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VAPPEREAU
  Jean-Michel,      Graphes schémas Théories, ( L0T0 ), ( S0T0,...),.., Math Voc, 1, 2,
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Sources

- Textes de JMV disponibles, *, site de Jean-Michel VAPPEREAU,
- Résultats, conférences, de JMV; *, site de J-M.V,
..
- JMV Oeuvre, *, sur gaogoa,
- Cours 2007-2015, *, Séminaire, sur gaogoa,
- Ouvrages, cut-up, conférences, *, sur gaogoa,
 
           
 
   
Ci-dessous (de 0 à VIII) : à partir du Plan de la page "Textes disponibles"
 
sur le site de Jean-Michel VAPPEREAU, *, Plan Out,
 
           
 
      2015-2014--2013-2012-2011-2010-2009-2008-2007-2006-2005-2004-2003-2002-2001-2000-1999-1998-1997-   1996-1995-1994-1993-1992-1991-1990-1989-1988-1987-1986-1985-
 
  2016-2022, *,
2012-2015
, *,
2009-2012, *,
1994-2008, *,
Chrono continu, *,
Qques cours version gaogoa, *,
ci-contre utile si en position gauche Sommaire
0- Le troumatisme,
00- L'incorporation,
I- De la fonction imaginaire du Phallus Symbolique,
     Du narcissisme et de la projection de la signification ,
II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité,
III- La structure,
IV- Mise en oeuvre de la séparation,
V- Des conséquences pratiques de ces structures,
VI- De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure       (topologie des variétés),
VII- Refaire la clinique freudienne, pour citoyenner le sujet employé par la science capitale,
VIII- L'involution signifiante,
 
 
   
 
 
15
2015-06-02
  Effacement de la logique modifiée...Paris Diderot, Halle aux farines,
~
 
 
           
 
 
2015-03-25
  (3 4), Discours entre groupes et foules et du réel des discours établi par le théorème principal de Lacan, Le réel des discours,
( V - Des conséquences politiques de ces structures , 8.2, )
texte portant sur les quatre discours dont l'annexe intégrée donne enfin la                    démonstration du théorème de Lacan ( 2 mai 2012 ).
 
 
2015-03-17
  Les noeuds logiques et leurs effets sur les tables de vérité, présentée comme des tables de lois de composition interne, ( à propos de la négation modifiées, ∼, (tilde)),
~
(II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité, Clef pour la passe, Argument I, La raison des noeuds logiques explique la logique modifiée,)
 
 
2015-01-27
  La logique modifiée et les noeuds logiques, à l'ENS,
~
 
 
14
2014-12-12
  Clinique du processus du noeud,
l'étape intermédiaire de 1967 entre la question préliminaire et le sinthome,
(VII - Refaire la clinique freudienne pour citoyenner le sujet employé par la science capitale, 15.)
 
 
2014-08-24
  La logique du fantasme et sa topologie,

(III- La structure, Du narcissisme à la projection de la signification,  la nécessité de la séparation tragique, La structure du fantasme (S<>a) dans la poétique d'Aristote comédie de l'Aliénation (l'Avare; Le Balcon de Genet) / tragédie de la Séparation (Oedipe) ?, 5.0)
 
 
 
2014-03-31
Joyce hystorique,
(VII - Refaire la clinique freudienne pour citoyenner le sujet employé par la science capitale, 13.)  
 
13
2013-09-10
  De la logique ..., et des formules de la sexuation, aux Mines,
 
 
 
2013-09-10
  Mathématiques, ligne 149 à 800, du texte ci-dessus
 
 
 
2013-03-23
  LACAN lecteur de GILSON, seuls les anges se précipitent là où les anges redoutent de s'aventurer. ( V - Des conséquences politiques de ces structures , 8.1, )
 
12
2012-05-
   Lecture des formules kantiques de la sexuation, 02, mai 2012, 2 pages,
       (Résultats résumés en un tableau des schémas et des formules).

¬
(IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.).    
 
2012-05-15_01
 

Clef de la passe ( Le mode moyen de l'écriture de la vérité)
Arg III, 1 ere partie,
[suite et retour sur la question de la vérité traitée dans le texte :
II- La phallus sympolique, Clef pour la passe, Argument II, L'amour du tout aujourd'hui,
2 eme partie
, p57,
]

¬

( II- Le phallus symbolique, Clef de la Passe,
Trois essais sur la théorie de la vérité,
Argument III  Clef de la passe ( Le mode moyen de l'écriture de la vérité)
Situation et construction d'un modèle sémantique par les Tables de vérité.
Démonstration du caractère quaternaire de la logique classique, situer le trois.
Construction d'un prédicat de vérité apophantique.

1er partie,
)
 
 
2012-05-15_02

Clef de la passe ( Le mode moyen de l'écriture de la vérité)
Arg III, 2 eme partie,

[suite et retour sur la question de la vérité traitée dans le texte :
II- La phallus sympolique, Clef pour la passe, Argument II, L'amour du tout aujourd'hui,
2 eme partie
, p189,
]

¬

( II- Le phallus symbolique, Clef de la Passe,
Trois essais sur la théorie de la vérité,
Argument III  Clef de la passe, ...
2 eme partie,
).
 
 
2012-04-08
  Eros et Psyché, 03, L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa contruction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie III -Exemple d'une solution des plus larges et de portée discursive,

¬

(II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité, Clef pour la passe, Argument IV- Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016, Partie III),
 
 
2012-04-07
  Eros et Psyché, 02, L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa contruction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie II - Définition littérale de l'Ics. de Freud - Résolution de son équation,
¬
(II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité, Clef pour la passe, Argument IV- Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016, Partie II),
 
 
2012-02-11
  La psychanalyse et les mathématiques, Freud contemporain de Cantor,
du matemata au mathème, République,
(I-1, De la fonction imaginaire du Phallus Symbolique,
     Du narcissisme et de la projection de la signification .)  
 
11
2011-09-06
  Freud et Cantor, Conférence,
 
 
 
2011-05-17
Eros et Psyché, 01, L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa contruction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie I, Un exemples des plus simples et des plus réduits,
~
(II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité, Clef pour la passe, Argument IV- Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016, Partie I),  
 
 
2011-05-17
  N'ombre,   Projection de l'ombre de l'objet dans le plan
 Isomorphisme des mouvements de rotations d'un objet de dimension trois dans l'espace et des  permutations de quatre  lettres dans le plan.
Deux aspects géométriques du narcissisme,
(III- La structure, Du narcissisme à la projection de la signification, la nécessité de la séparation tragique, 3.)
 
 
2011-02-09
  Lacan et les mathématiques,
- Lire, parler, écrire enfin, la psychanalyse et les mathématiques,
 
 
 
2011-02-05
  Raison et fonction de la topologie dans la psychanalyse et chez J.Lacan.
La Sorbonne, Paris ,
 
 
10
2010-
  Quatre présentation du même,
 
 
2010-12-12
  Corps, incorporation et incorporelles, Où le symbolique prend corps, (00- L'incorporation, )
 
 
2010-12-09
  Le dérapage d'Aristote,
¬
La logique canonique classique de la coordination a toujours été modale ...
 
 
2010-09-14
Réduction Puis résolution du temps logique en tant que tel
ou de l’assertion et de l’assertion de certitude anticipée,
¬
( IV- Mise en oeuvre de la séparation, 6. Le temps logique,
Première partie : Réduction du temps logique au cas classique
(cas ordonné en logique classique
),
 
 
2010-03-02
  La séparation I, Abrégé, Le point de Capiton mis en oeuvre.
De la sépartion part a et a', à la répétition divisant le Sujet : S,    
 
2010-03-02
  La séparation II, Calculs ...
obtenus grâce à la méthode du point de capiton de la sépartion en algèbre de Boole,    
      voir également le Texte Le velle de la séparation enfin, du 01-09-2009, ci-dessous,        
09
2009-09-21
  TEE, une non-école pour des non-analystes
 
 
 
2009-09-15
argum, *,
1964 - La répétition freudienne et l' involution signifiante écrite selon Lacan au moyen du point de capiton_02,
 
 
2009-09-01
  Le velle de la séparation enfin, B-A/P, 09-2009,

(III- La structure, Du narcissisme à la projection de la signification, la nécessité de la séparation tragique, La structure du fantasme (S<>a) dans la poétique d'Aristote comédie de l'Aliénation (l'Avare; Le Balcon de Genet) / tragédie de la Séparation (Oedipe) ?, 5.3)
 
 
2009-05-
  Lecture des formules de la sexuation, 01, version mai 2009, 16 pages,
         (logique et théorie des ensembles) texte intégral simplifié.
De la nécessité d'une modification de la logique canonique classique qu'une feuille de papier transparente nous en sépare,

~
(IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.).
 
               
08
2008-06-01
  Le territoire de la phobie,
De la névrose comme une réalisation de la théorie des graphes,
(VII - Refaire la clinique freudienne pour citoyenner le sujet employé par la science capitale, 12.)
 
 

2008-02-01 ,

2008-02-01;

Version courte ,

Version longue,
Sa claque, Du nœud borroméen fort généralisé.
Définition, fonction et champ de la
généralisation.
 
 
07
2007-12-25
  Lecture des formules de la sexuation, 00, 25 décembre 2007, 46 pages,
(logique et théorie des ensembles) texte intégral .
De la nécessité d'une modification si légère de la logique canonique classique qu'une feuille de papier transparente nous en sépare.
~
(IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.).

 
 
2007_01,
     - Annexe 1, LCC syntaxe monadique,
¬
    (IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_02,
       - Annexe 2, LCC syntaxe et sémantique de la coordination,
¬
    (IV-Mise en oeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_03,
 

     - Annexe 3, Fragment de la Logique canonique classique III,

¬
    (IV-Mise en oeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_04,
 

     - Annexe 4, Les énoncés restreints,
       Ils correspondent à l'introduction de nouveau kanteurs
       qui écrivent des kantifications relatives à quelques domaines donnés.

¬
    (IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_05,
 

     - Annexe 5, La théorie axiomatisée des ensembles,

¬
    (IV-Mise en oeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_06,
 

     - Annexe 6, Modification de la Logique classique,

~
    (IV-Mise en oeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
 
2007_TB,
       - Table des matières,       (IV-Mise en oeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.)
 
           
 
 
2007-09-11
  Le noeud boroméen généralisé,
 
 
 
2007-08-19
Afin de préciser le narcissisme, (Texte provisoire);
Géométries intrinsèques et extrinsèques d'un objet (espace -variété)
       Traits inversés d'un objet dans la symétrie miroir : de la dimension.
(I-2, De la fonction imaginaire du Phallus Symbolique,
     Du narcissisme et de la projection de la signification .)  
 
 
20070110
  La deuxième, La raison d'un échec, (1967),
(VIII- L'involution signifiante, 16- Des surfaces et du noeud, 16.1)
 
 
2007-02-01
  Joyce-Hamlet et Freud-Œdipe,
Refaire la clinique freudienne à partir des manières de suppléer aux ratages du nœud,
(VII - Refaire la clinique freudienne pour citoyenner le sujet employé par la science capitale, 14.)
 
06
2006-07-24
  Le vel de l'aliénation construction effective de l'opérateur vel et son articulation  commune en logique classique .
(III- La structure, Du narcissisme à la projection de la signification, la nécessité de la séparation tragique, La structure du fantasme (S<>a) dans la poétique d'Aristote comédie de l'Aliénation (l'Avare; Le Balcon de Genet) / tragédie de la Séparation (Oedipe) ?, 5.1)
 
 
2006-04-15
  La D.I., la Droite Infinie, (D.I, DI, Dei ...)
(0- Le troumatisme,)
 
 
2006-01-01
  Théorie des noeuds, première partie,
Théorie des non-noeuds,
(extrait de l'ouvrage de J-M.V, Noeud), (mélange de Chap II, p39, & Chap V de Noeud, p161, 167, 178,)
(VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    11- La théorie des noeuds. 11.1. )
 
 
2006-01-01
Théorie des noeuds, deuxième partie, ( Noeud, chapitre VII, Clinique du processus du noeud, p257),
Théorie des noeuds propres comme sections transverses des noeuds  impropres et hybrides.
 Les composés de 3-chaines Bo et de Whitehead. (prolongement de Noeud).

(VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    11- la théorie des noeuds. 11.2. )
 
04
20041123
  Faire des ronds. Trois petites géométries de ronds pour faire des ronds, (VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    10. )
 
 
2004-05-29
  La métaphore du nom-du-père comme envers du Narcissisme, ,
involution entre les formules de la sexuations et les tours du dire au dit dans l'Étourdit.
(VIII- L'involution signifiante, 16- Des surfaces et du noeud, 16.2)
 
00          
 
98
1998-10-08
  Psychanalyse et Sciences, du fondement du discours de l'analyse,
 
 
97
1997-03
  Le travail du noeud,
Pour introduire à
11.2. Seconde partie : Théorie des noeuds propres comme sections tranverses des noeuds impropres et hybrides.
Les composés de 3-chaînes Bo et de Whitehead (prolongement de Noeud)
(VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    11.2. ) ,    
92

L'amour du tout aujourd'hui,

(J'ai ici, conservé l'unité de l'Argument II-II, plutôt que de répartir les Textes ci-dessous, selon leur année de publication. Le scribe)

(II- Du Phallus symbolique, Trois essais sur la théorie de la vérité, Clef pour la passe, (Les registres d'écrire de la vérité, Argument II , L'amour du tout aujourd'hui,
( le mode majeur de l'écriture de la vérité).
Théorie de l'évanouissement de l'assimilation comme de l'anti-assimilation :
     La castration comme manque absolu dans l'Autre,)
 
 
1992-12-18
       - L'amour du tout aujourd'hui,
¬
1ere partie,
 
 
1992-12-18_02
       - La logique canonique classique,
~
2 eme partie, I,
 
 
1994-03-18_01_II
       - La vérité dans cette topologie, écrite en mars 1994, Plaisance,
~
2 eme partie, II,
 
 
1994-03-24_03
       - Retour à Freud avec Lacan, écrite le 24 mars 1994, Plaisance,
~
3 eme partie,
 
 
1992-12-18 04
       - Les deux seules institutions monumentales de la psychanalyse, 4 eme partie,
 
 
1993-08-30
       - Eléménts formels pour la logique modifiée et la théorie de l'évanouissement,
~
Annexes et Table des matières,
 
91
1991-02-01
  Rupture et précipitation, Rupture du signifiant et précipitation de petites lettres,
Les démentis du Réel, faire témoin d'une fracture à l'Ecole de la cause freudienne (1991),
(VIII- L'involution signifiante, 16- Des surfaces et du noeud, 16.0.), ,
 
87
1987-01-01
Thèse sur le ruisseau ardent, à René LEW,

(VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    9. ) ,

 
           
 
       
 
 
2015
   
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

P

2015-06-02

UPD, *,

 

 

 

 

 

 

 

Effacement de la logique modifiée...Cours de Paris, mardi 02 juin 2015
Paris Diderot, Halle aux farines, Table des matières, *
Sommaire
Historique
-
Nœuds mathématiques ? Nœuds logiques, nœuds topologique ? .......................................3
Passage de la géométrie à la topologie. Ce que recouvrent ces notions :
- Histoire
: Le nœud mathématique, de ses origines géométriques vers les nœud logique ,
(Algébrique ?)
et topologiques.
Lire
-
De la théorie des nœuds, l’idéologie de l’hégémonie alphabétique et numérique. ...............4
Pour une autre écriture, et une autre lecture...
(d’autres langues non alphabétiques, des rêves.. des nœuds..)
-
Qu’est ce que lire ?...............................................................................................................5
Le Narcissisme,
- Les deux composants du narcissisme,
..................................................................................6
-
Le narcissisme et les nœuds :................................................................................................7
- La répétition, le rêve et le cauchemar,...................................................................................8
Le nœud logique, le nœud topologique
-
alors qu’est-ce que c’est que un nœud logique ? ..................................................................9
-
Du nœud logique (trivial) au nœud topologique (comme déformation), via la fonction, .....10
Définitions,
- Structure intrinsèque de la Logique classique,
.....................................................................11
Fonctions propositionnelles et concepts,
La logique et son enseignement
-
L’enseignement de la Logique.................................................................................................13
-
Des Prédicats (avec Kant) pour parler des concepts.............................................................14
- Des énoncés ouverts aux énoncés clos, les deux régimes de la coordination
La coordination
- Le Symbolique et la structure du
système d’écriture..............................................................15
-
La lecture précède l’écriture ! Le défaut de lecture (préalable) cause de la paranoïa du sujet !.16
- Langage et Incorporelles
: troubles chez l’autiste et le paranoïaque.......................................17
Des incorporelles et Fonction des mathématiques pour Lacan
-
Qu’est ce que c’est que les Incorporels ? incorporel(le)s ?

