bipolarisation en terme de pêché et de conséquence des pêchés. Le pêché devient la valeur sociale dominante, on établi une relation entre le pêché et la rétribution. La révérentia est entourée, cernée par la rusticas. La révérentia nécessitait de l'entretien, qui donnait le statut de la relqie et donc de la tombe des morts.

Le statut des reliques :

ce temps voit un grand mouvement des reliques des saints, il y a une grande circulation de ces trésors religiex.

Les possédés avait une faculté d'enregistrment si fine qu'ils déterminaient la date des fêtes, l'approche du saint. Leurs démons reconnaissaient les bonnes reliques, car les reliques n'ont pas d elangue, masi seulement il faut les interprêter.

La relique ou la fête est la pierre de touche des relations à l'intérieur d'une communauté (fragment d'os, lambeau de tenture de soie,cierge, flacon d'huile, mouchoir humide..)

la relqiue est une occasion de reconnaissance naturelle des pouvoirs de sainteté réciproques entre l'évêque et le saint candidat.

Si la relqie est un fragment opque, le saint lui est un compagnon idéal.

Le satut personnel, les meritas, dépendent d'un dialogue personnalisé avec de tels compagnaux idéaux.

le saint est un être humain particulier, dont les mérites sont placé en toute sécurité ddans l'autre monde. Les rests des reliques manifestent cette sécurité. Les mérites étaient des substances volatiles.

les mérites personnels sont procurés par le contact avec le surnaturel

La création du statu des dirigeants dépendait de l'opinion publique, de la richesse familiale, de la généalogie, de l'inscription dans le livre de Gallien (K Stroheker)

Aussi les évêques passaient leur temps à accumuler des faits plaidant contre la nature humaine.

Le saint, lui est sûr, il a traversé l'épreuve du emps. Et lamort du saint homme n'est que le début d'une longue hagiographie remplie d'acrimonie.

 

Il y a d'ailleur un texte du cours de JMV : Joyce-Hamlet et Freud-Oedipe, refaire la clinique freudienne à partir des manières de suppléer au ratages du noeud.

Pour Lacan Joyce est hystérique, il est le fils nécessaire déterminé par l'historiette d'Hamlet

JMV aborde les divers objets topologiques dans le séminaire le Sinthome .

à la 2 eme leçon : nous avons une présentation du noeud bo à 5 croisements (p24 afi elect) plus la présentation des droites parallèles (p25 afi elect) ainsi que la sphère armillaire.


fig 21 Afi papier du 09-12-1975

à la 3 eme leçon; puis la 8eme leçon reprend la sphère armillaire, le bo à 5 croisements ..;

Nous partons de la leçon 2 :
  Pourquoi Lacan montre-t-il ce dessin qu'il met en relation à Joyce et l'hystérie ?

"l'efficace propre du langage et qui se supporte du trou de cette fonction dans le Réel ..il y repose tout entier sur l'équivalence d'une droite infinie avec un cercle " (p 23 afi elec)

Dans La troisième (31-10-74) à partir du rond SIR (fig 3) puis le Triskel, puis la sphère armillaire

(figures de la troisième de J Lacan)

dans le Sinthome Leçon2, nous trouvons le pasage du 3 au 4 (DI et trou réel dans le langage)

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Cette croix aux trois branches spiralées pour certains représente l'eau, la terre, le feu, principes de base de toute forme de vie, elle remonte à l'ère celtique: c'est le Triskell, Son nom vient du grec "triskeles" qui veut dire à trois jambes. A l'origine ce devait �tre un symbole solaire. Cette croix a été découverte dans les iles britanniques, au Danemark et  sur le nouveau continent en particulier en France en Bretagne dans le Finist�re,  sur des pi�ces de monnaies datant de cette �poque..
Le cercle entourant la croix Latine est un apport 'Celte' ou Gaélique.
Ce type de croix est trs fréquent en Irlande et en Bretagne du Finistère.

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Lacan ferait le séminaire le Sinthome sur Joyce ????
Il n'y a rien sur Joyce et Freud !

Dans La troisième, Lacan réintroduit le Nom du père sans le citer, c'est cela l'enjeu, c'est passer en dessous de la représentation, alors que le noeud n'est pas une représentation mais une écriture !
Lacan veut montrer le 3 et utilise la croix celte , le bo c'est le nom-du-père

JMV propose de lire la Conférence de Genève sur le Symptôme du 04-10-1975 ainsi que la Conférence "de James joyce comme symptôme" du 24-01-1976 où il parle de Freud puis de Joyce à la fin.
Lire en fait toute la période 74/75/76 .

