Soury dit dans son cour qu'un mathématicien Milnor, algébriste, se consacre au noeud, qu'il nomme Links group et Isotopie of group. Il rencontre le noeud Borroméen qu'il nomme presque trivial. Le noeud Bo a une relation à la symétrie, soit au
narcissisme, un quelconque de ses ronds (banal) tient tous les autres.
La symétrie miroir est en relation au triède ce qui
est simplement Euclidien,. Nous avons une suite cohérente qui passe par le Narcissisme de Freud puis par le Stade du miroir de Lacan, puis une réflexion sur la symétrie miroir indiquée par Lacan dans Subversion du Sujet et dialectique du désir, développée par JM Vappereau, qui toune autour de la fonction des éléments en pointe dans le corps (nez, sein, pénis, pied), tous objets susceptibles de devenir objet fétiches .... Dans le Bo, il y a de la polysémie. Le miroir inverse une main droite et une main gauche, (d'une main en 3 dimensions), car la main à 1 dimension n'est pas inversée, et est égale à elle même dans le miroir, identique à sa surface (sic). L'objet a est une pastille sphérique (trouée) orientable, bilatère , il n'y a pas de rapport entre l'objet a et son image. L'objet a est un reste, celui d'une coupure majeure ( à différencier des coupures mineures ) Du fait du scientisme ambiant des experts, de l'idéologie
de la science, on ne voit plu que dans la symétrie miroir
il y a de l'équivoque. Ce qui est inversé dans le miroir, c'est une dimension, une des 3 dimensions, ou alors les 3, ensembles. Le miroir est une machine physique. L'objet spéculaire n'est jamais défini par Lacan, il faut comprendre ce terme selon le contexte. 1- l'objet a est non spécularisable, il n'a pas d'image dans le miroir ( il disparait dans le miroir qui devient alors véritable miroir des vampires) 2- si l'image est identique : .....
Milnor s'intéresse aux groupes pour la présentation d'objets, pour la structure de groupe voir JM Vappereau Le noeud Bo serait identique à son image miroir. Le noeud de trèfle serait 2 . Une certaine écriture du noeud de trèfle, qui ne stylise pas les dessus dessous, montre les intersections confondues, ce qui fait dire de cette réprésentation qu'elle a la même ombre pour les deux trèfles. Cette façon d'écrire ne peut que se constituer que dans un discours, dans un lien social qui fait du collectif . Nous devons développer une dialectique autour de la question de l'objet, de l'ombre de l'objet, de la représentation et de la présentation. C'est un enjeu de la clinique freudienne. Freud, dans la conférence 26 Narcissisme et Libido indique que l'enjeu de la psychose est de consruire un objet, mais que le psychotique bute sur l'ombre de l'objet, ce qui provoquerait chez lui une involution et un processus de régression. Dans Freud il y a une différence entre représentation
de chose et repésentation de mots. Dans Kant, dans Critique de la Raison Pure, la représentation de chose est pour Kant, le matériau de la pensée qui est conceptualisé par l'entendement. Pour Lacan, nous avons l'Instance de la Lettre, la lettre est prise
comme objet, c'est la lettre "a" L'échec du paranoïaque c'est de n'atteindre que l'ombre de l'objet ! Ceci suppose un certain lien à l'équivoque : ne pas
prendre les mots pour des choses. Ce qui est la banière de