Le narcissisme et la pulsation des nœuds logiques ou des nœuds topologiques
Le narcissisme,
- Les mathématiques, le sujet et l’objet .
Parole et nœuds topologiques, écriture et nœuds logiques............................................................18
Parole et discours, de l’autorité

~

- Du phallus en politique, de l’usage des discours pour dompter les foules, de l’État de Droit , .19
de l’autorité,
Les Logiques classique et modifiée sont des algèbres de Boole, *,
- Les nœuds logiques de manière intrinsèque,
La logique classique et la logique modifiée sont des algèbres de Boole,
- Définition des nombres pairs et impairs................................................................................22
- La logique de Lacan, .............................................................................................................25
Le lieu de l’écriture
- L’oubli des rêves. La lecture................................................................................................26
- Antisémitisme et crime paranoïaque, le destruction du symbolique dans le corps de la victime,
- Des camps à la place de Mai
La folie et la psychose
- Folie et psychose ? Palette de la folie..................................................................................27
- Du Transfert et de la demande d’analyse
- La psychose paranoïaque, la forclusion..............................................................................26
- Lecture et narcissisme, et transmission,
La place de la psychanalyse
- Ce qu’est la psychanalyse...................................................................................................28
- Pratiques !
Logiques ...
- La fonction Ψ.................................................................................................................30
- La structure intrinsèque de la Logiqueclassique..................................................................33
- Qu’est ce que c’est que le nœud logique..............................................................................35
- Nœud logique, nœud topologique et le rêve
- Les lois de la parole, impératif du dire
Freud reconnait la logique modifiée
- Freud et l’invention de la Cure analytique, de l’effacement..................................................36
- Toute analyse est un traitement de la psychose.....................................................................37
- Constance de l’effacement, le sujet piètre prestidigitateur
- De la Liberté ; et de l’absurdité du contrôle prescrit pour l’analysant.
De l’analysant infini...
- Bibliographie ........................................................................................................................39

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 
2015-03-25

JMV, *,

 

 

 

 

 

 

 

(3 4), Discours entre groupes et foules et du réel des discours établi par le théorème principal de Lacan, Le réel des discours,
Abrégé,
... nous sommes aller lire le séminaire et là se trouve l'exposé de ce réel, cet impossibilité de faire tourner le monde bien huilé des bijections entre elles modulo la somme arithmétique....
Positions,
L'exercice,
Exemples,
1. Premier exemple,
2. Second exemple,
1.
Expressions littérales des discours au moyen d'une permutation des termes
0. Les termes,
0.1. Les places :
0.2. Les lettres,
1. Permutation circulaire élémentaire,

2. Les discours, :
Présentation graphique de nos deux exemples,
Observations remarquables,
Noter aussi au passage une dernière remarque,

2. Expression littérale
de l'impossible, dit le réel, de ces discours
Remarque
décisive relative à l'aspect énigmatique de ce réel.
Petit théorème : Pour toutes les bijections,
3.
Généralisations arithmétiques du réel des discours et du théorème qui l'établi
Petit théorème,
Conjecture généralisant
à n quelconque le petit théorème de Lacan (cas où n = 4) :
Expression littérale de la conjecture
:
Le petit théorème
de Lacan (version logique et arithmétique) :
Le Théorème
majeur de Lacan,
Théorème,
Le Théorème majeur de Lacan,

4. Démonstration du théorème majeur de Lacan
Vers la démonstration du théorème,
Définition,
Lemme 1,
Démonstration effective,
Lemme 2,
Démonstration,
Démonstration du théorème,
1) Le principe de la démonstration,
Lemme 3,
Explicitation
et démonstration du lemme,
2)
- Démonstration effective du théorème
Calcul de la valeur de
Σn en fonction de la parité de n,

Annexe 1 :
1.Définition de l'application,
2. Définition de la permutation,
3. Définition de nombre entier,
Définition de l'écriture du nombre entier

4. Définition du nombre entier pair,

Annexe 2 :
Démonstration dogmatique préalable afin d'établir le lemme 1,
Définition,
Théorème,
Démonstration,

Annexe 3 :
Synopsis mathématique de la première partie de la démonstration,

Annexe 4 :
1.
Par le calcul inverse à partir de la parité de n
Lemme de la parité,
Démonstration,
2.
Combinaisons dans le triangle arithmétique

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
           
 
P
   
 
 
2015-01-27

ENS, *,

 

 

 

La logique modifiée et les noeuds logiques,

Exposé systématique,

Sommaire ...............................................................................................................1
L’ensemble Z2 .......................................................................................................2
Un corps algébrique ...............................................................................................3
Coupure, collure, chemin et cycle,..........................................................................6
Chemin et cycle dans la théorie des graphes, ........................................................ 7
Pensée, langue, narcissisme et logique ...................................................................8
Tore et bande de moebius : un relation, discontinue, et non topologique...............9
Retournement de la sphère et du tore, en plans projectifs....................................10
Fermeture et ouverture de l’inconscient
Le paradigme en matière d’Algèbre et de Logique,................................................12
Publication, censure, auto censure, racisme, xénophobie, antisémitisme,
le pouvoir de l’écriture dans l’espace public
!.......................................................16
Liste des connecteurs logiques : unaire, binaire.... Trinaire ..................................17
Qu’est une Algèbre de Boole ? .............................................................................23
Groupe, anneaux, corps et module, algèbre, espace vectoriel !..............................24
Définition des objets .............................................................................................25
Définition d’un ensemble cantorien ........................................................................26
Bibliographie

~

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 
2015-03-31
La raison des noeuds logiques explique la logique modifiée,    
 
           
 
     
 
 
 
2015-03-17
B-A, *,
Les noeuds logiques et leurs effets sur les tables de vérité, présentée comme des tables de lois de composition interne ( à propos de la négation modifiées, ∼, (tilde)),
La raison des noeuds logiques explique la logique modifiée,
 
 

P

 

 

 

 

 

 

- Définir la négation modifiée,
Définition du noeud logique quelconque (u, V)
1. Les conecteurs ΘuV intrinsèque du noeud (u, V),
Définition 1,
2- L'homéomorphisme ΨuV,
Définition 2,
Théorème principal des noeuds logiques,
1) Commentaire diagrammatique passablement catégorique,
2) Nous délmontrons notre Théorème principal par le calcul,
3) Conséquence pour la notion de noeud logique,
Plus d'effectivité,
1) Vérification des noeuds logiques,
Et conclure ce premier temps,
2) Effets des Noeuds logiques sur les Tables de vérité,
0.Théorème,
1. Tables de composition des connecteurs classiques,
a. Listes et treillis des connecteurs classique Θ écrits en algèbre,
b- Treillis des tables de composition des connecteurs Θ du noeud logique trivial,
2. Tables de composition des connecteurs ΘuV d'un noeud logique (u,V),
a. Listes et treillis des connecteurs non classiques ΘuV écrits en algèbre,
b. Treillis des tables de composition des connecteurs non classiques ΘuV,
c. Commentaire relatif à notre théorème principal,
~
 

 

 

 

 

 

 
   
 
 
 
   
 
 
 
2014
   
 
 
         
 
 
2014-12-12
BAL, *,

Clinique du processus du noeud,
l'étape intermédiaire de 1967 entre la question préliminaire et le sinthome,

I- Marx le symptôme, 28 mai 1997.....................................................p4
Lignes d'horizon sur le cross-cap, .......................................................p5
Stratégie en conséquence,....................................................................p8
Suite de la stratégie, ..........................................................................p10
Vérité, Jouissance et savoir, ..............................................................p15
II- Former des saints, 30 mai 1997, ..................................................p16
Cervantès et Quichotte, .....................................................................p17
La pratique analysante, .....................................................................p20
Le réel et la réalité, ...........................................................................p21
La suppléance freudienne première analyse, ....................................p24
La suppléance freudienne seconde analyse,......................................p27
Le père et le pire, ..............................................................................p28
Comment la psychanalyse opère, .....................................................p32
Parcourir l'ensemble de la structure, .................................................p40
   De la distinction entre l'homosexualité et la perversion, ................p41
Vers la sortie, .....................................................................................p43

 
 
           
 
     
 
 

P

2014-08-24

Belv, *,

 

La logique du fantasme et sa topologie,
Articulation de l'aliénation et de la séparation composant le poinçon noté , ...
1- L'aliénation et le disque troué,
2- La séparation effet des trous dans l'intersection de deux disques troués,
3- L'équation du fantasme dans le disque S à l'instant de la séparation,
4- Le diagramme synchronique d'Euler-Venn contenant la diachronie de la séparation,

 
 
         
 
 
2014-03-31

BALV, *,

 

 

Joyce hystorique,
Position de la problématique,
Prévention :
d'abord lire le séminaire XXII, RSI, pour lire le Séminaire XXIII le Sinthome,

Première leçon du séminaie RSI,
La droite infinie à partir de la Troisième,
Dans R.S.I alors,
Le névrosé
se fait du tore de lui même, il s'auto-torise, il s'autorise.
Mais alors qu'est-ce que
le sinthome dans cette histoire ?
La psychose du président
Schreber
La suppléance freudienne
dans R.S.I.
Lacan essaie de voir si on peut s'en passer,
  Le symbolique doit surmonter le Réel en deux endroits,
La construction en analyse,
   Etudier la lecture du noeud au lieu de l'apprendre,
Le symptôme
actuel de la psychose paranoïaque en tant que personnalité,
La psychose,

Annexe relative aux suites de Fibonacci,
Définitions,
Explication succincte sur un exemplaire,
Présentation importante dans une disposition élégante des chiffres,
Que remarquons nous ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
     
 
 
 
2013
   
 
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

P

2013-09-10

MINES, *,

 

 

 

 

 

 

De la logique ..., et des formules de la sexuation,

Sommaire ..............................................................................................................................1
La théorie des ensembles, les nombres, Ordinaux et cardinaux, construction, Cantor, .........2
L’équivalence logique,5
pour le côté Homme,
pour le côté Femme,
le paradoxe de Russell, ..........................................................................................................4
le mot d’esprit de l’écriture logique des mathématiques, ......................................................5
troubles économiques et économie de la parole et de l’écriture,
Mémoire et langage, les mythes : une condensation « de position ! »,
pas une conception du monde ! (la condensation au service du refoulement, Freud
le copiste !)

La différence symétrique (aimer ou désirer)..........................................................................6
La logique modifiée s’écrit du côté Femme, par l’ajout d’un rond supplémentaire..............7

Ecrire est un acte (Wittgenstein, Freud, Cantor) littéral, .....................................................8

Freud, la deuxième topique, le narcissisme, et la phase phallique, la castration....................9
Le Sexe c’est le langage alors il devient sexualité, sexualité qui par le langage,
la parole et avec le narcissisme devient génitalité

La radicalité de l’écrit (un pied dans le caniveau- Wittgenstein)

Le désir d’analyse soutenu par l’analyste
L’analysant a mis le petit doigt dans l’engrenage, ça ne s’arrêtera plus !

La psychanalyse est achevée par Lacan, elle n’est pas en danger ! Il n’y a rien à défendre !.10
C’est un lien social dénué de toute nécessité de groupe !

Que faire aujourd’hui ? (après Freud, Lacan, et ... Vappereau ?)

Pour les formules de la sexuation de Lacan : Faire de la logique !
côté Homme : logique classique,............................................................................................12
côté Femme : logique modifiée, présence d’un rond supplémentaire
pour construire l’objet a !

Ni Dieu, ni la Nature, n’écrivent ni ne lisent !

La logique est modale, et apophantique (liée à la parole et aux incorporels) (base du calcul des propositions).........................................................................................................................15

La sexualité c’est le phonème, ..............................................................................................16
le phonème n’est pas darwinien, ...........................................................................................19

L’origine résiduelle de l’écriture

Construire un modèle extérieur !!!!!.....................................................................................20

Construction de l’objet a à partir de la théorie du Tau de Hilbert

Bibliographie..........................................................................................................................25
 
 
 
 
 

 

 

 

 

 

 

 

P

2013-09-10

Extrait, *,

 

 

 

 

 

Mathématiques,
ligne 149 à 800, du texte ci-dessus,

Condensation et acte d'écriture.
La mathématique n'est pas .... sténographie ou comptabilité,
Au service de la parole et de l'écriture, moyen mnémotechnique,
La condensation, Métaphore et métonymie,
Les mathématiques sont une écriture, pas un métalangage,
Construire l'objet a,
La logique classique est déjà modale,
Où Aristote dérape, ... la Nature serait mathématique ...!?,
Des maths propulsées dans l’Univers ;  Jung, Joyce, Saint Thomas même combat …
La logique classique est modale, c-à-d qu’il y a un jeu d’incorporels,
Apophantique,
Ce qu’est la logique classique et la logique modale,
Le métalangage, le commentaire nécessaire,
Une écriture sans parole : Les Mathématiques,
Une logique de Boole,
Une négation nouvelle, ~ , une logique modifiée,
Le psychisme,
Eros (L’inconscient, le sexe) et Psyché (Psy),
La différence entre langage et commentaire, s’oublie ;   le sexe, le Trieb freudien c’est du langage,
Jakobson et la grammaire du français en français, Le phonème, La linguisitique,
L'origine des lettres,
Les mythes au néolithique,
Le fantasme d’Organt,
Echec et suppléance, écriture de l’objet a dans une théorie extérieure,
PETITOT et le Tau de HILBERT !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 
2013-03-23

BAL, *,

 

 

LACAN lecteur de GILSON, seuls les anges se précipitent là où les anges redoutent de s'aventurer.
Causalité de la folie et causalité psychique,
La fixation kantienne, et le manque d'SKbeau
,
Deux éthiques pour affronter le monde moderne,
La folie : la belle âme, ou
La reconnaissance du désir, sans culpabilité inconsciente,
Psychanalyse et honte au logis,
Le silex et le chercheur idéal,
Les principes de la pensée,
De la lecture,
Thèse1 : Penser c'est lire,
Corollaire : N'est pensée que ce qui cesse de ne pas s’écrire (contingent).
Une écriture de ce qui s'évanouit,

 
 
 
   
 
 
 
2012
   
 
 
             
 
2012-05-
JMV, *,
.html,
 Lecture des formules kantiques de la sexuation, 2 pages, 02,
(Résultats résumés en un tableau des schémas et des formules).
(IV-Mise enoeuvre de la Séparation, Lecture des formules de la sexuation, 7.).

(Attention trois textes sur la Lecture des formules de la sexuation,
le texte du 25 décembre 2007, 46 pages, 00,*, celui de mai 2009, 16 pages, 01
, *, et celui-ci, de mai 2012, 2 pages, 02, *).


Résultats résumés,
Les quatre systèmes d'écriture principaux
- La topologie du sujet (S3,T3), modifie ces différents chapitres,
- La logique de la coordination, (S2,T2), lieu de la théorie de la vérifonctionnalité,
- La logique des prédicats (S1,T1), exige la théorie de la kantification,
- La théorie des ensembles (S0,T0), Théorie standart axiomatisée à la Zermelo-Fraenkel.

 

1. Exercice préalable à la lecture, (aperçu ci-contre)
Un,
Deux,
Trois,

2. Planche des schémas et des formules côté Homme et côté femme de l'écriture de leurs ratages et suppléances respectives.

 


¬

 
         
 
 

2012-05-15

 

JMV, * ,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Clef de la passe ( Le mode moyen de l'écriture de la vérité)
Arg III, 1 ere partie,
[suite et retour sur la question de la vérité ( dans S2, T2 ) traitée dans le texte :
II- La phallus sympolique, Clef pour la passe, Argument II, L'amour du tout aujourd'hui, 2 eme partie, p57,
]

ASPECT MODALE DE LA LOGIQUE
CLASSIQUE DE LA COORDINATION,


LE MODE MOYEN CONSTATIF OU APOPHANTIQUE
DES TROIS REGISTRES D'ECRITURE DE LA VERITE

De J.LACAN à HINTIKKA,

de l'effacement ...