Nous retrouvons la croix celte, en dehors du Sinthome, au début de RSI à la 1ere leçon avec après de anneaux superposés tenus (ou pas- par une DI.)

Dans RSI, Lacan cite 5 fois Desargues au sujet de la DI et du cercle.Voir à ce sujet le catalogue des dessins de Lacan de Artcurial.
Ci-dessous, 5 scans du catalogue Artcurial :

La DI, c'est le trou réel, il est autour de nous, la DI, nous somme dedans, il nous constitue.

Dans RSI : leçon 1, RSI 10-12-1974 version Afi elec les schémas suivant :

 

 

Comment fermer le noeud borroméen ?

Y-a-t-il un ou deux noeud borroméen ?

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L'enjeu de cette écriture est majeur pour notre époque ! en quoi ?

Une comparaison pourrait-être faite avec le prgramme d'Erlangen et l'avançée de Felix Klein par sa question: Qu'est-ce qu'une géométrie ? euclidienne ou non euclidienne !

L'euclidienne, celle des architecte, du fil à plomb, du niveau d'eau est à une échelle macroscopique, elle correspond grosso-modo au corps, à la maison, à l'observable.

Cette géométrie peut même servir le cas échéant à un ordre comme qusi religion, par exeple les franc-maçon qui valorisent le grand-architecte, l'équerre, le fil-à-plomb !
Cette géométrie va du néolithique jusqu'au construction moderne en béton.

Celui qui crée une coupure dans la géométrie et l'architecture, c'est Lecorbusier qui utilise les surfaces de Gauss (1, 2), c'est une nouvelle théorie des surfaces, voir une application de ces calculs dans la palais du CNIT à la Défense, c'est l'organisation de 3 gaussiennes sans clé de voute pour faire tenir la maison !

Klein, c'est a même chose, la question d'être Euclidien ou non est sans raison.

(s'ensuit un débat entre Claude et JMV sur le fils à plomb comme rayon du centre de la terre !

La notion de parrallèle, c'est une écriture, c'est pas une phénoménologie.

Dans Koyré : il dit qu'Aristote rjoint Platon, il fait une physique sans géométrie.

Dans Descartes, lire les entretiens sur Descartes (qui fait une lecture de Platon)
La droite est apparence de droite, imparfaite, alors que dans Platon il y a l'Empyrée où il y a des modèles parfaits.

Aristote dit que c'est pas très intéressant, que le monde est trop imparfait.

Dans Koyré, Descartes, c'est là sa révolution, veut faire une nouvelle physique en commençant parfaire une nouvelle géométrie. C''est indispensable pour comprendre la science aujourd'hui.

Une géométrie c'est une écriture.

La droite, c'est une géométrie de la jouissance ou une logique, car c'est écrit !

L'écriture des choses parfaites transforme le monde. Le trou réel, ça redessine le monde.

Nous voyons bien comment l'écriture mathématique est tombée dans l'insdustrie et comment cette industrie a transformé la Nature, la Phusis.

C'est itou pour le sexe et les formules de la sexuation de Lacan.

Nous faisons entrer le Réel dans l'écriture

Popper et la réfutabilité sur l'universalité d'une loi !

Les lois physqiues ne sont pas universelles, pour rejoindre Hume pour qui l'expérience n'est pas universelle.

.L'universel et la science ..

Le phénomène et l'écriture sont différents

Les autoroutes sont des lignes matérialisées comme des rails, le conducteur doit s'identifier à la matérialité, pour cel faut savoir lire.

C'est comme l'enseignement de la géométrie !! pour cela voir Lacan dans Encore.

Le métalangage se constitue comme idéal, et ça foire.

La perception de l'objet a, c'est extra, ça prolonge Koyré et Descartes.

Jusqu'à Hegel le monde est dans l'idéalisme, mais écrire, lire, parler, c'est pas anodin, la parole n'est pas magique, il y a des effets, ça transforme le monde.

La science d'aujourd'hui est une science de la prothèse, les problèmes non résolus on les remplace par autre chose.

Articulation entre le Capital et le Discours technologique c'est le calcul différentiel et intégral par les financiers qui veulent calculer les risques dans leurs investissements .