l'asile, de la psychiatrie, le gardefou Hégelien. La logique du concept c'est faire des rond sur la sphère, lire c'est différent de conceptualiser. Lacan met en garde contre l'intérêt sélectif pour les racines greco-latine, pour la lexicologie, c'est différent de l'éthymologie et de la phonologie. Lacan distingue l'Instance du Phonème, voir pour cela Jakobson, c'est le signal du système phonologique de Saussure, il n'y a pas dans le phonème de valeur intrinsèque., dans le rêve, le dessin est détaché de toute représentation, c'est l'instance de la lettre quiest à l'oeuvre. L'aigle n'est pas l'aigle, mais "lègul", dans un rapport de différenciation phonématique et dans un jeux polysémique, de type rébus, soit une métaphorique... Spinoza, dans l'Ethique, évoque l'Amour Intellectus Dei, JMV, propose de lire l'Ethique par la fin , pour montrer le lien logique qui va de l'amour intellectus dei à l'intuition. La lecture et l'écriture sont nécessaires à l'Instance de la Lettre . On apprend à lire que si l'on sait déjà écrire, voir Leroi Gouran, le geste et la parole . ( Les écrit sont partout - ne cesse de s'écrire- ce que Lacan formalise par L'instance de la lettre, Instance qui elle même se difracte en Instance du Phonème, comme science des sons de la Langue, du langage et en Instance du Signifiant - ajout) G Addad dans le pêché originale de la psychanalyse, reproche d'avoir abandonné Maïmonid , de résister au sacrifice, ce qui est un refu de la réforme de l'entendement ...voir S XI, ce qui aurait donné les camps, les vierges noires et que seul Spinoza résiste avec l'Amor Intellectus Dei. Kant serait plus proche de nous, Sade et Kant dans le même sac. mais Spinoza c'est pas le tribunal et ça oriente vers le fait d'avoir des passions, de jouir des joies du déchiffrages, vers le gai savoir. Y a t il un Spinozisme de Lacan ? Voir Deleuze et Spinoza, Deleuze s'identife à Faulkner et se perd dans les labyrinthes de l'écriture Guattari, membre de l'Ecole Freudienne a entrainé Deleuze chez Lacan Lire c'est découper - c'est découper le Séminaire et faire des liens. Sinthome ou Symptôme ?. Entre le Saint et le Symptôme .. JMV a donné 5 occurences dans les leçons précédentes. Les références sont de 67 ... Lacan dès le début met les dessins au tableau, ceux de Joyce et de Freud . Dans un premier temps, celui correspondant à Schreber-Freud, il thématise les ronds libres comme écrivant la psychose puis il renverse cette écriture en la formalisant par le noeud de trèfle (mise en continuité- Soury - des instances), ce sont les sections transverses . Nous devons considérer les grandes coupures dans le noeud, qui correspondent à la Métaphore, à la grande différence, et des petites coupures qui elles sont métonymiques et de l'ordre de la petite différence. Deleuze dans Différence et répétition est illisible.... Au delà du principe de plaisir .... Selon Lacan , chez Aristote il n'y a pas de plaisir ou alors seulement comme réminiscence de la pensée, ou seulement le plaisir de ll'objet. Au XVIII eme siècle, le corps n'est pas que biologique, dans Feud il y a un lien au corps ... avec la Nature.. Si le chien de Pavlov apprend à lire et à écrire, ça fait pas une dialectique . On écrit avec le corps, avec les morceaux du corps, avec
les objets. Le vitalisme est différent du mécanisme Le lien Freud-Jakobson est dans lire-écrire , la dificulté de lire-écrire Pour Freud il faut ajouter aux buts de la vie : aimer tavailler sublimer ceux du lire-écrire.. Jung entend comme langage celui du bruit de la commode qui craque J.Aubert dans le Sinthome convoque les Epiphanies de Joyce, qui sont des manifestations de langage, en langue vulgaire ou en geste ....là Joyce glisse dans la connerie ....