1ere partie,
Classiques de l'aliénation,
0- Avec la vérifonctionnalité, ou l'algèbre de Boole ..., p163,

I- Aspect modal de la logique classique, p164,
Le choix des valeurs dites de vérité, Le sens vérifonctionnel, ( S2 , T2 )
effet de sens et effet de signification = le discours comme lien social,
Signification, lecteur, lisibilité = les incorporels, ce par quoi le symbolique tient au corps,
Le couple "des moins signifiant possible" : Truc et antiTruc , voir True ! p165,
Dans le langage, il y a plusieurs langues et une langue est elle même au moins deux langues ou plus. p166,
Le langage sexualise le corps à l'instar de ce type d'identité propre à chaque élément qui relèvent du langage, du phonème en passant pour le mot, la phrase, le texte, le discours, jusqu'à l'ensemble du langage lui même.
La Logique et le temps : Le temps n'ayant rien à faire en Logique dans cette discipline normative qui ne s'intéresse qu'à la Vérité nécessaire, c'est à dire indépendante du temps. p167,
Frege est logicien et non logiciste, du fait de la Parole comme acte et de l'existence de son lieu noté : , p168,
Indications sur la fonction propositionnelle de Frege, P(x), traitée au chapître V, p169,

II- Etude des différents registres d'écriture de la vérité, p170,
Premier exercice de lecture, comment lire p et ¬ p, p172
Second exercice de lecture afin de distinguer entre les différentes disjonctions, p173,
     Le treillis de Boole,
Troisième exercice critique du dit pardoxe de l'implication matérielle, p174,
    Le sens vérifonctionnel,
Quelques autres résultats, p180,

III- Où les logiciens sont fondés à définir ainsi la structure de l'implication, p182,

Démonstration de l'équivalence des formulations, moyennant la thèse dite Loi d’«import/export»,
[((p∧q)
r) (p (q r))]

¬

" La vérité dans ( S2 , T2 ) dont nous traitons dans "L'amour du tout aujourd'hui" dans le second argument de Clef pour la passe (Argument II, p 57) nous laisse quelques regret, surtout lorsque nous reprenons de cette question de la vérité intrinsèque à ( S3-1 , T3-1 ) dans notre topologie du sujet ( S3 , T3 ) extrinsèque pour une série de démonstrations suivant en cela l'impératif de Tarski qui impose la notion de système isolé dits sémantiquement clos, afin de segarder de l'inconsistance.
Ces démonstrations sont assez difficiles à suivre dans leur conséquences,
De toutes les façons elles aboutissent à un
effacement.
Nous revenons maintenant la dessus dans l'argument
suivant".
p159,

 

Si en effet les Lois logiques n'ont pas à être justifiées en référence au temps, du fait qu'elles sont produites par une coupure, certes radicale et décisive, avec le temps : elles sont nécessaires et ainsi ne cessent de s'écrire, c'est omettre de la part de Frege qu'il convient de se référer au temps au préalable afin de produire cette coupure caractéristique qui fondent la Vérité à partir des vérités qui deviennent éternelles dans le cas des thèses ou des tautologies pour ce qui concerne l'objet de ce chapitre. p167-168,


ci-dessus Table page 185

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 
2012-05-15

 

 

 

JMV, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Clef de la passe ( Le mode moyen de l'écriture de la vérité)
Arg III, 2 eme partie,        (aperçu),
[suite et retour sur la question de la vérité traitée dans le texte :
II- La phallus sympolique, Clef pour la passe, Argument II, L'amour du tout aujourd'hui, 2 eme partie, p57,
]

ECRITURE EFFECTIVE DU MODE MOYEN DE L'ECRITURE DE LA VERITE
Le système d'écriture ( S2 , T2 )+, ........................................................p191,
Un caractère primitif supplémentaire,
   La lettre 1 est un caractère primitif de S2+ ,
Une clause formative supplémentaire,
   La lettre 1 est une formule de S2+ ,
Une abréviation supplémentaire,
   La négation 0 = def ¬1 est une abréviation indépendante du contexte de S2+ ,

IV- EFFETS DE CETTE MODIFICATION
DU SYSTEME D'ECRITURE
DU CALCUL DE LA COORDINATION CLASSIQUE, .....................p 193,
   1- Nos formules, expressions bien construites dont les termes relèvent de deux couples de lettres intrinsèques pour former S2+ ,
   2- Formation de nouvelles thèses où la clause déductive de Substitution joue un rôle majeur, & calcul exclusif entre les deux nouvelles lettres qui engendre les lignes des tables de vérité de manière intrinsèque au système d'ériture ( S2 , T2 )+,
   3- Constat de la différence entre le calcul en terme de petites lettres comparé au calcul entre les lettres majuscules,
Comparaisondes calculs sur les lettres constantes des deux types et nouvelle façon de dresser les tables de vérité,
    Exemples,

Théorème, ............................................................................................p194,
Les données nécessaires et suffisantes pour établir les lois logiques de
la coordination en termes de verifonctionnalité à partir des tables de la négation et de la disjonction révèlent des résultats d'ordres différents,
0.
l'ordre de la définition d'une abréviation 0 ¬ 1
1.
l'ordre d'une loi de composition interne (1 1) = 1 et (0 0) = 0
2.
l'ordre d'une loi de composition externe (1 0) = I et (0 1) = I

Ainsi deux interprétations sémantiques sont bien constructibles, mais nous les réunissons maintenant surune même base intrinsèque à ( S2 , T2 ) lui même, sans référence aux deux lettres 0 et 1.

Démonstration de l'aspect modale de la logique classique dés la construction instrinsèque de système d'écriture ( S2 , T2 ), par un nouveau type de tables propres aux formules ( S2 , T2 ), intrinsèque à ce sytstème d'écriture,
En logique classique
les valeurs sont au nombre de 2 m , ici m = 2 soit en nombre 2 2 = 4 valeurs sont présentes et occultées dans la syntaxe.

V- LA VERIFONCTIONNALITE ENTRE INTRINSEQUE ET EXTRINSEQUE, p195
1. Nouveau protocole de construction des tables intrinsèques à ( S2 , T2 )+,
Invention d'un nouveau procédé de construction des tables de vérité instrinsèque à ( S2 , T2 ),
et à ( S2 , T2 )+, qui ne discerne pas les options extrinsèques avec le couple, 1, 0, ou intrinsèque avec le couple noté Ø, ,
1.1. Le raisonnement suivit est très simple.
- truc, noté : , et antitruc, noté : , de Quine
- les deux lettres Majuscules intrinsèques "O barré": Ø, (p ∧ ¬p) et
"I barré": (p ∨ ¬p) telles que Ø = ¬
- les deux lettres minuscules extrinsèques : 0 et 1
Ce Sytstème d'écriture, écrit le système d'écriture ( S2 , T2 ), augmenté de ces deux lettres et
respectant leur relation basique 0 ¬1 les autres relations entre ces lettres suivent par substitution des thèses du système classique ( S2 , T2 ),.

¬

 

" Que le lecteur veuille bien appliquer cette clef aux commentaires divers, aux confidences, aux thèmes et doctrines qui ont cours sur la Logique, les
mathémmatiques, les sciences et les religions, enfin sur la psychanalyse.

Je m'assure qu'il se verra conduit à plus d'une remarque ou découverte, qui le décevra peut-être d'abord, pour le combler ensuite de satisfaire l'esprit. une fois reconquise
.
"
Cité par J-M.Vappereau en fin de ce Texte.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
   
2- Construction des tables d'évalution instrinsèques ou syntactiques,
Dresser la première colonne de nos tables par leur première ligne, ..................p195
     Voir les conditions de cette écriture,
 
 
   

 

 

 

 

3- Distribution des lignes dans la table de vérité et caractérisation par un sous-ensemble noté :
s, de l'ensemble [n]*, .................................................................................p196

Chaque ligne correspond à un sous ensemble s de [n]*, tel que s ∈ ([n]*).
Table gauche ci-contre, .....................................................................................>

 
                         
Cette Table (gauche) appartient au point 3. Cette Table (droite) appartient au point 4.
 
      4- ...,comment nous préférons les expressions intrinsèques au système d'écriture (S2, T2) formant le couple d'opposition p et ¬ p, .....................> Voir Table ci-contre à droite,
puis se référer au Texte original,....
   
 
   

 

 

 

 

 

5- La partie séparée de la Table, (partie séparée des distributions de valeurs par un double trait, ) calcul pour chaque expression bien construite de P et chaque distribution s, ces résultats disposés en colonne, Ps est définie ainsi !

Définition :
Où chaque ligne correspond à la distribution des instanciations de vérité .....p197,
... voir le Texte original,

Ps = ( p pi )(¬ p pj) P avec i ∈ s et j ∈ Cs,

 


 
   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

-6 (? noté 5 ?), .......................................................................................p198
Obtention d'un résultat qui ne peut prendre comme valeur que l'un des quatre connecteurs unaires dont les structures syntaxiques se déclinent au plus simple en
p, ¬p, (p ∨ ¬p) = ou (p ∧ ¬p) = Ø.

dont l'ordre pour la conséquence valide suit le Treillis de quatre termes(ci-contre droite)

L'énigme : Comment les fonctions trinaires, pour n = 3 lettres minuscules et deux valeurs écrtires 0 et 1 ou par p et ¬p, peuvent écrire les 28 = (16)2 cas de ces connections classiques,
si nous donnons quatre valeurs aux connections trinaires qui prduient ainsi 48 = (16)7, le rapport étant de 4n à 2n du fait de 4n/2n = (2n x 2n)/2n= 2n , soit un rapport de 2n unités.

Résolution de cette énigme :

Définition,
Principe de distribution favorable, .......................................................p199,
Théorème,
pour chaque ensemble s, et son complément noté : Cs
dans [n]* parmi les éléments de P([n]*),
nous disposons de la relation suivante PCs = ¬Ps*, entre les formules apparaissant dans les lignes s et Cs de la table,
Démonstration,
L'expression PCs correspond à l'inversion des lettres p et ¬p dans la ditribution ¬Ps,
lire le texte original,

Le théorème est démontré,

Corollaire, ......................................................................................p199,
.... sur la symétrie d'axe des tables de vérité intrinsèques, ....

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
   

 

 

 

V- RELATION QU'ENTRETIENNENT ENTRE ELLES,
CES TABLES ET LES TABLES USUELLES
, ........................................p201,
(aperçu),

1. Substitution, ...
2. Ajout d'un trait distinctif pour retrouver les résultats classiques, ...
.. à propos d'une anomalie des valeurs de vérité ...
Effet de cette identification,
Treillis des connections constantes, unaires et binaires, ..........................p203
Théorème principal, p 204,
Démonstration,
Le théorème est démontré par la construction et cette rétrocation, ......... p204


 

 

 

 

 

 

 
   

 

 

 

 

 

 

VII- (peut-être VI ?) ANALYSE DES TAUTOLOGIES
TROMPEUSES ET REMARQUABLES .......................................p207,
Décomposition des deux thèses classiques en matière de vérité,
les tables syntactiques,
Introduction d'un opérateur apophantique,
Définitions,
sP se lit "P est vrai dans la situation s",
résume l'expression :
sP : [p Ps],
apophantique veut dire : "ici et maintenant je parle" , du lieu où je me
trouve je parle des faits dont mon commentaire ne peut être que vrai ou faux.
voir la Table ci-contre .......................................................................p 208,
Distinguer les situations prises toutes ensembles "différentes de l'ordre établi en chacune !"
lire le texte original,

Nous avons bien à faire à une Logique dont la souplesse est effacée par une identification des valeurs qui la trivialisent de manière brutale. Notre logique et nos études de la langue qui en répond se pratiquent entre deux et quatre postes qui laissent place à une dynamique entre deux et trois dimensions.
Ces dimensions donnent lieu à la découverte de la psychanalyse par
Freud et au commentaire critique de Lacan qui fonde la découverte freudienne dans une structure qui se joue entre quatre et trois éléments.
Le quatrième élément fait sinthome persistant dans le symptôme de la
psychanalyse caractérisé par l'absence d'analysant hors de Freud et de Lacan auquel les lâches substituent la niaiserie d'une ... suite et fin du paragraphe ...lire le texte original,

(Hélas le dernier mot est tristement d'actualité en 2022 et pour de nombreuses années ...! commentaire du scribe).

 

 

 

 


 


Cette Table écrit que dans chaque situation s et par conséquent dans toutes les situation s la véracité de la formule
[(q p)(p q)]. table page 208,

 
   
VERS LA TOPOLOGIE DU SUJET ( S3 , T3 ), ........................................p209,
Le système ( S3 , T3 ), présente réunis dans une même construction intrinsèque la construction intrinsèque de ( S2 , T2 ), et l'analyse extrinsèque que nous venons d'étudier sans produire le type de contradiction dont Tarski tente de protéger la logique avec la notion de système (il dit langage) sémantiquement clos qu'il faudrait écarter.

Nommer les énoncés, avec l'équivalent du prédicat de vérité comme le cas de l'Algèbre de la logique dite Algèbre de de Boole qui présente le signe =, usuel en Algèbre qui se distingue de l'équivalence matérielle notée : ⇔.
Relation entre eux de registre différent, car écrit entre grandes lettres
(P = Q) : [
P Q] , venant pour les énoncés complexes dans la syntaxe de cette étude,
l'équivalentce supporte de s'écrire entre petites lettres (p
q) cette expression fait partie de la classe S2,                                                                      suite ci-contre à droite, .........>
 
suite ..
( S3
, T3 )
offre une nouvelle présentation de pure syntaxe de la partie
littéralisée ( S2+1 , T2+1 ), de la langue de commentaire de ( S2 , T2 ), à partir d'un
unique caractère supplémentaire mais qui n'est en aucun cas une valeur de
vérité mais une nouvelle négation.

Les valeurs de vérité nouvelles sont présentes mais occultées, comme effacées ou raturées, oubliées, voir barrées, offrant l'occasion d'une autre lecture de la barre portée sur les majuscules lorsqu'elles se laissent découvrir plus loin dans la construction qui ne contredit pas leur présence.
 
           
 
   

Annexe 1,.............................................................................................. p210,
Donnons en entier la citation commentée, extraite de l'ouvrage
“An introduction to modal Logic”.
G. E. Hughes et M. J. Cresswell.
Methuen. Londres et New York. 1968. ( S2 , T2 ),

«Dans un quelconque système standard [comme notre syntaxe S2 accompagnée de sa théorie T2 ], nous trouvons les thèses :
(1) [p (q p)]
(2) [¬ p (p q)]
Le sens de (1) est souvent formulé en disant que si une proposition est vrai, une quelconque proposition l’implique;
celui de (2) en disant que si une
proposition est fausse, elle implique n’importe quelle proposition.
Ensemble, elles sont souvent appelées le paradoxe de l’implication (matérielle).»


« En effet, comme pour une quelconque proposition p, soit l’antécédent de (1), soit l’antécédent de (2) doit être vrai du fait que (p∨¬p) est une thèse,
il est aisé de déduire de (1) et (2) la thèse suivante :

(3)
[(q p)∨(p q)]
C’est-à-dire que pour une paire quelconque de propositions, soit la première implique la seconde, soit la seconde implique la première

 
« Lewis ne souhaite pas rejeter ces thèses. Au contraire, argumente-t-il (et sûrement de manière correcte) que (1) et (2), quand elles sont proprement comprises ne sont ni des mystères, ni de grandes découvertes, ni de grosses absurdités, mais au mieux reflètent le sens vérifonctionnel dans lequel est employé le mot “implique”.»

«Mais il (Lewis) maintient aussi qu’il est un autre sens, plus fort du mot “implique”, un sens dans lequel nous disons que p implique q et nous entendons que q dérive de p. Et dans ce sens du mot implique, ce n’est pas le cas que chaque proposition vraie est impliquée par une quelconque proposition, ou que chaque proposition fausse implique n’importe quelle proposition.

