Pour en finir avec l'homosexualité !  essais         23-01-06, 08-2014

A poser que tout enfant ait aimé père ou mère ou substitut, nous pouvons dire que tout enfant est conduit à faire un choix d'objet. La configuration qualifiée d'"oedipienne", singulière, propre, conduit le sujet à exprimer le retour du refoulé du moment de la découverte de la castration de la mère, dans un choix d'objet . Cet objet peut avoir une fonction narcissique, sur le corps propre ou relayer un trait différeniel singulier (comme marque de la différence des sexes ) perçu par le sujet ou renvoyé au sujet par son entourage et en même temps se diffracter dans tous les objets du sujet jusqu'à reformation de l'objet du désir privilégié.

- pour l'amour de la mère, au moment du constat de la castration, l'enfant s'identifie à la mère et choisit un objet de l'age du sujet (de son age) au moment de ce constat. Il maintient ainsi la castration refoulée, tout en l'ayant reconnue.Son objet porte les traits de l'impossible castration, lie le désir à la castration. Cela donnera à l'extrême la position du pédophile, " le pire des crime " ou une jouissance inouie vient trouver son exhutoire dans une "castration publique" orchestrée par de " faux frères " eux mêmes travaillés par une homosexualité devenue "orthodoxe" aux dépend des dits pédophiles . L'ampleur de l'émotion et l'indignation trouve sa source dans le refoulé de chacun, en ce sens le procès devient le lieu de la reconnaissance de ce désir en chacun au titre d'une dénégation.

par haine de la mère : l'enfant choisira un objet, un trait de l'objet viril (muscle, tatouage ) : un garçon ou un homme à l'image de son père ou du frère ou d'un modèle masculin et cela conduit l'enfant à l'homosexualité phobique ( haine -> phobie) et au rejet de la femme, du féminin. Le phallicisme domine le choix d'objet. Homosexualité virile .

pour la haine du père ou du frère, l'enfant transformera sa libido homosexuelle en dévouement social ou en carrière polititique, publique, artistique, médiatique .

pour l'amour du père,

Le trait différentiel du sujet, comme marque de la castration peu se porter sur tout objet dans un rapport métonymique/métaphorique ( ex : Une caractéristique du sujet porte la castration refoulée, croisée entre un signifiant narcissique et un signifiant social ce signifiant porte la marque de la différence et est pour l'Autre et l'autre le signifiant de la différence, c'est à dire affirme et masque en même temps la différence et le sexe. Où montrer cache ! )

L'objet sexuel porte la castration refoulée en tant que marquée, et par la castration et comme marqueur de la castration. C'est-à-dire d'une différence.
L'objet singulier (peau, enfant, femme, homme ...) porteur de cette marque sera l'objet du désir. Cela semble rejoindre le nom du père comme marque du père, sa façon d'être singulière, personnalisée.

Lacan DI p 613 : " le fait que la castration soit intéressée dès que se manifeste d'une façon claire le désir comme tel "
Ainsi dans le cadre du choix d'objet chacun face à la perception de la castration adopte un objet qu'il va reconnaître chez chaque porteur, en chaque porteur, d'un trait de cet objet.

D'un Oedipe formé, fermé, l'enfant progressivement par ce filtre va passer des 4 possibilités d'identification sexuées :
H couleur H,FF,HF,FH à 2 positions H et F dans une symétrie éthologique vitaliste, refoulant les dispostions incompatibles avec l'exigence surmoique héritère du complexe d'oedipe (déclin et fermeture du complexe) .

Ainsi le choix de l'enfant est teinté par l'objet et vient doubler le lien avec la mère phallique. (le renforçant ou le décomplétant)

De fait l'Homosexualité est un fond commun aux hommes et aux femmes, et la libido homosexuelle comme la libido hétérosexuelle sont une et deux et assoient un choix d'objet possible H ou F.

La libido homosexuelle est mise au service de la société, société qui par l'Etat eugénique se l'accapare en niant sa source pour valoriser la libido hétérosexuelle qui conforte son eugénisme. Ainsi l'homosexualité est politique et instrumentée par des groupes d'intérêts qui y puisent leur légitimité par rejet et abomination d'autres fractions homosexuelles. Les homosexuels "politiquement correct" acquièrent leur respectabilité en se conformant au modèle hétérosexuel (mariage et adoption) et en se démarquant des pédophiles (qui ne doivent pas se sentir obligés d'être en plus fous !) qu'ils renvoient au discours de la criminalité . (voir Marcel Mauss, sur la criminalité tolérable !)

 

D'un autre côté les hétérosexuels paranoiaques stigmatisent l'homosexualité au non d'une anti-nature, d'un vitalisme écologique de droite (pétition des 174 députés) , les homosexuels imitant les hétérosexuels gagnent la confiance de l'Etat et revendiquent des droits égaux au hétérosexuels avec la garanti de l'inoffensivité de leurs ghetto et de leur alignement sur le modèle hétéro. Les pédophiles "médiatiques" sont la pierre angulaire de la respectabilité conquise, captifs de leur objet ils subissent la psychose sociale qui s'adresse à l'Homosexualité. Au passage le terme de pédéraste a été soigneusement gommé par souci d'hygiène. Plus le champ épitstémologique est étroit, plus aisé est la répression !

L'autre pôle homosexuel à subir ce refu de l'homosexualité sur fond de tolérance, sont les politiques, ce qui se traduit par le discrédit porté sur le politique.

Le but est d'erradiquer le père (banal et exceptionnel) pour le remplacer par des chefs, des tyrans ou des démagogues et contrôler la sexualité dans le sens de l'eugénisme d'Etat. (L'Etat veut des enfants = impot, armée, ....puissance)

Sous couvert de libération sexuelle, d'absence de censure, la répression homosexuelle bat son plein, l'homosexualité politiquement correcte entrant dans le cercle de l'hétérosexualité.

Etude structurale de l'homosexualité .

Se développe sous couvert d'émancipation une homosexualité imaginaire , libérée, qui s'épanouie dans les ghettos, qui s'enracine dans " l'éden " des colonies, dans l'aristocratie littéraire ( Gide, Caroll, Wilde.. ), dans l'intégration des symboles de la normalité (parentalité, sociabilité (dévouement politique), spectacle ..) qui se fonde sur l'homosexualité fondamentale en rejet de l'homosexualité pédophile ou politique.

L'orientation aujourd'hui dans la dégradation du politique dans le délire psychotique envers les pédophiles (avérés ou présumés) sur le modèle éthologique et scientifique du couple ( tout aussi imaginaire) veut installer chefs, tyrans et démagogues dans un rapport de contrôle et de stigmatisation de la différence.

C'est une involution de situation :

D'un temps de libéralisme sexuel ou les juges confiant leurs délinquants à des éducateurs homosexuels,
ou Gide par son art évoquait les émois des ses désirs pédophiles, ou notre diplomatie pédiquait aux colonies sous couvert de Club prestigieux, avant de se faire mordre la queue et que nos "indigènes" ne nous crachent dans la main, après un temps de rêve de Libération, de libération de la femme ( qui n'existe pas, car toujours sous le menteau du phallus, voir de la barbe qui le cache cachant le trou !), nous sommes entrés dans l'air de la psychose homophobe caricaturée par l'affaire d'Outreau, où des pantomymes du conjugo bobo, qui est renversement dans le renversement.
Tel est le prix de la notabilité....celle de l'indignité d'autrui !