La différence entre Joyce-hamlet et Freud-Oedipe , se reporter au S VI (DI) leçon 19 d'un côté Oedipe a tué son père, voir sa mère et baiser ave l'un ou l'autre ...et après cela il réclame le chatiment, pour cela il se crève les yeux, il se punit . Il devient par Antigone, sa soeur, un héros tragique, dans le camp de Thésée, après avoir rejeté Créon , parti des gens biens.. de l'autre Hamlet qui n'a pas commis de crime, mais est empoisonné par l'oreille, à sa vie empoisonnée par les révélétations de son fantôme de père. Alors la dette symbolique est-elle si inextinguible que celà ? Aujourd'hui on réduit le symbolique au dédomagement du franc symbolique. Pour le chapitre de la culpabilité il faut lire Hegel où l'on trouve toutes les figures de la Belle Âme ce pour nous défaire des figures de la folie. C'est une clinique de la délinquance., celle de la Mafia. Le Nihilisme, c'est le sujet qui rejette la Civilisation. Chez Hitler, y a de la raison, il fait mieux qu'Atilla. La conscience diffère de la raison, la raison n'est pas la conscience européenne. Nous somme épatés par le latin de Léo Strauss qui retourne à Maïmonide ..? Tout peuple est capable de métalangage Pour lacan, c'est pire d'avoir pas commis le crime car il peut pas se punir. Dans Ella Scharp il y a l'impatience d'Hamlet ..qui lui n'est pas inhibé pour tuer Polonius. Hamlet ne peut pas tuer Claudius car quand il le voit priant, il estime qu'il n'est pas dans la fleur de son pêché. Il ne le tue pas car il ne peut le tuer qu'en se tuant lui-même, dans l'instantanéité, dans la hâte, dans la précipitation . Lacan dit alors : car c'est le phallus réel ! Qu'est le phallus : c'est le signifiant du désir de la mère. Dans le Séminaire le Transfert voir la Trilogie de Claudel quand le fils tue le père c'est le phallus, le père devient le phallus quand il meurt. Hors dans Hamlet, Claudius est encore vivant, Réel Ce sont les embrouilles du Vrai lorque'on s'intéresse aux Noeuds, on se prend les pieds dans le tapis, c'est immétrisable, car la parole commande. Le réel, c'et l'écriture, l'impossible à écrire. D'ou l'Instance de la Lettre et l'instance du Signifiant. La parole organise les rapports du corps et de l'écriture. Le PHALLUS réel c'est le père mort qui n'est pas mort dans le cas de Hamlet 15 ans après dans la 3eme, les dessins y
sont déjà, Lacan ne parle pas des Noms du Père,
il passe en dessous de la représentation.. La psychanalyse a pour but de réintroduire les Noms du Père
dans la psychanalyse et la Science, dans cette civilisation. Le
discours de l'analyse achève le discours scientifique sans être
lui même scientifique. Il achève le discours scientifique
en en résolvant les apories (doutes, incertitudes).
C'est un achèvement de la philosophie de Heiddeger. (La question
de Heidegger est non celle de l'existence mais celle de l'être.L'homme
est l'étant qui a toujours son propre être comme enjeu,
et son unité est dans une extériorisation de soi sans
cesse reprise et dominée. Dic de Philo, Seghers) La science fait symptôme tant que la psychanalyse n'écrit pas bien les apories du sujet de la science , celles de l'employé du laboratoire.
Quels sont les rapports du Père et du Phallus ? Dans les Ecrits p 812, dans Subversion du sujet et dialectique
du désir, Lacan parle de la religion en ce que
la psychanlyse n'a à être ni pour ni contre, et à la
question de Freud, Qu'est-ce qu'un père ? - la réponse
est : c'est le père mort, mais personne ne l'entend. p5 La comparaison Joyce-hamlet et Freud-Oedipe !? Le but de Lacan est de fonder la psychanlyse freudienne, aussi ne corrige-t-il pas la psychanalyse freudienne dans cette erreur d'identifier la père et le phallus. Freud invente la psychanalyse et Lacan la fonde. De Kant, Lacan en reprend l'Universalité : Tous ou aucun ce dans les formules de la sexuation. Lacan reformulera la question de l'universalité de l'Oedipe en posant que l'Universel c'est l'Oedipe. Celui ou celle qui se pose cette question se place dans la situation oedipienne. Lacan compare Freud à Joyce. On n'analyse pas le père, c'est le fond dela caverne, l'obcénité totale. Il y a une X, c'est le désir de Freud. Lacan est freudien, il l'affirme constamment. Il nous engage à devenir lacanien !! C'est quoi être Lacanien ?
Après Malaise dans la civilisatation, la psychanalyse a rendu les armes face à la Civilisation et devant le Malaise. Aussi les camps ne sont que les précurseurs de nos maux à venir, il faut s'attendre au pire !! Que fait Lacan : - il fonde la psychanalyse Aujourd'hui et demain, la psychanalyse n'est plus une affaire de personnalité, de leader d'école, celle d'un homme seul. Elle est une affaire de lien social. A Milan, Lacan fait ce que Freud n'a pas fait, il dit que le discours de la psychanalyse est la peste (voir Lacan en Italie), ???( n'est-ce pas ce que dit freud à Jung lors de leur traversée vers l'Amérique ??? : nous leur ammenons la peste ..)
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