Dans ce sens plus fort du mot “implique”, il y a des paires de propositions dont aucune des deux implique l’autre. »
 
           
 
   

 

 

 

 

 

 

Annexe 2, ........................................................................................p211,

(aperçu),
Le formulaire pour le système d'écriture ( S2 , T2 )+,
incluant le composant sémantique (0,1) de la coordination de ( S2 , T2 )
,

a1- Le composant syntaxique S2+ du système d'écriture
1'. Les caractères primitifs de S2 donnent nos clauses ...
1'.2. Les clauses formatives de S2 deviennent nos clauses ...
1'.3. Les abréviations de S2 donnent nos clauses ...
a2- Le composant déductif ou la théorie T2+ du système d'écriture.
2'.1. Les clauses déductives de T2 deviennent ...
2'.2. Les axiomes de T2 deviennent ...

La substitution des nouvelles lettres (0,1) dans les formules classiques produit les formules et les thèses (selon la clause déductive cd. 2'.1.2) originales de ( S2 , T2 )+,

.....................................................................................................................en page 213

" Que le lecteur veuille bien appliquer cette clef aux commentaires divers, ..... "
voir ci-contre en haut droite

   
 
         
 
 

2012-04-08

 

Balv,

 

 

 

 

Eros et Psyché, 03, L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa construction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie III -Exemple d'une solution des plus larges et de portée discursive,
(aperçu),

La solution générale,
Etude du cas prototype le plus régulier,

Théorème, ..................................................................................................p2
L'Ics freudien est fondé, à la fois par l'existence des racines de l'équation :
(1)
aS aS (p) aS ¬ xyΦ) aS ¬ ztψ aS (p)] ,
en x, y, z et t qui est satisfaite avec
(i ≠ j) alors ( xij + yij = 1) et (zij = xij ) et ( tij = yij )
d'où se déduit que ( zij+ tij = 1),
et la différence entre ces deux négations si
(i = j) alors ( zij≠xij ) et ( tij≠yij ).

¬

LA PAROLE SOIT LE FAIT DE DIRE , L ' ÉNONCIATION : Φ (EROS )
OU LA FONCTION IMAGINAIRE DU PHALLUS SYMBOLIQUE
ET L ' INCONSCIENT : Ψ (P SYCHÉ ) SOIT LE PARLETTRE

Les symptômes relèvent de l'exercice de la Parole dans l'inconscient d'un corps habitant le langage qui en est sujet et en dépend que celui-ci se croit un individu (organisme indivisible) ou qu'il s'agisse de la cité. ....p11

 
      1- Expressions des racines, .......................................................................p3
Recherche des expressions génériques pour les quatre variables, x, y, z, t,
... développement se référer au Texte original,
   
 
   
0- Définitions générales, ...........................................................................p4
Nous travaillons dans une algèbre de Boole
constructible sur un corps de Galois GF( 2n ).

Définitions :
L'addition (x+y) et la multiplication (xy) d'une algèbre de Boole construite sur un anneau de Boole étendue tolérant l'existence des éléments originaux a, S, et de leurs composés ajoutés aux deux éléments neutres, seuls éléments de l'anneau de Boole notés : 0 et 1.
Ici en plus de la différence symétrique écrite par la somme ( x+y) et
la conjonction écrite par le produit (xy),
la négation classique s'écrit : ¬x : (x+1),
l'assertion d'une expression complexe P pour écrire "P vaut 1" et
le caractère de l'égalité pour écrire l'assertion de de l'équivalence (P=Q) : [P Q],
à distinguer de l'équivalene logique notée (x ⇔ y) ou ( x ⇔ 01 y) qui n'est pas une relation , cas d'égalité, mais une fonction à deux variables : x et y, (x ⇔y) : (x +y+1).

   
 
   
Définitions propres à ces calculs,
définir les notations originales de nos calculs, de la manière suivante.
L'assertion extrinsèque et propre à un nœud logique vu
vu
P = [P 01u]
Un énoncé quelconque du nœud vu
ψ
vu (p) = pu + (p+1)v
La négation intrinsèque propre au nœud vu
¬vu p = uv + (u+v)(p+1)
et son équivalence matérielle
(p
vu q) = u + (u+v)(p+q)
   
 
   

Position de la construction, .......................................................................p5
construire un cas général qui relève de ce théorème dans l'algèbre de Boole construite sur le corps GF(216) présentant quatre objets a, S, p, q et par conséquent seize atomes.
choisir les valeurs de x, y, z, et t en fonction de p et q tel que ces valeurs s'expriment comme des combinaisons linéaires des formules atomiques de a et de S,
soit de telles manières que chacune respecte la structure syntaxique suivante
s = Σij sij (a+i)(S+j) avec (i, j)∈{0, 1} 2.

En tant que combinaison linéaire des quatre atomes en a et S, chacun étant divisé en quatre par p et q ainsi se déduit notre choix minimal d'un espace de dimension 16.. d'autre part, étant donnés i et j, il y a seize choix en p et q pour sij de telle manière que 0 sij 1.

 

diagramme des 16 atomes, page 5
 
   

I. Choix d'une construction qui satisfait le théorème, .............................p6
1- si (i j) les autres cordonnées de y, z et t
sont déterminées par
(y
ij = x ij + 1), (z ij = x ij ) et (t ij = x ij + 1),
Choisissons
(x
01 = p) alors (y 01 = p+1), (z 01 = p) et (t 01 = p+1)
et
(x
10 = q) alors (y 10 = q+1), (z 10 = q) et (t 10 = q+1).

2- si (i = j), voir le texte original,

   
 
      Constructions effectives de x, y, z, et t,...................................................p7
Les quatre diagrammes et les quatre expressions qui leur correspondent...
   
 
   
 
 
   
(x 01 = p) (x 00 = pq) (x 10 = q) (x 11 = pq+p+q)
(y
01 = p+1) (y 00 =pq) (y 10 = q+1) (y 11 = pq+p+q)
x = pa(S+1)+pqaS
y = (p+1)a(S+1)+pqaS
+q(a+1)S +(pq+p+q)(a+1)(S+1)
+(q+1)(a+1)S+pq+p+q) (a+1)(S+1)
 
(z 01 = p) (z 00 = pq+1) (z 10 = q) (z 11 = pq+p+q+1)
(t
01 = p+1) (t 00 =pq+1) (t 10 = q+1) (t 11= pq+p+q+1)
z = pa(S+1)+(pq+1)aS
t = (p+1)a(S+1)+(pq+1)aS
+q(a+1)S +(pq+p+q+1)(a+1)(S+1)
+(q+1)(a+1)S +(pq+p+q+1)(a+1)(S+1)
 
     
 
 
   

II. Mise à l'épreuve de ce choix parmi d'autres, ...........................................p8

Pour mettre à l'épreuve notre choix nous devons dresser l'expression
aS
[(ψ aS (p) aS ¬xy S) aS ¬zt ψ aS (p)]
il nous faut commencer par écrire
¬xy
S = xy + (x+y)(S+1)
¬zt
ψ aS (p) = zt + (z + t)(pS + (p+1)a +1)
                    = zt + (z + t)(p(S+a)+(a+1))
dans ces conditions,
soit avec
xy = pqaS+(pq+p+q)(a+1)(S+1)
(x+y) = (a+S)
zt =
(pq+1)aS++(pq+p+q+1)(a+1)(S+1)
(z + t) = (a+S)

Nous obtenons

1) ...
2) ...

Ayant avancé dans l'expression des termes de notre équation ............................p9
aS
[(ψ aS (p) aS ¬xy S) aS ¬zt ψ aS (p)],
nous devons encore former
1) (ψ
aS (p) aS ¬xy S), ....
Puis disposant déjà de
2)
¬zt ψ aS (p) = pa(S+1) + (pq+1)aS`
                           + (p+1)(a+1)S +(pq+p+q+1)(a+1)(S+1)
nous voulons les mettre à l'épreuve de notre équation.

... suite se référer au texte original, ....
   

 

 

 

 

 

 
   

III. Etude de l'équation et mise à l'épreuve de l'existence de la solution générale, ..p10

Ces résultats viennent se placer dans notre équation
que nous
commençons à transformer en
aS
[(ψ aS(p) aS ¬xyS) aS ¬ztψ aS(p)]
[(ψ
aS(p) aS ¬xyS) aS ¬ztψ aS(p)] 01 S = 1
ou
[(ψ
aS(p) aS ¬xyS) aS ¬ztψ aS(p)] + S + 1 = 1
et
grâce à .... suite voir le texte original,

Epreuve de l'existence d'une solution assez générale,
Plaçons nos résultats dans l'expression suivante
(S+a)[(ψ
aS (p) aS ¬xyS) + ¬ztψ aS (p)] = 0
pour obtenir
(S+a)[pa(S+1)+aS+(p+1)(a+1)S
+
pa(S+1)+(pq+1)aS+(p+1)(a+1)S+(pq+p+q+1)(a+1)(S+1)]
= 0,
Ici nous soulignons .... voir le texte orginal,
Par
conséquent nous avons bien satisfait à notre équation
aS [(ψ aS(p) aS ¬xyS) aS ¬ztψ aS(p)]
avec les quatre expressions choisies pour nos quatre paramètres x, y, z et t.

De ce fait le psychisme, un énoncés quelconque ψ aS(p), est Inconscient au titre de son équivalence matérielle assertée avec la négation du caractère conscient :
¬xyS,
mais il est nié en tant que tel,
-
ni d'une manière intrinsèque à cette logique classique, notre nœud, c'est à dire par sa négation intrinsèque : ¬aSψ aS(p),
-
ni à la façon dont le conscient est nié en l'occasion : ¬xyψ aS(p).

 

 

Que ceci soit constructible de manière dogmatique en logique mathématique renforce la puissance contraignante du fantasme en matière d'idéologies discursives, soit de symptômes qu'ils soient particuliers aussi bien que politiques.

Les symptômes relèvent de l'exercice de la Parole dans l'inconscient d'un corps habitant le langage qui en est sujet et en dépend que celui-ci se croit un individu (organisme indivisible) ou qu'il s'agisse de la cité. ...................................p11

 
           
 
         
 
 

2012-04-07

 

Balv,

 

 

 

 

 

Eros et Psyché, 02, L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa construction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie II - Définition littérale de l'Ics. de Freud - Résolution de son équation,
(aperçu),

LA PAROLE SOIT LE FAIT DE DIRE , L ' ÉNONCIATION : Φ (EROS ) ......................p2
OU LA FONCTION IMAGINAIRE DU PHALLUS SYMBOLIQUE
ET L
' INCONSCIENT : Ψ (P SYCHÉ ) SOIT LE PARLETTRE,

Il s'agit de montrer comment la négation propre à l'inconscient découvert par Freud, qu'il note en 1915 : Unb. pour nous Ics., ...., est constructible lorsqu'il est défini par l'énoncé :
"Le psychisme est in1-conscient équivaut à l'in2-psychisme."
Les deux négations utilisées ici, écrites dans la langue
par les abréviations : inn, avec n prenant les valeurs 1 ou 2, différent de la négation classique notée en logique symbolique : ¬, qui inverse les valeurs de vérité classiques, réduites au vrai et au faux, rabaissant la dimension de la parole ainsi trivialisée dans l'écriture, sont produites afin de construire par le calcul cet Ics. dans son expression littérale la plus large grâce aux définitions respectives de ces deux négations.

¬

 

 

Du mode mineur de la vérité (intrinsèque),
(p 1) p )
passer du mode propre au psychisme conscient (Locke)
(Ψ(p) Φ) Ψ(p) )
à l'équation de l'Ics. freudien
aS aS (p) aS ¬ xyΦ) aS ¬ ztψ aS (p)]
selon les inconnues x, y, z et t qu'il faut déterminer.

 
   

 

 

 

 

 

L'ICS.de Freud défini par la résolution littérale de son équation, ..........p4
En logique modifiée, cette logique à la défectuosité si légère, transforme la Logique en une topologie du sujet.
le fait
"Qu'on dise.", qui reste oubliée par le sujet lui même sujet de cette énonciation, inconscient radical ... La logique classique est ainsi modale, pour le sujet, du fait de l'effet de signification incorporel, laissé par la modification, malgré son effacement, pour le sujet qui lit.

0- L'équation littérale qui définit l'ICS. freudien, ....................................p6
L'équation qui définie l'Ics. de Freud est une condition a-tarskienne en matière de Vérité.
La
condition tarskienne dite de structure T nous fournit la définition de la fonction phallique propre à la puissance de l'impératif paradant de l'énonciation qui se retrouve dans la pétition des occidentés prétendant à la conscience (européenne), notée : Φ(x), selon son énoncé dont la structure syntaxique s'écrit au plus juste ∀x, (i(x) = x), .... suite voir le Texte original,

I- Position de l'ICS. freudien, ...................................................................p11
Contre l'avis de Wundt, l'Ics. sera fondé, par l'existence des racines de l'équation
(1)
aS aS (p) aS ¬ xyΦ) aS ¬ ztψ aS (p)]
en x, y, z, t. si et seulement si (xz et yt)

   1- N'est pas une simple négation du psychisme,
   2- ni marqué par la même négation
¬ aS que celle qui marque alors le psychisme ψ aS dans un nœud logique qui duplique et réplique la logique classique...
Solution de l'équation pour t=1,
La logique standard de tout le monde
en tant que la logique imaginaire du moi se distingue de la
logique
du sujet du langage qui est assailli et troublé par la dérivation dans ses symptômes de l'existence littérale d'autres solutions effectives dans la logique modifiée du fantasme. ...p12

   

 

 

 

 
   
II- Première étape du calcul, .....................................................................p13
Explicitons la structure algébrique (syntaxique) de l'équation
(1') aS
[(X aS ¬ xyS) aS ¬ ztX]
en fonction de
la définition 1
(1')
[[(X aS ¬ xyS) aS ¬ ztX] 01 S] = 1.
que nous explicitons pour changer sa présentation...... suite du calcul pages 13 & 14,
   
 
      III- Analyse de l'expression à résoudre, ..................................................p15
Notre premier calcul nous indique que nous devons résoudre les deux équations logiques dans (B2)n
[1]
(S + a).[xy + (x + y)(S+1) + zt + (z + t)(S+1)] = 0
[2]
(S + a). [xy + (x + y)(S+1) + zt + (z + t)(a+1) + (S + a)] = 0
où nous pouvons isoler trois morceaux multipliés par (S+a)
dont deux se composent à un même troisième pour s'annuler dans chaque équation. .... suite page 15 & 16,
   
 
   

IV- Recherche des expressions satisfaisantes des racines, .....................p17
1- Expressions des racines,
Afin
de répondre à ces conditions nous allons chercher les expressions de nos quatre variables x, y, z, t lorsqu'elles présentent la structure syntaxique qui s'impose d'après notre analyse des équations où (S+A) remplit une fonction différente de sa négation (S+a+1).
................

2- Relations imposées aux expressions des racines satisfaisantes, .......p18
(a) [xy + (x + y)(S+1)] = I + α
=
Σij xijyij(a+i)(S+j) + (S+1) Σij (xij+yij)(a+i)(S+j)
=
Σij xijyij(a+i)(S+j) + Σi (xil +yil )(a+i)(S+1)
qui peut se décomposer en
I + α
I = (x01y01+x01+y01)a(S+1) + x10y10(a+1)S
α
= x00y00aS + (x11y11+x11+y11)(a+i)(S+1),

De même pour (b),...
Et encore pour (c),
...

Théorème principal, ...................................................................................p20
L'Ics. freudien est fondé, à la fois par l'existence des racines en x, y, z et t de l'équation
(1)
aS aS (p) aS ¬ xyΦ) aS ¬ ztψ aS (p)]
satisfaite si et seulement si
à la fois
a)

b)

   
 
     
 
 

 

 

 

 

 

 

 

P

2012-02-11
Republique, *,

 

 

 

La psychanalyse et les mathématiques, Freud contemporain de Cantor,
du matemata au mathème,
1- Lapsychanalyse, ce qu'elle est,
2- Les mathématiques, ( païenes et chrétiennes, jusqu'à la coupure Cantor,) ....p3,
2-1- Les mathématiques en elles-même,... p7,
       1- Contrariété pour le débile,
       2- Matérialité de l'écrit,
2-2- Déviation et dérive du mathème, ...p8,
       1- Origine du mot mathème,
       2- Déplacement du sens avec Lacan, et extension ...
2-3- Ta matemata, ...p9,
       1- Ce qui s'enseigne par excellence,
       2- Ce que l'on sait déjà,
            Les nombres : Cardinaux et Ordinaux
2-4- Deux exemples majeurs de matemata, ...p11,
            Le nombre,
            Les ligne, surface et solide, : Variétés de dimensions,

3- La psychanalyse et les mathématiques, ...p15,
           Le malentendu, le trauma, de Dieu (Dei) à la D.I.et au Dit
     1- Dieu ne sait pas lire,
     2- Manger le signifiant,
     3-1- L'enseignement de la psychanalyse, et conséquences ...
     3-2- L'invention du savoir produit du trauma,
             Fonction des incorporelles, ... p23
     3-3- Le mathème et la fonction des mathématiques, (tentative d'exclusion,... p26, note 39,)
     3-4- De l'écriture algébrique par exemple,
     3-5- De l'écriture enfin,
            a- Géométrie de tailleur de pierre,
            a'- Fente et refente, le Vide, la Répétition freudienne, Bord du trou...
     3-6- L'objet a, ...p30
             À lire,
4- Conclusion, ...p31,
             Reconnaître la répétition freudienne, le phonème y rejoint son objet où il s'efface,
             Après l'éloge de la folie, ....
             Ségréger ou réhabiliter le savant diagnostiqué ou désigné psychotique ?
             Les mathématiques une science dégénérée ?
             La psychanalyse, elle, est fondée depuis 1981.
 