Le langage va jusqu'au trou réel !

Nous devons tirer les conséquences de ce séminaire, et ça conduit à la psychanalyse.

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Une croix celte, il faut fermer la droite infinie pour faire un noeud borroméen.

Soulignent l'efficace du langage : les épiphanies (apparition de Jesus au chrétiens) de Joyce ou les rayons divins de Schréber

.Cela a à voir avec les coniques (Schreber) et les hyperboles du scheam R de lacan.
Schreber veut être la femme de Dieu, ça ça concerne le corps,

le corps marche à l'écriture et pas à l'essence.

Pour Joyce, c'est ça fille qui est psychotique, il lui apporte des nouvelles sur le monde ..; ces épiphanies sont des moments d'écriture où il z'enferme dans les chiottes pour retranscrire les conversations entendues, perçues.

Les gens parlent, on se rend pas comte que les paroles sont imposées.

JMV parle Lacan, ça fait 37 ans qu'il lit le programme des Ecrits (et Autres) et ça lui est resté dans le corps.

La cure est le lieu de la parole jusqu'à se taire ....commence l'analyse, après un travail d'écriture pour rendre compte du Symptôme. Et ce qui était impossible à écrire va cesser (contingence)

Il faut une xénoempathie Freudo Lacanienne .

Freud découvre le narcissime ce qui a à voir avec la géométrie puis la fonction phallique et la castration.

Le narcissisme c'est prendre son corps en objet, Freud le dit dans Trois essais sur la thérie de la sexualité, le partenaire, c'est l'objet sexuel. Hélas, rapidement, le narcissisme est malheureusement identifié à l'onanisme. Non !

On sortirait de l'autoérotisme avec le narcissisme ça c'est pipo !
L'histoire du petit autre dans le miroir c'est une fable ! de Lacan !

Le sujet prend son corps comme objet sexuel (Freud)

Le sujet prend son corps comme extrinsèque, le tore n'a de trou central et circulaire que pour celui qui le regarde comme objet, voir l'Etourdit !,
et non pour celui qui en est le sujet.

C'est comme le métalangage qu'il y a et qu'il n'y a pas car on ne sort pas du langage.

... sur le langage .....

le narcissisme renvoie au corps, pour la voix, on est dans la voix et on s'entend

-Tarski : " la neige est blanche" est vrai, si et seulement si la neige est blanche .
Freud Le petit Hans et le fait pipi ..

Il s'agit du trait différentiel non marqué ( Elle a un sexe ma mère !)

Le tamponage !

Grâce au trauma, au trou, on va tamponner ce qui nous traverse le corps, tant attraction que répulsion. Cela concerne déjà la parole, lécriture , le langage.

C'est aussi la fonction (de temponner) de la névrose, de la perversion ....

Le chien parle, mais n'écrit pas . Le mimétisme animal parle mais n'écrit pas, c'est la foontion imaginaire du phallus symbolique.
Nous trouvons là un indicateur d'une signification non marquée..

Le trou dans la DI (droite infinie) a à voir avec l'incorporel (voir Lacan, Radiophonie, Question 2 , p 407, Autres Ecrits : La linguistique, la psychanalyse et l'ethnologie ont en commun la notion de structure, à partir de cette notion de structure, ne peut-on imaginer l'énoncé d'un champ commun qui réunira un jour psychanlyse, ethnologie et linguistique ?)

 

Lacan et le le noeud borroméen, dans un contexte chrétien !

Y a de l'incorporel dans le noeud Bo
.     logo de TEE

JMV montre le noeud à 4 dans le logo de TEE, qui est un entrelacement qui noue borroméennement 3 ronds. C'est une chanien bo à 4. Elle explice l'incorporel du noeud à 3.

Voir RSI, leçon 3, l'impicite du 4 eme

C'est une réponse à Pierre Soury, qui nomme les groupes de deux ronds : compagnons 2 par 2, c'est le 4 chaine de Lacan

 

Pourquoi l'incorporel ?
Qu'est-ce qui tient les 3 ronds dan sle noeud à trois.

Un quelconque tient les 2 autres !

Qu'est-ce qui tient les 3, c'est le noeud, c'est la disposition des 3, c'est l'incorporel.

Le noeud de TEE, corporéise la parfaite relation des 3, par 2 mise en continuité dans le 6.

Dans le 3, y a de l'incorporel, corporéfié dans le 4.

