JMV dégage dans l’écrit de Lacan, Joyce le symptôme, les 5 occurrences du Sinthome, où Lacan essaie d’expliquer le symptôme Joyce. Ces 5 occurrences : "Joyce le symptôme à entendre comme Jésus la caille : c’est son nom. ..."
Nous devons comparer le ratage Joyce au ratage Schreber, qui lui n’est pas hystérique, qui veut devenir la femme de Dieu, c’est différent du souhait de Joyce d’une rédemption de l’humanité. Joyce s’oppose à Schreber, son ratage n’est pas le même, Joyce ne se prend pas pour une femme ce qui est une définition de l’Hystérie. Alors que Schreber se prend pour une femme. Selon cette approche et au regard de cette définition, Joyce n’est pas psychotique. Joyce écrit Molly Blum dans Ulysse ? Dans Finnegans Wake C’est le personnage de A.L.P, Anna Livia Plurabelle, sa femme épouse idéale.
JMV apporte au débat sur Joyce des texte supplémentaires. Dans la 3 eme, Il y a Joyce et Freud convoqué, à opposer et à séparer, pour distinguer le ratage Joyce et le ratage Freud. Nous devons réduire la suppléance Freudienne dans l’analyse après le Symptôme Œdipe pour s’en séparer, et après le nœud à 4 arriver au nœud à 3. ------------------------------------------------------------------------------------------------ JMV propose de commenter leçon par leçon le séminaire le Sinthome La 3eme de J Lacan, est une conférence de 31-10-1974/03-11-1974, qui est tenu après les séminaires Les non-dupes errent (1973-1974) et après RSI (1974-1975). C’est la troisième conférence de Rome après le Discours de Rome de 1953 et La Psychanalyse. La raison d’un échec.15-12-1967. Le « joke » est de déterminer à partir d’un croisement explicite du nœud local, la situation du croisement manquant (crf au point antipodal). C’est là tout l’enjeu de la structure, du symptôme , de la destiné du sujet. Lacan hésite, tourne autour du pot, est embarrassé face à la complexité de l’enjeu. L’argumentation de son séminaire est discontinue et des éléments se prolongent et se répondent en divers lieux de son propos, voir entre diverses leçons, ou partie de leçon. Il y a un réel problème de découpage de ce séminaire.
Nous devons mettre en relation la 2 eme leçon (09-12-1975) avec l’avant dernière leçon sur l’égo, la 10 eme leçon (13-04-1976). Leçon 1 : Le nœud de Lacan, présenté sous 4 aspects différents, mais c’est le même nœud, qui correspondent à une application de la thèse de Listing. Thèse publiée chez Navarin, dans laquelle JM Vappereau publie une introduction à la topologie. Listing, invente un formalisme Delta et Teta (lettre grecques), pour noter les croisements, c’est une première écriture, une géométrisation du nœud. Ce noeud – dit de Lacan par Lacan- est en fait dans la thèse de Listing. La question du nœud, commence par ce problème dans la littérature scientifique.
La clé des diverses présentations réside dans le fait que chaque présentation est présentation du même noeud mais dont le trou sur le sphère change de zone du noeud appliqué sur la sphère. (le trou sur la sphère figurant les bords de la surface, du tableau …)
Et le comble de cette présentation du même objet, c’est qu’elle n’est pas comprise même par Listing, qui pourtant en avait les moyens . La dualité : en changeant le trou de place vers une zone adjacente cela provoque une inversion de l’algorithme du nœud.
Donc, nous avons à déterminer pour un nœud, la position du trou de la sphère dans la figure ? Puis le changement de présentation équivaux à une changement de la zone périphérique (que Listing ne voit pas !) Nous avons là un jeu entre intrinsèque et extrinsèque. Une équivalence peut être vue dans le passage de la langue savante à la langue vulgaire, la langue romane, qui n’est pas une sortie du langage, il n’y a pas de métalangage, et le latin qui se voulait métalangue se voit à partir de l’expulsion de Dieu hors du monde (essence et existence du Thomisme) remplacé par le langue romane (Dante, de l’éloquence en langue vulgaire, ou la divine comédie en italien par un latin !) Cela a à voir avec le narcissisme et la structure du langage. Aujourd’hui on veut sauver les apparences du métalangage par exemple en restaurant le messe en latin !!!, ou en stigmatisant la dysorthographie des élèves ….. Ainsi une carte n’est pas une représentation, mais une écriture . Qu'est-ceque ça veut dire ? Comment transmettre ça ? Leger et Turkstein traduisent listing après Denn et Keoningsberg . Dans la leçon 7 du 19 février nous voyons que Listing et Lacan c’est le même nœud ! Le nœud de Lacan est un non-nœud propre, qui a la plus petite surface d’empan sans coupure, de plus c’est un nœud fibré ! (source Christian Léger).
Lire la leçon 5 de Jacques Aubert du 20 janvier 1976, où il met l’accent sur les lettres, les épiphanies et : Qu’est-ce qu’un père ? Que veut une femme ? Quelle est la position du père de Joyce ? Ces thèmes sont repris à la leçon 6 (les enfants entre Joyce et Nora). Cette leçon traite du trou, de la DI, du faux-trou. Lacan a réfléchi au mouvement nœud que Jean-Michel Vappereau ne définira qu’en 1990 Le mouvement nœud p 104-105 et 94-95
Il y a un rapport entre le Bo et le Trèfle, une rapport d’Homologie, c’est à dire que le Bo se défait par Un mouvement Nœud ! La réparation du Trèfle est prolongée à la leçon 7 C’est une réflexion paradigmatique sur le faux-trou, à la leçon1 sur le symbole et le symbolique à propos de Milnor à mettre en relation avec la leçon 9 p 83. C’est le calcul du Links group de Milnor.
La question de Soury Milnor parle du nœud Bo …. Milnor s’intéresse au Bo car il est trivial (voir Denn au 19 eme/ 20 eme siècle), Pour calculer le nombre d’enlacement sur la figure, en numérotant les croisements, la somme en est divisée par 2. Aussi utilisé par Kauffman Plus il y a d’enlacements plus ça tient …c’est différent des chaînes libres où ça ne tient pas … Mais il y a le Bo et le Whithead qui équivalent à des nœuds presque triviaux
Pourquoi le doublage du rond ? Car avec des ronds enlacés, le trajet est neutre, il glisse, aussi Milnor, dédouble-t-il un rond, ce qui a pour inconvénient que 1 rond joue un rôle spécial. Ainsi le 2 rouge, c’est le trajet parallèle de chaque groupe de 2 ronds, pour éviter l’absence du 3 eme représenter par le rouge ( à reprendre !) -link group -isotopie of group sont des invariants du noeud qui font apparaître le Centralisateur, cela équivaux à ce que l’ensemble des Centralisateurs correspondent aux calculs de Magnus en géométrie algébrique – pour chaque groupe de nœud …… ce travail est à l’heure actuelle sans suite.
Leçon 8 : le faux-trou Qui vient de la leçon 2 et 3. De la chaîne à 4 à Le rouge des 4 nœuds de trèfles = les ronds libres de Schreber par le nœud propre à 3 pour parler de la psychose !!!! (tout ceci demande réflexion !!) |