 
   
 
 
 
2011
   
 
 
     
 
 

P

2011-09-06
Conférence,
*
,

 

 

Freud et Cantor, Compte rendu,
1- Les mathématiques ne sont pas une lubie de Lacan,
2- Jusqu'où va la théorie du transfert ?,
3- Topologie de la traversée du fantasme, la jouissance, le Cross-cap,
4- Le témoignage de la passe,
5- Lacan et la question de l'Universel,
6- Importance de l'écriture et de la matérialité littérale,
7- Dualité du corps,
8- Logique modale,
9- La subjectivité scientifique n'est pas l'esprit scientifique,
10- Psychose et transfert,
11- Phonologie et Topologie,
12- Désir et science moderne,
13- La coupure entre le sexe et le savoir,
14- C'est quoi les mathématiques,
15- L'involution signifiante,

 
 
       
 
 
     
 
 
  2011-05-17
JMV, *,
Eros et Psyché, 01, Partie I, 17-05-2011, exercice dialectique 1,
L'écriture de l'Ics.freudien en logique.
Eros et psyché ( le mode mineur de l'écriture de la vérité) modifié le 14 janvier2016,
De la loi de vérité intrinsèque au calcul ( Tarsky, Hans, et Wundt ) à l'écriture de l'Ics. de Freud :
sa construction littérale dans la logique modifiée en topologie du sujet.
Ou comment contredire Wundt (Locke) en raison
.
Partie I, Un exemple des plus simples et des plus réduits
~
 
 

P

 

LA PAROLE SOIT LE FAIT DE DIRE , L ' ÉNONCIATION : Φ ( EROS )
OU LA FONCTION IMAGINAIRE DU PHALLUS SYMBOLIQUE
ET L
' INCONSCIENT : Ψ (P SYCHÉ ) SOIT LE PARLETTRE

La solution la plus simple, ( (p ⇔1)   ⇔ p ), p2,
0. Une première construction de l'Inconscient freudien, p4,
Définitions, p9,
Effectuations,

 
 
         
 
  2011-05-17 BALV, *, N'ombre,   Projection de l'ombre de l'objet dans le plan
 Isomorphisme des mouvements de rotations d'un objet de dimension trois dans l'espace
et des  permutations de quatre    lettres dans le plan.
Deux aspects géométriques du narcissisme,

 

 
           
 
     
 
 

P

2011-02-05

Sorbonne,
*,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Raison et fonction de la topologie dans la psychanalyse et chez J.Lacan.
La Sorbonne, Paris ce 05 février 2011

La psychanalyse, la répétition et le lien social par le discours,
Le principe d’inertie, la gravitation et le fantasme scientifique, le symptôme en dérive, ,
Lacan a une posture galiléenne et Freud c’est Kepler,
Le contrôle en psychanalyse ?,  
La psychanalyse  ! Une ou deux ?
La méthode freudienne et le symptôme,
Savoir et Vérité, Ecriture et Parole, Territoire, portes, (elp , staferla, p276),

Les mathématiques, c’est du langage qui quitte la langue, c'est de l'écriture,
La fonction phallique, La fonction imaginaire du phallus symbolique,
Le langage tombe sur le corps par la parole, le langage c'est la déformation,
La belle Âme, la folie, début de cure, la responsabilité,
Fin du thème La psychanalyse et inertie entre parole et écriture.

L'origine de la géométrie, Husserl, Fin de l'initiation avec Cantor,
Vive les enseigants ! : ...les analysants ! Une réforme de l'entendement,
Continuité de Freud à Lacan, la lisibilité .... l'analyse c'est découper,
Du schéma eulérien de 3 ronds pour le syllogisme au noeud borroémen pour la modalité

La linguistique,................................................................................................p5
Chomsky arrête la linguistique, et le signe sausurien est une impasse,
Il faut en revenir au phonème, à l'opposition entre deux signaux.
Les systèmes d'oppositions, de la différence à l'identité,
La répétition freudienne c'est la différence,
P-être 2 libidos ( du moi et de l'objet) mais c'est la même,
Un différence dans le même conduit à l'identité,
Changement de logique !

Topologie, .....................................................................................................p6
Lacan découvre la topologie chez les logiciens de Varsovie,  
La topologie serait la période archaïque de la théorie des modèles, selon Krivine,
Filtration, intersections et recouvrements,
Le cours de topologie générale de REVUZ,
Lien de la logique, de la théorie des ensembles et de la topologie,
La topologie c'est la topologie ensembliste de FRECHET.
Coupure : La logique moderne n'est pas le prolongement de la logique grecque,

Ce qu'est la psychose ...
Le but de l'analyse, ... continuer son travail d'analysant seul, prophylaxie de la dépendance,
à propos de la passe, des contrôles, de l'acte, de la contingence,
Confondre le possible et le contigent, (Modalités, 2,) ,

Le transfert c'est qu'il y a un moment où on va la boucler,
Ce qu'est l'enseignement,
Le psychanalyste fait partie du concept d'inconscient,


 

Les trois chapitres des mathématiques où il y a de la topologie, ..........p8

I- La topologie ensembliste, la topologie générale,
Donne les définitions, qui ne servent à rien,! sauf en analyse fonctionnelle, pour la topologie des nombres réels,

II- Les espaces linéaires par morceaux, : Les graphes, le surfaces, les noeuds, .. des variétés topologiques, avec SOURY et LACAN qui est différent de l'approche de REGNAULT et CHARAUD,
Lacan se situe dans les Piece Wise linear topology,
La logique, la théorie des ensembles, la topologie générale ne sont pas en continuité avec la topologie par morcaux, l'écriture diagrammatique,
Faire le théorie grammaticale de la coordination logique,
Le calcul de la coordination, partie de la logique, peut être mathématisé,
Subordination et coordination (propositions),
Du symptôme (grec) au Sinthome (latin), Le séminaire Le Sinthome est une indication majeure !
La destruction du noeud dans la psychose,
Le cycle romanesque occidental,

III- La géométrie différentielle :
faite pour Einstein,
Le programme d'Erlangen, et la théorie de Galois fondent la théorie des groupes,
Voir Apendice Essaim,
L'important c'est comment écrire la dimension, et non les dimensions supérieures,

Question 1 : Lacan avec la topologie essaie t il de rendre la psychanalyse plus scientifique ? p10
Non, mais de la rendre logique ! La raison scientifique n'est pas le tout de la raison !
Les mathématiques ne sont pas scientifiques, la science c'est l'expérimentation,
Ce qui ne peut pas s'écrire devient réalité, ...
ça écrit dans le corps et ça survit grâce à la déformation, c'est ça la pulsion,
Les mythes ne sont que des moyens mnémotechniques, pas des religions ....

Q 2 : vous avez dit qu’avec Cantor c’était la fin de l’initiation, en quoi ? p11
Cantor écrit et dit des choses avec la théorie des ensembles, jamais dites,
La théorie des ensembles c'est une théorie de la construction des mathèmes classiques, les axiomes produisent des ensembles, le vide comme premier ensemble,
J'étudie ça dans la théorie des abréviations,
Fin de l'initiation,
Avec les mathèmes on est dans une construction entièrement enseignable, parler de l'ensemble vide, c'est une lettre, \varnothing, constructibles soit aved le tau de Hilbert, soit pour les formules de la sexuation, les mathèmes de Lacan, avec 2 nouveaux quanteurs, voir Lecture des formules de la sexuation, (Textes, 7),
À propos de @, ...une logique du rien et du rond,
Si la métaphysique s'achève avec Hegel dit Kojève, et l'ontologie devient cybernétique, quid des mathématiques avec Cantor, ?
Nous sommes dans une période d'achèvements, d'accomplissements,
Passer d'une zone dans une autre, une mathématique de zone !

Q 3: sur la question du corps dans les nœuds, Lacan parle de l’imaginaire du corps comme consistance,  tu parles du passage du réel à la réalité,  que le corps écrive, ça veut dire quoi ?
Ces objets (graphes, surfaces, noeuds, ) prolongent l'écriture algébrique,
Freud devient analyste,
Lacan pose la DI et le trauma, le trou on est dedans, impensable, refoulement originaire,
Faire son analyse avec Lacan, ... et Becquerelle,
Faire confiance à Freud et à Lacan, sachant qu'ils se trompent et font des erreurs, mais se corrigent !
Intégrer la loi de la parole dans la pratique de l'écriture,
Lire Lacan rétroactivement et activement, à l'endroit et à l'envers,

Est analyste celui qui a des analysants, et à charge pour lui d'avoir fait son analyse telle que l'exige Freud,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
       
 
 
 
 
 
 

P

2011-02-09

U-Rouen,
*,

 

 

 

 

 

Lacan et les mathématiques,
- Lire, parler, écrire enfin, la psychanalyse et les mathématiques,

Les mathématiques, lubie ou rêve de Lacan ?
Sombre prohétie, et ... lueur,
La topologie, le calcul différentiel, la transcendance,
le fantasme (aliénation et séparation),
Qu'est ce que la psychanalyse ?,
KOJEVE-HEGEL, Inertie, situer le dogmatisme,
Ecrits et (petite histoire des) Séminaires,
Le corps parasité par la parole, ça parle …
Territoire et libido, les portes,
La nature du langage, Saussure revisité, l'objet de la linguistique,
L’Afrique, civilisation de la parole,
L’Europe produit une science mathématique depuis Galilée,
Crimes de masse au XX eme siècle et crimes paranoïaques,
Trauma, incorporation, forclusion, incorporelles, Narcissisme,
Incorporels,
L'apport du freudisme,
Mathématique et condensation,
Lire, découper,
Psychanalyse et mathématiques, liés par la Contingence,
La clinique,
La révélation mathématique,

La topologie avec Lacan, ..................................9
La dimension c'est la consistance, C'est le dire, c'est la DI, la droite infinie,

Une géométrie de tailleur de pierres, d’Euclide à
Klein, le programme d’Erlangen,

La dimension, invariant topologique principal, le refoulement originaire,

Continuité et discontinuité, paradoxe dans la topologie, trauma et incorporation, autisme et paranoïa,

La répétition freudienne, l'identité vient de la différence,

La coupure fait la surface !


Et le Noeud ? .................................................11

Formaliser, mathématiser la clinique, la tâche analysante,

l’acte analytique : Intimidation ?

Le sujet de la science,

Se passer de passe !?

L’acteur c’est l’analyste, l’analysant lui, c’est l’enseignant !

Le phallus, le Père Freudien, le père Mort ; la fermeture de la DI introduit les Noms du Père
(triskélisation, traits d'identification, compactification,- ajout du scribe..)

 

 

 

 

 

 

 

 
     
 
 
 
2010
   
 
 
       
 
 
 
2010
JMV, 2, *, *, Quatre présentations du même,
 
         
 
 
2010-12-12

BALV, *,

 

Corps, incorporation et incorporelles, Où le symbolique prend corps,
Différencier : Incorporation, introjection, incarnation; Lekton et point de capiton;
à propos de structure,
Structure et écriture,
Corps et langage,
Sujet, corps et symptôme,
Pour conclure,

 
 
           
 
 
2010-12-09
B.A, *,
Le dérapage d'Aristote,
La logique canonique classique de la coordination a toujours été modale ...
La thèse classique,
La thèse genre Tarski,
Le principe du tiers exclu,
Quatre classes unaires,
Le corps B2,
La subjectivité scientifique,
¬
Il est faux d'écrire que la disjonction notée: (p ∨ ¬ p), dont la valeur de vérité, notée par le chiffre: 1, qui est nécessaire par conséquence dans ce calcul algébrique à la Boole, impliqueque l'affirmation p ou la négation ¬ p soient aussi vraies de la même manière nécessaire en un mot quelles soient des thèses du calcul.
 
         
 
 
2010-09-14

JMV, *,

 

 

 

 

Réduction Puis résolution du temps logique en tant que tel
ou de l’assertion et de l’assertion de certitude anticipée
(date non précisée, indication actuelle arbitraire)

Première partie,
Réduction du temps logique.
Le cas ordonné résolu en logique classique,
0. Une définition,
1. Les conditions du problème,
Définition des propositions singulières,
Définition spécifique de la négation,
L'axiome de l'instant du regard,
Commentaire portant sur l'instant du regard,
Mise au poing sur les i,
1. Formulation du problème ordonné, ( Les prisonniers),
Définition,
L'axiome l'instant du regard,

¬
2. Résolution du problème,
Définition, Théorème authentique de mathématique produit de la psychanalyse,
Lemme de l'assertion,
Démonstration,
Exposé du raisonnement dans le cas ordonné, (Problème résolu ...)
3. Enseignement et commentaires,
Résumé,
Formule du raisonnement,
De l'assertion de certitude et de l'assertion anticipée,
Théorème
principal (des deux modes de conclusion),
De la théorie des ensembles et de la topologie générale (conséquence logique),
De l’essaim signifiant dans le ruissellement et le ravinement du signifié (conséquence
algébrique),
Du retournement des tores enveloppants et enveloppés (conséquence topologique),
 
         
 
     
 
 
 
2009
 
 
 
     
 
 

P

2009-09-21

Hotel, *,

 

 

 

 

21 septembre 2009 ... 29 février 2016.
(DémiDésignaSoluDormiEvaporaMigraSublima) [sion]

Démissions, Désignation, Solutions, Dormition, Evaporation, Migration ... Sublimation.

TEE, une non-école pour des non-analystes.5

Sommaire : ................................................................................................................................. p 1

Réunion AG du 21 septembre 2009, chrono...............................................................................p 2
Le fonctionnement de TEE, La Présidence (E.B), Une non-Ecole, productive ou non, active et inactive,
Démission du Secrétaire (M.S-P), Définition du Membre !
Mieux vaut Rien que quelque chose de forcé ! Une Revue !
Lecture du Compte rendu du Secrétaire démissionnaire, le rôle prééminent de JMV au sein de TEE
et l’absence d’autres « voix » dans cette Association.
Influence du discours de la Formation des Psychanalystes patentés et de l’évaluation dans les psychothérapies,
la compromission de la Psychanalyse pour convenir à l’Etat financeur. Un marché !
La formation de l’analyste n’est ni universitaire ni scolaire ni verrouillée par la Passe ! (tri ni !).. p 3
Le seul objectif de la psychologie universitaire a été (et est) de torpiller la Psychanalyse,
Critique du libéralisme et la destruction de la psychanalyse de l’extérieur et de l’intérieur. ........ p 4
Le Transfert instauré par Lacan, une Psychose (de l’ordre du Discours) initiée par Pascal
Le retour du Religieux (Saint Augustin..), comment sortir du transfert à Lacan : Solutions de sorties ! p 5
Psychanalyse et linguistique, Vers un Manifeste. Au fond l’incrédulité. Le piège Lacan. Mort au bizut !
Cartel et Manifeste. Pertinence de l’équivoque .............................................................................p 6
La cure, la Passe, Le.la non-analyste! ........................................................................................... p 7
Constituer un organon de topologie des nœuds........................................................................... p 10
Positionnement de la Topologie, positionnement de TEE Buenos Aires
Une Revue. De nombreux projets...Perspectives d’enseignements... la propriété ...................... p 12
La bibliothèque, les archives..........................................................................................................p 13
Apnée et « Dormition »., désignation du nouveau Secrétaire « dormant ».................................. p 14
Perspectives de recherche............................................................................................................. p 16
Désignation de Vecteurs............................................................................................................... p 17

Epilogue........................................................................................................................................ p 19

Fin de l’enseignement (programmé) de JM Vappereau à Paris en juin 2015.
Les cours de JMV de 2009 à 20015.
Destin des archives.