Cette introduction des noeuds perturbent beaucoup de monde .Par exemple Safouan le dit lui même, il arrête de suivre lacan en 1962.

Dans les 3 anneaux, y a l'analysis situ, c'est leur situation dans l'espace, la disposition, le plongement dans l'espace, ça a à voir avec le Phallus

- le père    -la dimension      - le trauma     - le trait unaire, la lisibilité du noeud

ya un truc en pointe dans la surface
les fétiches se fixent sur les éléments en pointe (Encore, RSI)
le sujet est mal foutu entre 3 et 4 dimension et aussi entre 1 et 2 dimension, S1 ou S2
Libido du moi ou libido d'objet ?

entre 2 et 1, entre 2 et 3, entre 3 et 4,

ça suppose l'aliénation.
Dans le Freudisme, pas besoin de compter jusqu'à 7.

La bande de Mobius, est une surface à une face en chaque point, même si elle a 2 faces localement.
C'est le vel aliénant : la bourse ou la vie, ou l'on ne peut donner que la bourse ou encoire la libido de Jung qui est Une, mais qui est aussi Deux, libido du moi et libido d'objet et pourtant la même.

Pour Freud c'est pas marrant si c'est pas deux !

Ca pose la question de l'écriture, il s'agit de ne pas s'égarer comme Deleuze, qui fait de la littérature américaine traumatisé par Faulkner, pour s'envoyer en l'ai en écrivant (voir différence et répétition)

Il faut partir du 2 !

Partir du fait que à chaque endroit de la surface il y a 2 faces, ça c'est Freudien !

(Claude soulève la question de l'idée ! / à l'incorporel !
JMV souligne que c'est pas le même magasin et renvoie sur Brehier (la théorie des incorporels dans l'ancien stoïcisme - Vrin)
( les incorporels dans Brehier : les exprimables [lekton, attributs ( logique, réel, faits, événements ), jugement ( Vrai, Faux) ]; le vide; le lieu; le temps; l'harmonie entre les êtres; le non-être; le concept.)

Pour Lacan les incorporels, dans Radiophonie, sont -les fonction mathématiques, - les applications topologiques - l'analyse par la logique, c'est l'analyse et la dialectique de Kant.

Nous parlons comme des étourneaux, ...., nous devons faire de la philologie ...

Ce qui soigne c'est la posologie, l'emballage ....(rappel de ce bon mot de R.Lew : Le coprs est parfait,sauf qu'il y manque l'aspirine ..)

Comment dire l'épiphanie ? :

noter est un événement de discours, ça vient des rayons de Schreber et de Joyce qui fait de l'épiphanie.

L'infini n'est pas inaccessible, car nous pouvons voir que l'D.I, la droite infinie est un achèvement de l'infini, par sa fermeture sur la sphère.

C'est différent du monde sans limite de Melman et Lebrun ainsi que de la société illimité de Miller (le penchant criminel de l'europe ..)

Pour lire l'incorporel, cela suppose une invariance, une structure.

 

La réparation Joyce, c'est l'égo

Proximité de Joyce et Hamlet

Voir p170 et 171 du Sinthome, Lacan cite dans le portrait de l'artiste la raclée que joyce reçoit et son corps qui part ...

 

Leçon 5 - du 20 janvier de J.Aubert
-l'exposé de Jacque Aubert Leçon du 20 janvier 1976
-Analytica Navarin ? Joyce avec Lacan
-Nouvelle édition du Sinthome, Seuil, p171 à 188

Les intervention de Jacques Aubert, signe de ce qu'il était dans le droit fil de Lacan, tournent autour de :
-Que veut une femme ?
-Qu'est-ce qu'un père ?

Question autour du Père ? enjeu de psychose !
Le père de Joyce est défférent du père de Schreber

le père de Joyce est un ivrogne irlandais (pléonasme) qui n'a qu'un idéal devant sa carence, c'est de mettre son fils chez les Jésuites. Le thème des Jésuites rejaillira dans l'oeuvre de Joyce.
Le père de Schreber dont on a trace dans les jardins allemand, à mis au point la gymnastique de chambre ....

Alors le père carrent fait-il le psychotique ? c'est débile !!

 

La leçon 6 est une reprise du discours de J Aubert où Lacan esquisse le mouvement noeud p 94 et 95

 

Le fait d'entendre le séminaire, ça fait quelque chose dans le corps !