Démission du Secrétaire « dormant ».22 février 2016,
 
 
     
 
 
 
2009-09-15
I-Cath, *,

1964, La répétition freudienne et l'involution signifiante écrite selon Lacan au moyen du point de capiton, 02, (texte Vel de l'aliénation, Appendice 2)
(Prévention)


 
 

P

 

provisoire,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sommaire, et Prévention,.................................................................................p1
La répétition freudienne concept fondamental de la psychanalyse, aliénation et séparation,
Une différence symétrique,
Calcul de la coordination des propositions, des concepts et des énoncés,....p4
Dans Le langage il y a Des langues et puis il y a Du langage,
Musique et chants d'oiseaux ne sont pas .... Du langage mais Un langage,
Les systèmes d'écritures, un discours sans parole,......................................... p5
Le jeux des disques troués en 4 étapes,
Le vel de l’aliénation et la logique, ..................................................................p6
Deux aspects du trauma dans le malentendu des parents,
Vérité apophantique constative et vérité nécessaire,
Frege critique la thèse de Kant : les mathématiques seraient la science des énoncés synthétique à priori,
Les énoncés synthétiques à priori et leurs nécessaires applications phénoménales, les énoncés constatifs,
Les énoncés analytiques écrivent l'aliénation du vrai et du faux logique, Tautologie et antilogies,
L'anathème de "Psychotique", (une tarte à la crème ), ..................................p7
Ce qu'est la psychose, ....................................................................................p8
La ségrégation des homosexuel(le)s, des juifs,
Ordinal, cardinal, et sobriquet,
Ecrire de la géométrie, le trait unaire, la caricature,
Dynamique de l'aliénation, entre S et A, .......................................................p9
L’extérieur, le trou Réel, ...............................................................................p10
Le rabaissement de la psychanalyse : Psychothérapie, psychologie clinique et neurologie,
La Technique, Le cognitivisme, l'I.A,(Intelligence artificielle),
Le modèle cognitiviste, le management, la théorie de la communication,
Genre et sexuation, la responsabilité du discours lacanien, .........................p11
À propos d’oreille, Messiaen et Loriot,
Quid de la logique ? à propos des trois états du  OU, .................................p12
L’oubli du trou réel, et le trauma, ................................................................p13
Le rêve réalisation d’un désir (le désir n’est pas le plaisir ! et il y a des rêves traumatiques),
Popper contre Freud, oublie l'essai de falsification de Freud,......................p14,
Lire c’est retrouver son désir dans le désir de l’Autre, le rond vert c’est  le manque dans l’Autre (le placenta,
Mythe de la lamelle), alors que le trauma, lui c’est le malentendu des parents, c’est le trou réel,
dans lequel nous sommes, (note /lamelle), .
À propos de la négation, et de la vérité logique, ........................................p15
Le calcul de la coordination, négation ¬, fonction propositionnelle P(x), quantificateur existentiel, ∃,
À propos de la clinique (qui n'est pas une phénoménologie ) nécessitant une charte de la structure, écriture et fonctionnalité, Le trieb de Freud c'est le phonème, .....................................p17
De l’Incomplétude des théories, au caractère complet du calcul de la coordination logique,
une algèbre de Boole,
Modifier l'intersection logique (en bleu), par la séparation, ........................p18

Le diagramme synchronique, le diagramme diachronique, ............................................................p19
Le symtôme Freud, le Sinthome Lacan,.........................................................................................p20
L'aliénation, une différence symétrique qu'un choix forcé rend dissymétrique, les trois OU,........p21
Logique élémentaire, Quine, ..........................................................................................................p22
Le Ou exclusif, s'écrit + en Algèbre de Boole, il y a même un modèle électrique !,
un système d'écriture de Frege et Peirce, de la coordination logique,
La négation, P, en algèbre de Boole c’est P+1, ?...................................................................... p23
La négation classique, induit le Dieu de la Nature Lecteur, (Kant, Jung, Aristote,), ...................p24
le mensonge des politiques, la signification, les incorporels, la démagogie, la duplicité intrinsèque/extrinsèque, Sartre, l'art du double discours, l'unanimité,
Diagramme diachronique et diagramme synchronique, (Lalangue de Lacan),
la synchronie rentre dans la diachronie, .......................................................................................p25
Le OU, de l’aliénation, (n°3), ......................................................................................................p26
Le faux nécessaire implique le vrai, .............................................................................................p27
Lacan et la répétition, 1964
Fonction intellectuelle et processus affectifs, ..............................................................................p28
À propos du trauma, (voir les modalité ici 1, 2, 3, ), du traitement Possible de la psychose,
fonction intellectuelle et processus affectifs, ..............................................................................p29
La fonction de la coupure, l'interprétation comme ..., occuper la fonction de ...
Apprendre à lire...à écrire, à parler différemment, ......................................................................p30
Lacan, l’esquive, le transfert, le délire, La psychose sociale, ......................................................p31
Les 3 critères du délire, de la psychose sociale contemporaine,
Le désir et l’autre, et lire, ...........................................................................................................p32
La séparation modifie l'intersection, ( en bleu), La psychose sociale et le capitalisme,
À propos de Pascal, le pari de Pascal, la règle des parties, la suite de Fibonacci,......................p33
L'obsessionnel et le Maître, et L'hystérique , défininitions et pour la Folie,
L'obsessionnel c'est le sujet qui ne se prend pas pour un Maître,
L'hystérique un sujet qui ne veut pas se prendre pour une femme,
La folie c'est de se prendre pour, Joyce hystérique,
Vouloir être femme, c'est être psychotique, .............................................................................p34
Aucune relation entre l’analyse et la psychothérapie,
Ce qu’est l’analyse, Sur l'acting out et le passage à l'acte, .......................................................p35
Le transfert avec les enfants et le délire pédophile, Pas de lecture,
Le progrès est littéral, Shakespeare, Beckett, ..........................................................................p36
Le territoire de la phobie, le territoire de la terreur,
Le pari de Pascal.Pascal instaure la psychose sociale !
Saint Augustin et le Sein, partie du corps de l'enfant, phanérogame, .......................................p37
Une clinique de l'anorexie, de l'addiction, du sevrage, de la psychose infantile,
L'objet (mien et/ou que je suis) et la jalousie, 1964
Faire entrer la Psychanalyse et la logique dans le discours, pour sortir de sa duplicité,

Bibliographie, ............................................................................................................................p39

 

 

 

 

 

 

 

 
             

P

2009-05

 

 

 

 

 

 

 

 

B-A, *,

Lecture des formules de la sexuation, 01, version mai 2009, 16 pages,
(logique et théorie des ensembles), texte intégral simplifié.

De la nécessité d'une modification si légère de la logique canonique classique qu'une feuille de papier transparente nous en sépare.

(Attention trois textes sur la Lecture des formules de la sexuation,
celui-ci de mai 2009, 16 pages, 01
, *, le texte du 25 décembre 2007, 46 pages, 00,*, et celui de mai 2012, 2 pages, 02, *).

“La castration, que la psychanalyse a découverte, peut ici se déprendre des mythes qu’il a fallu à Freud pour l’embaumer, au profit de sa raison; on appréciera comment celle-ci, en retour, peut subvertir d’une logique, les conséquences totalitaires.”
J.
Lacan “Liminaire” Scilicet n°4 p.3
"C'est bien à cette logique que se résume tout ce qu'il en est du
complexe d'Œdipe."
J. Lacan l'Étourdit p. 458
"Concluons qu'il y a maldonne quelque part. L'Œdipe est ce que je dis,
pas ce qu'on croit."
J. Lacan l'Étourdit p. 462
"Tout de même tout n'est pas passé à l'égout.. [...] Pour la perversion
kantifiée (non des quantas mais de Kant avec un k), ça commence."
J. Lacan "La psychanalyse, Raison d'un échec" p. 346
...............lire à droite : Abrégé, ...>



En six étapes ....................................................................................................p2
I.0
- Dans une quelconque théorie des ensembles, il existe une classe qui n'est pas un ensemble (Russell).
I.1
- La classe universelle d'une théorie des ensembles n'est pas un ensemble de cette théorie.
I.2
- Construction d'un modèle de la classe universelle d'une quelconque théorie des ensembles dans une autre théorie qui est un ensemble alors de cette autre théorie, un modèle extérieur de fait.
II.0
- Modification de la logique elle même, afin de formuler la condition qui s'impose à l'ensemble des ensembles qui ne s'appartiennent pas à eux mêmes
II.1
- Reformulation de l'impossibilité rencontrée dans le Sujet de la logique canonique classique, de la construction, en tant qu'ensemble, de la classe des ensembles qui ne s'appartiennent pas à eux mêmes.
II.2
- Construction, hors univers, dans l'Autre du Sujet alors d'un modèle de cette classe des ensembles qui ne s'appartiennent pas à eux mêmes comme un ensemble dit de ce fait: "pas tout".
.................................................................................lire à droite : Les formules ...>


~

Abrégé ..................................................................................................p1
Nous proposons ici une lecture des formules kantiques de la sexuation construites par J. Lacan.
Nous les lirons en tant qu'elles écrivent les circonstances qui caractérisent
deux types différents de tas connus pour échouer à constituer un tout, deux types d'impuissance donc.
Et quels
sont les moyens, différents dans chaque cas, qui permettent d'y suppléer : côté mâle et à la manière femme. De là : homo et hétéro d'autre part, c'est très divertissant.
J'ouis sens ainsi de la voix par le regard silencieux : lecture, mais écriture ensuite, jouissance du déchiffrage
et pourquoi ne pas en parler ou en parler si mâle.
Cette lecture vaut en premier lieu pour son souci de la syntaxe dont on oubli d'interroger les contraintes et ensuite, et surtout, par l'accent mis sur le composant sémantique des modèles jusqu'en théorie des ensembles (Kreisel,
Krivine 1967 - Krivine 1970).
Aujourd'hui on sait que J. Hintikka (1996) a fait sauter, du fait de son incomplétude
à son extrémité industrieuse, le verrou totalitaire de la logique canonique classique décrété par Quine.
La grande difficulté, pour
l'amateur, reste de se saisir de la raison qui fait qu'un tas qui prétend à la totalité, une classe universelle, ne peut pas, en théorie des ensembles, devenir un tout : un ensemble à cause d'une autre classe isolée par B.Russell.
Il ne s'agit que d'un
jeu de lettres, ce qui fait que les moraliste ferons toujours triste figure de porter cacher sous leur jupe le piège à loup du désir. La plus part des savants et la niaiserie de la honte au logis n'y entendent rien.
Car il faut d'abord apprendre à lire comment une classe devient un ensemble, quelles
en sont les conditions. Cela demande de devenir intelligent, au sens étymologique, de l'interdit, soit lire entre les lignes, la décence qui satisfait à la fonction.
Puis comment, du même geste, y suppléer
avec la fonction phallique, dont c'est la fonction d'y suppléer toujours malgré la castration.
Retour à gauche...

                       ........................................................................................

"Les formules de la sexuation écrivent les deux types de circonstances majeurs où l'écriture ensembliste d'une classe se trouve interdite. Elle ne peut pas constituer un ensemble, pour des raisons logiques que nous étudions ici. Puis les deux types de suppléances logiques qui résolvent cette impossibilité dans chaque cas.
Ces deux manières d'échouer et de suppléer aux ratages correspondent respectivement aux deux côtés offert au choix du sujet dans la difficile question de son identité sexuelle qu'il la choisisse homo ou hétéro.
Homme qui
satisfait à la fonction du père ou hystérique ne voulant pas se prendre pour une femme, le sujet fait l'homme alors quelque soit son sexe anatomique. Femme qui reste l'Autre, pas toute, ou qui veut devenir femme dans la psychose paranoïaque. Il y a des sujets plus ou moins doués pour ça.
Il y a bien quatre postes qui se réduisent à trois si nous définissons avec
Lacan, pour faire court, "l'hétéro: celui qui aime les femmes."

retour à gauche

 
     
Au regard du développement des démonstrations,
  ce texte fait l'objet d'une page complémentaire, voir Ici,    
     
 
 
 
2009-09-01
JMV, *, Le velle de la séparation,
 
 

P

 
Définitions et commentaire de la séparation,
Rappel des Ecrits, L'action analytique,
Revenons à la séparation,
Les ronds de couleurs troués,
Construction de l'opérateur logique de la séparation,
I- La méthode du point de capition et sa mise en oeuvre graphique,
0- Le procédé du point de capiton,
0-1, Précisions,
0-2, Principe de la méthode du point de capiton par l'exemple,
1- Le domaine logique D0 du mouvement condensé en une seule figure,
1-0, Les domaines Dμ,
1-1-0, Le domaine D0 propre à l'exercice,
1-1-1, Recherche du point de capition le plus simple pour notre exercice,
Persistance de cette interrogation de Lacan,
1-2, Transcription des étapes successives dans ce domaine D0 (objets),
2- Marquées par des hachures dans une succession de diagrammes,
3- Ecrites par les formules booléennes de leur domaine,
Les domaine successifs Dμ,
II- Calculs déduits de la méthode du point de capition,
 
 
             
 
2009-03-02
JMV, *, La sépartion I : Abrégé, Le point de Capiton mis en oeuvre
De la séparation par a et a', à la répétition divisant le Sujet : ,
   
     

Rappel,
La sépartion premier passage,
Revenons à la séparation,
Les ronds troués de différentes couleurs,

Contruction de l'opérateur logique de la séparation,
I. La méthode du point de capiton et sa mise en oeuvre graphique,
0. Le procédé du point de capiton,
0.1. Avançons vers la méthode,
0.2. Principe de la méthode du point de capition par l'exemple,
1.1.0 Le domaine générique D0 propre à l'exercice,
1.1.1 Recherche du point de capiton le plus simple pour notre exercice,
Persistance de cette interrogation de Lacan,
1.2 Transcription des étapes successives dans ce domaine D0 (notre objet synchonique)
2. Marquées par des hachures dans la succession de diagrammes,
3. Ecrites par les formules booléennes de leur domaine,
Le domaine successif Dμ,
Tableau I, étapes du mouvement, les Dμ, en fonction de S et A,
Tableau II, étapes du mouvement les Dμ en fonction de a et a',
Fin de première partie !

 

La séparation est la seconde opération déterminante de la causation du sujet, définie par Lacan dans ses Écrits. Nous avons montré dans l'étude qui précède qu'elle modifie la conjonction entre la Vérité et le néant (elle s'obtient en modifiant la logique en une
topologie).
Nous proposons de la littéraliser ici en suivant l'analyse et la définition qui s'en déduit qui viennent comme pour l'aliénation, avec un exemplaire synthétique de cette structure donné par un exercice pratique que Lacan aurait proposé à son séminaire.
Nous découvrons alors que le point de capiton de Lacan assure une fonction cruciale et permanente, avec les diagrammes qui introduisent à la topologie du sujet en logique, avec les graphes avant l'étude des surfaces et du noeud.

Où se découvre la fonction de la psychose pour la psychanalyse, s'opposant à la séparation et répondant ainsi, avec Lacan, à la question préliminaire à son traitement possible.

Cette seconde étude nous permettra de passer par la suite au volet suivant de cette introduction à la logique littérale du fantasme avec le procès qui donne lieu à la construction topologique du poinçon articulant d'un seul geste ces deux opérations de l'aliénation
et de la séparation dans un groupe de Klein.

Nous ne rappelons pas ici les étapes précédentes, le lecteur peut aller de lui-même
lire nos deux études qui traitent de l'aliénation et de son vel, de la séparation comme
velle concernant la vérité nécessaire de la logique et des logiciens (Frege).

   
             
 
2009-03-02
JMV, *, La séparation II : Calculs ...
obtenus grâce à la méthode du point de capiton de la séparation en algèbre de Boole    
     

0- Expressions des zones complexes propres à cet exercice,
1- Stratégie de calcul la plus simple,
1.0 - Introduction aux calculs et à la lecture des diagrammes,
Indications sommaires propres au calcul de Boole,
Théorème de la caractéristique,
B-axiome,
Démonstration,
La négaétion classique,
Observations à la lecture des formules et des diagrammes,
Premier constat,
Explication,
Second constat,
Troisième constat,
1.1 - Calculs
1.1.α. - à l'étape α
1.1.β. - à l'étape β,
Petit supplément préparatoire de trituration à l'étape β,
1.1.δ. - à l'étape δ,
1.1.φ. - à l'étape φ,
Fin de la seconde partie,

 

 

Nous voulons écrire les complexes de zones atomiques, en commençant par les complexes de zones initiaux comme à la fois le domaine D, les disques S et A et d'autre part les trous a et a', leur expression respective vient du tableau de valeurs que nous avons dressé à partir de la table de vérité et des diagrammes de chaque étape.
Il y a cinq (5) complexes de zones initiaux


le domaine D,
les disques S et A
et les trous a et a'.

...

   
   

III. Conséquences de cette première étude,

1. Les formules de l'opération (flèches) modifiant l'intersection ou la conjonction: le connecteur logique de la Séparation en topologie du sujet(logique modifiée).

La séparation,
2. Développement de ce procés du point de capiton dans les séminaires et les Écrits
3. Mise en oeuvre du point de capiton à la surface du plan projectif :
La répétition freudienne et la forclusion entre les schémas de Lacan :
       Le schéma R. et le schéma I.
En termes de figures de géométries
En termes de diagrammes,
Sur le plan projectif (étude), pour R et pour I,

Fin de cete étude.

  "  La forme logique que vient à modifier dialectiquement cette seconde opération, s'appelle en logique symbolique: l'intersection, ou encore le produit qui se formule d'une appartenance a et à-. Cette fonction ici se modifie d'une part prise du manque au manque, par quoi le sujet vient à retrouver dans le désir de l'Autre son équivalence à ce qu'il est comme sujet de l'inconscient.
  Par cette voie le sujet se réalise dans la perte où il a surgi comme inconscient, par le manque qu'il produit dans l'Autre, suivant le tracé que Freud découvre comme la pulsion la plus radicale et qu'il dénomme: pulsion de mort. Un ni à- est ici appelé à remplir un autre ni à-. L'acte d'Empédocle, à y répondre, manifeste qu'il s'agit là d'un vouloir. Le vel fait retour en velle. Telle est la fin de l'opération. Le procès maintenant."

J.Lacan, Position de l'inconscient, pages 842-843
 
               
 
2008
       
 
         
 

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2008-06-01
BALV, *,

 

 

 

 

Le territoire de la phobie,
De la névrose comme une réalisation de la théorie des graphes,

I, Les animaux, Le territoire c'est l'extension de la libido où les animaux parlent mais n'ont pas la pratique des portes.
La porte : Le langage est une porte, Le trauma produit la pudeur,
Trauma et narcissisme,
Lemme des objets plats,
Théorème principal des objets de dimensions trois,
La phobie névrose d'angoisse,
Trauma et castration,
Parole et phobie,
Écriture, la littérature jusqu’aux mathématiques, Entre privé et public

II. Où Hans promenait Freud et son père, L'explication lapidaire de Lacan
Des portes et des coupures,
Des trajets et des graphes, Structurale du sujet.
Des arbres et des cycles,
Définition,
Des graphes et des noeuds,

III. Situation de l'anayse hier et aujourd'hui, Il n'y a pas de psychanalyse hors celle de Freud et celle de Lacan,
De quelques conséquences de l'absence actuelle d'analyse de la phobie,

Le développement des narcoses,

La phobie plaque tournante des névroses,
 
   
   
 

P

2008-02-01
(jour et mois arbitraires)

Version courte

JMV, *,

 

 

 

 

 

 

Sa claque, Du nœud borroméen fort généralisé. version courte

Définition, fonction et champ de la généralisation. .............................................p45
I. Généralisation,
   Du borroméen généralisé, ..................................................................................p47
   Le noeud borroméen généralisé,
   « Ne pas en avoir sa claque », c’est-à-dire...

   Définitions, ........................................................................................................p49,
     Croisement propre, ...................consulter le texte original,
     Noeud propre, .........................
     Homotopie, ............................
   Définition,
    Croisement impropre, ......................................................................................p51,
   Soury est bien fondé à interroger les raisons de Milnor et de Lacan................p53
De la généralisation, ........................................................................................p56
  1- une référence commune est l'oubli ou l'effacement (irrémédiable) de la signification..
  2.   Deux commentaires entre ces deux étapes, qui opposent quelque chose d'important
          à la généralisation,..........................................................................
..........p57
        L'objet de la tâche analysante
avec Freud et Lacan, ................................p60

II. Condensation, ..............................................................................................p61
Le mouvement noeud, N3, .................................................................................p62
Définition de trois types de mouvements noeuds, .............................................p63,
Définitions, .......................................................................................................p64
Le borroméen généralisé sous cet aspect, ...........................................................p65
Pour conclure : Le borroméen fort généralisé, .....................................................p66

 
      ci-dessous version longue (mais réduite) de ce même texte,    
 
   
     
 

P

2008-02-01
(jour et mois arbitraires)

Version longue !

 

 

JMV, *,

Sa claque, Du nœud borroméen fort généralisé. (aperçu, coupures dans le Texte original, qui ne se substitue pas au Texte natif et dont il raccourcit de nombreuses développements ou commentaires indispensables et efface les références...en fait l'appauvrit !!),
(Texte de 23 pages, numérotation de Essaim)
« Il y a donc là un champ dont le plus frappant est que son développement, à l’encontre des termes dont on l’aborde, ne procède pas de généralisation, mais de remaniement topologique, d’une rétroaction sur le commencement telle qu’elle en efface l’histoire.
» Lacan « L’étourdit 2 », p.481

Définition, fonction et champ de la
généralisation. .............................................p45

La généralisation du nœud borroméen paraît dans l’enseignement de Lacan lors de la première leçon de l’avant-dernière année de son séminaire, Livre XXVI intitulé La topologie et le temps (leçon du 21 novembre 1978). Pour cette raison il ne présente pas grand intérêt aux yeux de ses auditeurs
d’alors, ils avaient déjà déserté le discours de l’analyse en commençant par le séminaire.

Pour eux, l’avenir se préparait ailleurs.
.....................................................> (suite à droite ),

(suite)...« Ne pas en avoir sa claque », c’est-à-dire supporter de continuer, que ça continue. Ça ne cesse de s’écrire, ne cesse de ne pas s’écrire, entre nécessaire et impossible. Un jour ça cesse de ne pas s’écrire et ça donne lieu à un résultat. De là, le symptôme « cesse, de s’écrire », la virgule a son importance, à entendre : « du fait de s’écrire enfin, ça cesse de se répéter ».

Nous avons construit des nœuds borroméens fort généralisés, (voir ci-dessous p48) il s’agit d’un nouveau type d’objets, invisible à une quelconque théorie des nœuds hors la classique.

Il est des plus simples à pouvoir se défaire, à la fois, par des mouvements impropres à l’exclusion des autres, comme un nœud borroméen, ou d’une part, par des mouvements hybrides exclusifs, comme une chaîne de Whitehead, mais, ce qui est encore plus surprenant, d’autre part, par des mouvements propres à l’exclusion de tous les autres, comme un nœud propre, un nœud trèfle par exemple, alors qu’il s’agit d’une chaîne et borroméenne de surcroît.
Dès qu’on l’approche afin de l'étudier, il s’efface ...
...(retour colonne gauche).

 

P

 
I. Généralisation,
   Du borroméen généralisé, .............................................................................p47
...la généralisation des chaînes bruniennes (autre nom du borroméen) esquissée par Debrunner et achevée par Penney qui construisent, chacun de manière de plus en plus élégante, ce type de chaînes où il suffit de retirer un nombre fixé de ronds quelconques (m ≥ 1), – et il faut les retirer en nombre m –, pour défaire une chaîne de n ronds (n > m). Dans le cas borroméen ce nombre m = 1.
Nous voulons traiter ici de ce type de nœuds impropres (plusieurs ronds) borroméens afin de substituer une définition intensive, suivant en cela le principe de nos travaux , à un modèle prototype qui répond au style adopté par Lacan avec le risque d’impropriété qu’il encourt.
La clinique des structures freudiennes du symptôme, depuis les trois années de séminaires ( XXI, XXII, XXIII) consacrées au nœud , est ainsi bouleversée dans son fondement avec le sujet sinthome-symptôme, suivant Marx qui l’a découvert . C’est la répétition freudienne, la grande répétition du même différent de lui-même, le supposé savoir dont nous faisons sujet qui est en acte au principe du transfert.

   Le nœud borroméen généralisé avec sa couleur de femme vaporeuse vient un peu tard dans le séminaire, ...n'oublierait que Lacan s’interroge alors à propos de Lilith, le troisième sexe, posant la question de savoir pourquoi il n’en suffit pas déjà de deux et d’ajouter : « Il ne tient pas en présence des deux autres. » Ce qui tient définit, plus avant des identifications et de la structure de foule, les institutions du sujet (P. Legendre) commence le symptôme, ici dans le nœud c’est une fonction de manque, absolu.
 

 

 

 

 

p48,

 

P

 
  Le noeud borroméen généralisé, donné par J. Lacan, in La topologie et le temps, séminaire, Livre XXVI, 1978-1979, leçon du 13 mars 1979. ....................>ci-contre au dessous-droite,

Nous sommes obligé d’abandonner, aux cas où le nombre m des ronds à retirer est quelconque pour défaire la chaîne lorsque (n > 3), la définition précédente de la généralisation de ce type d’objets.
La première propriété singulière et immédiate de ce nœud borroméen apparaît lorsque nous voulons la défaire sans couper ou supprimer aucun rond de cette chaîne dans le type d’études que nous pratiquons et qu’il nous faut définir pour le lecteur.
                              ...........> (suite à droite),

  (suite) Cela est possible ici et réputé impossible du borroméen prototype. (voir ci-dessous Borroméen de Lacan p51)
Cette chaîne borroméenne généralisée (ci-dessous) nouvelle manière se défait en continu grâce à des inversions (dites homotopies) de l’ordre des passages, relatifs entre eux, des deux éléments de ficelle à la hauteur de certains croisements spécifiques. (voir ci-dessous à gauche p50)
La condition que doivent satisfaire ces
croisements consiste dans le fait qu’ils sont des croisements de deux éléments appartenant à une seule et même ficelle. (Croisements propres).
 

P

   

  Définitions, .................................................................................................p49,
     Croisement propre, ...................consulter le texte original,
     Noeud propre, .........................
     Homotopie, ............................
       nous parlerons à propos de l’homotopie de l’échange des dessus-dessous dans les croisements        propres.

p50


Une stratégie de Soury, qui met Lacan à l'épreuve de Milnor,
"Les croisements de la chaine borroméenne généralisée sont transformés par homotopie puis par isotopie, pour obtenir une chaîne triviale de trois ronds, une chaîne défaite".- le scribe-, pour cela,
   Milnor 1) étudie la relation entretenue par la structure de groupe algèbrique et les chaînes,
    et il 2) étudie un invariant de la topologie algèbrique comme un groupe dit groupe d'homotopie      de la chaîne,
    et 3) étudie l'homotopie comme une tranformation d'immersion
    qui autorise l'inversion d'un croisment de deux éléments du même composant de ficelle.

 

 

 
           
 

P

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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Définitions,

    Croisement impropre, ........................................................................................p51,
    Cas où les éléments de ficelle se croisent à la hauteur du croisement appartenant à deux       composants distincts de ficelle ( deux ronds fermés).
   La chaine presque triviale selon Milnor, ci-contre,
   Homotopies, Isotopies, faux trou,
       S'assurer de ne pas pouvoir déformer cet objet par isotopie, ou transformation continues
        -Mvt de Reidemeister- ..lieux d'homotopies séparant la chaîne....
       Le groupe fondamental de deux ronds libre suffit pour nous assurer de cette impossibilité,...
     Le groupe d’homotopie de ces objets dont Lacan nous propose l’étude, ces objets sont des      chaînes de n ronds (n > 1) ou des nœuds (n = 1) dans l’espace de la pièce (S3) où se trouve      l’objet.
    Le premier groupe d'homotopie : ou groupe fondamental, est le groupe algébrique dont les éléments sont les classes d'équivalence de trajets solidaires d'un point fixe arbitraire dans l'espace autour de l'objet, les trajets partent et reviennent à un point fixe, la relation d'équivalence est assurée par la transformation dite homotopie, la composition algégrique des trajets consiste à les concaténer dans leur suite en passant par le point de base à chaque fois,................. p52,

   Le noeud borroméen est trivialisable par (une) homotopie

Le groupe fondamental d'un espace donné, est un invariant au travers des transformations continues qui associe des structures de l'algèbre à des objets de la topologie.
C'est la topologie algébrique,
[J.-M. Vappereau, Essaim, fascicule de résultats n° 1, Le groupe fondamental du nœud, éditions Point hors ligne et Topologie en extension, Paris, 1985. disponible ici,]

Soury est bien fondé à interroger les raisons de Milnor et de Lacan lorsqu’ils isolent de manière indépendante le même objet : la chaînoeud borroméenne.... ....................................p53
Soury considérait cette construction, précisément du fait de sa fragilité au regard de l’homotopie, comme une objection au caractère fondamental du nœud borroméen. Soury l’a cru et l’a écrit à Lacan.
Le nouvel objet désigné par Lacan (Le noeud borroméen généralisé), son caractère trivialisable par homotopie nous saute au nez ! Mais en quoi généralise-t-il le noeud borroméen ? Il y a déjà de nombreux borroméens trivialisables par deux homotopies, celui construit par Soury, ci-contre, qui
1. fait hésiter Lacan devant l'aspect de son noeud qui ne présente pas de symétrie circulaire des trois ronds noués et affaiblit le fait d'écrit de la chaîne,

2. Lacan avoue avoir commis un abus, [ au regard de la fonction des études nodales dans l’analyse voir la réponse donnée par Lacan dès « Radiophonie » (1970) dans Écrits, volume II, à la question III qu’on lui pose, à propos de la métaphore et de la métonymie], il ne lui parait plus possible ..................p54
avec cette restriction de P. Soury, de maintenir qu’il peut utiliser le nœud pour écrire la structure qu’il dit selon l’énoncé « il n’y a pas de rapport sexuel ». L’équivalence s’homologue au non-rapport. Cette négation du rapport est d’une structure équivalente à l’impossibilité de distinguer d’entre les trois ronds celui qui tient les deux autres . L’emploi du nœud est une métaphore impropre, Lacan, pour la fonction paternelle en cet endroit, dit ailleurs : l’élément banal et exceptionnel.
Ici il y a nécessité pour chacun des trois ronds d'avoir la qualité d'être quelconque et d'être exceptionnel. (Soury a voulu en dissuader Lacan, et il pense que son noeud, contre exemple lié aux travaux de Milnor, échappe à la série issue du borroméen homogène.)

(Le séminaire non tenu par Lacan sur les Noms du Père, fait toujours trou), .....p55
à la place du père, on parle de défaut des limites du monde, ou de la limite de l'Etat (côté Homme), opposé à la société illimité (côté femme).
...............suite points 3 et 4 à droite ------------>



p51,

 

 

 


p53,

suite,

3
...., Mais la construction de Soury reste bien grâce au noeud borroméen généralisé dans la famille engendrée par le borroméen.
Ce nœud vient d’une chaîne borroméenne à quatre de la suite
des borroméens, suite issue du premier prototype, formant les chaînes étudiées par Finke, finkéennes ou dites aussi par Soury : chaînettes borroméennes à homotopie près.
4. Soury pense avoir induit Lacan en erreur à propos de la valeur métaphorique du noeud !
Le nœud de Soury est un composé de deux nœuds borroméens généralisés dernière manière.
(P. Soury,
Chaînes et nœuds [troisième partie], texte 140 (6 pages), édité par M. Thomé et C. Léger).
Or avec le nœud borroméen généralisé le borroméen retrouve
sa fonction même génératrice de prototype,
Soury utilisait les chaînettes d’une façon montante et n’avait
pas envisagé la manière descendante corrélative.
Un événement
nouveau s’est encore produit, dix ans après. ......................... ............p56

(retour colonne de gauche).

 

 

 

 

 

 

 

 

P

 


De la généralisation,
Dès les Ecrits, La science et la vérité, (1965) vol I, (855) p 869,
et L'étourdit, (1972) vol II, (449) p 481, Lacan traite de la généralisation dans l'histoire des sciences.

1. Pour ces deux textes, une référence commune est l'oubli ou l'effacement (irrémédiable) de la signification liée à l'exercice de discours tombés en désuétude, ... d'où l'ambarras des disciplines historiques, et même pour l'histoire des sciences et des mathématiques constitutées pourtant dans et par l'écrit. L'erreur est d'en omettre le sujet, comme le fait la psychologie néo-cartésienne.
( lire l’ouvrage de J.T. Desanti,*,*,*, Les idéalités mathématique, Paris, Le Seuil, 1968). => devenir mathématicien soi-même !
La science dit Lacan, n'a pas de mémoire, et oublie les péripéties dont-elle est née, une dimension de la vérité que la psychanalyse met là hautement en exercice, p869 in La Science et la vérité, . Il évoque l'oubli après l'analyse par le sujet comme Freud l'a constaté pour le cas de Hans,
il s’agit « d’un
remaniement topologique, d’une rétroaction sur le commencement telle qu’elle en efface l’histoire ». Voir aussi le texte ci-contre : " Pas d'expérience plus ...."




 

 

« On sait que la théorie physique ou mathématique, après chaque crise qui se résout dans la forme pour quoi le terme de : théorie généralisée ne saurait nullement être pris pour vouloir dire : passage au général, conserve souvent à son rang ce qu’elle généralise, dans sa structure précédente. »
J. Lacan « La science et la vérité
», p. 869
« ... la science, si l’on y regarde de près,
n’a pas de mémoire. Elle oublie les péripéties dont elle est née, quand elle est constituée, autrement dit une dimension de la vérité que la psychanalyse met là hautement en exercice. »
J. Lacan, « La science et la vérité
» p869

« Il y a donc là un champ dont le plus frappant est que son développement, à l’enccontre des termes dont on l’aborde, ne procède pas de généralisation, mais de remaniement topologique, d’une rétroaction sur le commencement telle qu’elle en efface l’histoire. »
Lacan « L’étourdit », p.481
« Pas d’expérience plus sûre à en résoudre l’embarras [de l’histoire, voir plus haut dans L’étourdit] D’où son attrait pour la pensée : qui y trouve le non-sens propre à l’être, soit au désir d’une parole sans au-delà.
Rien pourtant à faire état de l’être qui, à ce que nous l’énoncions ainsi, ne relève de notre bienveillance.
»
J. Lacan, « L’étourdit
» p481

 

P

   

2.   Deux commentaires entre ces deux étapes, qui opposent quelque chose d'important à la généralisation,............................................................................................................p57
  2.1. L'un : " Ce n'est pas cela que nous voulons dire " , in La science et la vérité, p870, ou ici p15, "Ce n'est donc pas cela que nous disons, ni visons, c'est le drame, le drame subjectif que coûte chacune de ses crises." -Avant dernière phrase-.
Se réfère à l'esprit scientifique dans le drame subjectif du savant, honnêté intellectuelle dont les tenants du champ freudien sont totalement dépourvus, hors Freud qui découvre et Lacan qui le fonde. Le savant persévérant jusqu'à la folie. Nulle psychose en cela commme les autres SFLS : névroses et perversions, la psychanalyse : structure de la psychose sociale qui réussit là où le paranoïaque échoue.

  2.2. L'autre : « Tout autre est le fait de l’indécidable... » in L'étourdit, p481, (É.II),.......p58
Lacan décrit la situation nouvelle inaugurée par K. Gödel de
la démonstration de l’indémontrable propre à l’indécidable, Quid du progrès de la découverte de l'incomplétude différente de la généralisation et de conclure :
« ... On ne peut nier qu’il y ait progrès sur ce qui du
Menon en reste à questionner de ce qui fait l’enseignable... » (J. Lacan, « L’étourdit »p481)
Le lecteur peut apprécier notre surprise, voir l'éprouver, devant le noeud généralisé, avec des faits plus important pour Lacan à lui opposer, à propos de la généralisation,
Sans oublier que W.O.QUINE (1, 2), logicien de la grammaire a plublié Les mots et les choses, Flammarion, 1977, où il souligne son intérêt pour la paire ordonnée (p354) comme paradigme philosophique, (à ce propos J. Lacan,
D’un Autre à l’autre, séminaire, Livre XVI (1968-1969)).
Dans sa manière de traiter du nominalisme et du réalisme Lacan reprend la notion de généralisation de la physique de Newton à Einstein et ce qu’il appelle le mythe de la limite, (voir le texte : la limite ou élément différentiel, les objets géométrique voire topologiques, les nombres, la paire ordonnée, l'ensemble par opposition à la classe, à l'extention,), ............................................................................................................................p59
La généralisation joue un rôle éminent, car le symptôme, selon Lacan, est la survivance d’un ancien système de production dans un nouveau, cela explique la présentation du symptôme (écrit avec des caractères venant du grec) par le sinthome (écrit avec des caractères latins), l’ancienne manière de l’écrire.

Foin des mythes, fables pédagogiques, Freud découvre les lois d'écriture dans ces topos d'argumentations. Des lettres qui comme objets n'en oublient pas le sujet de la lecture, d'existence légitime sinon positif. Une théorie du semblant reste à développer.

Du trauma, côté oreilles, produit du malentendu des parents qui ne s'entendent pas crier, à l'invention du trait unaire, appui de l'identification, et qui donne l'intuition du sujet, lu avant que de savoir l'écrire.
Le lire est différent que de croire comme Kant que cet objet doit être conceptualisé, dans les ronds de l'entendement.
Nous évitons la poésie, sauf pour en jouir comme chacun.................
..(suite ci-contre à droite, -->)

 

(suite)
Le trait unaire est lisible avant de devenir un écrit, une lettre qui dépend d'un discours, d'un lien social. Proximité du signifiant du Nom du père, Dieu de la diologie, différent du SSS (Sujet supposé savoir), Dieu de la théorie, et à la rencontre de la castration comme le manque dans l'Autre.
C'est plus rigoureux que la critique de Quine des propostitions à propos de la signification : les propositions éternelles accrochées aux murs comme dans une galerie de tableaux de famille auquels on se réfère,

Les stoïciens les ont déjà nommés : incorporels, lisez « Radiophonie » .......p60
(question
II) avant « L’étourdit ». (ajout Incorporel(le)s : 1, 2),

« Ici l’effet de non-sens n’est pas rétroactif dans le temps ...
Voici plus qu’il n’en faut pour justifier le recours à la métaphore de faire saisir comment à opérer au service du refoulement, elle produit la condensation notée par Freud dans le rêve.
Mais au lieu de l’art poétique ce qui opère ici, c’est des raisons.
Des raisons, c’est-à-dire des effets de langage en tant qu’ils sont préalables à la signifiance du sujet, mais qu’ils la font présente à ne pas en être encore à jouer du représentant.
»
J. Lacan, « Radiophonie
», (É.II), Question III, p. 417.

Est incorporel ce que l'étranger ne peut comprendre, ...jeux de mots, exercice du discours, manière, signe, symbole, pratique .. de reconnaissance propre à un groupe, ..
Le pragmatisme lui est "hors course" pour la signification phallique, la sexuation.

En matière de lecture, Freud découvre notre ignorance à propos de la parole et l'écrit, c'est dorénavant l'objet de la tâche analysante avec Freud et Lacan, et non l'écoute bienveillante ou l'empathie compassionnelle. (Prêtre, AS, Psy..., Show).
Quine ne dispose pas du registre de l'écrit ni de celui du discours, lieux irréductibles quand " les mots font la chose ".
Les animaux parlent mais n'écrivent pas. Le corps de l'homme, lui, écrit, déviant les organes pour en faire des lettres, tenant cette fonction de sujet du langage par les oreilles, alors ça parle ! Pas de déviations sexuelles, car le langage, le sexe maintenant de ce mammifère n'est que déviation.
L'écriture avec sa causalité, découverte par Freud, (Champollion), déterminante pour le corps depuis le trauma allié au narcissisme et l'introduction de la fonction imaginaire du phallus symbolique va jusqu'à la castration de l'Autre, son manque,

 

P

   

II. Condensation, .............................................................................................p61
Elle n'est pas l'art poétique, et le psychologue ne doit pas précéder le sujet, mais le suivre pour s'instruire. C'est un Truc qui "ne cesse de ne pas s'écrire", d'une écriture dès la condensaton irréversible, "irréductible au service du refoulement (Urverdräng)", "préalable à la signifiance du sujet", ou de "raisons qui n'en sont pas encore à jouer du représentant", mais n'est pas la quête des origines, "comme si un grand déménagement garantissait un meilleur arrangement".

Le champ de l'isotopie des chaines et des noeuds est défini au XXe siècle grâce à trois générateurs : les R-mouvements de La théorie classique des noeuds,

 
 
      Le mouvement noeud, N3 , ..............................................................................p62
Il consiste en un échange de triskel,
Le mouvement nœud allié à l’enlacement de deux chaînons permet de
faire et de défaire tous les nœuds et toutes les chaînes du modèle physique en les analysant ainsi comme des objets géométriques écrits au travers de huit théories des nœuds topologiques.

 
 

P

   

Ce mouvement nœud impose de savoir lire dans la figure de la mise à plat (univers en anglais) de l’objet une zone déterminée par trois composants de corde : un triskel, ceci éclaire la raison pour laquelle Lacan nous désigne dans son séminaire R .S.I. le triskel comme trait unaire.

Ci-contre mouvement noeud propre dans le trèfle,
mouvement noeud hybride dans le Whitehead,
et mouvement noeud impropre dans le borroméen,

Ci-dessous deux séminaires exemples de ce mouvement effectué par Lacan :
(Lacan, Le sinthome, dans le noeud de trèfle, leçon du 10 février 1976, et dans Dissolution, dans le noeud borroméen leçon de décembre 1979, précédent la leçon de janvier où Lacan lit sa lettre de dissolution.

Lire J-M.Vappereau, Noeud, chapitre VII,............... p285
Différencier trois types de mouvement noeuds : propre, hybride, et impropre.

 
 

P

   

Définition de trois types de mouvements noeuds,............................................ p63,
trois types de mouvements nœuds selon que les éléments de
corde qui s’y croisent participent d’une même corde ou de deux ou trois cordes différentes.

Définitions, ......................................................................................................p64

1. le mouvement nœud est dit propre lorsque les trois éléments de corde qui se croisent dans le triskel participent d’une seule et même corde : noté Np ;
2. le mouvement nœud est dit
hybride lorsque les trois éléments de corde qui se croisent dans le triskel participent de deux cordes distinctes : Nh ;
3. le mouvement nœud est dit
impropre lorsque les trois éléments de corde qui se croisent dans le triskel participent de trois cordes différentes et bien distinctes : Ni

Soit un treillis, de fait une relation d’ordre, entre les huit théories des nœuds avec enlacements qui permettent de situer :
– le champ de l’homotopie (ou gordien propre), notée : H, utilisée par
Soury en relation avec sa lecture de J. Milnor ;
– et le champ du gordien (impropre), noté : G, utilisé par Lacan qui
conserve les divers nombres d’enlacements d’une chaîne comme invariants topologiques et se trouve ainsi largement situé et fondé en mathématique.

Pour les positions de Lacan et de Soury à l'époque du séminaire lire J-M.Vappereau, Noeud, chapitre IV, p153 à 157 et chapitre VII, p 289,

Les arêtes parallèles entre elles correspondent au même mouvement parmi les Ni, Nh et Np, les sommets correspondent chacun à une théorie différente indexée par les lettres, h et p des mouvements qui y sont admis comme Thip où nous pratiquons Ni et Np.

Ce mouvement nœud conduit ainsi à une nouvelle appréciation de la
portée des dits borroméens généralisés et fort généralisés et cela va nous mener à rechercher et à trouver par construction un exemplaire du borroméen fortement généralisé, celui que nous avons montré dès le début.
De cela nous pouvons conclure que le borroméen généralisé désigné
par Lacan reste inaperçu par les deux points de vue mais persiste par sa présence immune aux mouvements propres.
Le borroméen fortement généralisé permet d’apprécier la discussion
de ce dernier obstacle.

Le borroméen généralisé sous cet aspect, .....................................................p65
Le nœud désigné par Lacan comme borroméen généralisé trouve sa
portée dans ces conditions. Il reste inaperçu car défait par l’une et par l’autre des deux théories en jeu à ce moment-là :
– pour Lacan dans la théorie de nœuds à mouvement gordien (impropre)
près où ne subsistent que des nœuds propres et des enlacements, théorie de la psychose paranoïaque et de l’élément qui est sinthome et névrotique (enlacements) ;
– pour Soury dans la théorie à homotopie (mouvement gordien propre)
près où ne subsistent que des chaînettes borroméennes à homotopie près (chaînes finkéennes qui intéressent les calculs de Milnor), théorie de la névrose et du nom du père où le désir est perversement orienté selon Lacan.
Le borroméen généralisé ne disparaît pas dans la théorie à mouvement
nœud propre près.

 

voir aussi Ici,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

P

   
Pour conclure : Le borroméen fort généralisé, ......................................p66
Le borroméen fort généralisé ne se retrouve dans aucune des théories
qui diffèrent de la théorie positive des modèles physiques. Il disparaît dès la première ligne.
Par quatre mouvements, qu’ils soient quatre mouvements exclusivement propres ou hybrides ou impropres, dès qu’une théorie s’écarte de la
théorie physique.
Il est, de manière irréductible, ce qui fait l’embarras maximum de cette théorie positive. Mais il permet d’en rendre compte et de montrer où échouent les différentes tentatives de faire correspondre des invariants algébriques à ces objets topologiques.
 
 
     
 
 
 
2007
   
 
 
         
 

P

20071225
Paris, *,

 

Lecture des formules de la sexuation, 00,
(logique et théorie des ensembles) texte intégral, 25 décembre 2007, 46 pages,

(Attention trois textes sur la Lecture des formules de la sexuation,
celui-ci 00, du 25 décembre 2007, *, 46 pages, et le texte de mai 2009, *, 16 pages, 01
, et celui de mai 2012, 2 pages, 02, *).

De la nécessité d'une modification si légère de la logique canonique classique qu'une feuille de papier transparente nous en sépare.

Abrégé,

Lecture des formules kantiques de la sexuation construites par Jacques LACAN, caractérisant deux types de tas connus pour échouer à constituer un tout, deux types d'impuissance donc. J'ouis sens de la voix par le regard silencieux : lecture, mais écriture ensuite, joussance du déchiffrage, : côté mâle et à la manière femme, De là homo et hétéro,

~

- Présentation chapitre I
- chapitre II 1 H Ratage et suppléance classique
- chapitre II 2 F 1 ratage classique
- chapitre II 3 modifications de la logique
- chapitre II 4 ratage et suppléance modifiée

 
   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

I-Présentation des formules kantiques de la sexuation,
0. Première présentation des formules, p2
0.1. Objection à la première esquive du fait d'une lecture un peu facile,
0.2. Objection à d'autres esquives qui sont le fait de l'incrédulité ambiante, p4
1. Alors débute notre lecture, p6
1.1. Lecture comme décryptage grâce au composant syntaxique,
1.2. Lecture par évaluation dans un composant sémantique, p6
       Quatre données élémentaires nécessaires à la lecture raisonnée des formules de la sexuation,
2. De la théorie axiomatisée des ensembles Z-F, p9
2.1. Condition à laquelle doit satisfaire une classe pour pouvoir s'écrire comme un ensemble,
2.2. La classe des ensembles qui ne s'appartiennent pas à eux même n'est pas un ensemble, p10
2.3. Le schéma d'axiome de substitution et son corrélat le schéma d'intention (ou de compréhension). p11
2.4. La classe universelle, d'une théorie des ensembles du type Z-F, n'est pas un ensemble de cette théorie,
3. De la modification de la logique, p13

II- Deux modes de ratage sexuel et deux modes de suppléance correlatifs,
1. Côté mâle,
1.0. Premier mode de ratage, classique,
1.1. Premier mode de suppléance, toujours classique ici, p16
1.1.1. La notion d'énoncés restreints,
1.1.2. Diagramme de ce mode de suppléance en logique classique, p17
1.1.3. Conséquence pour la lecture des formules côté homme, p18
2. Côté femme,
2.0. Second mode de ratage, encore classique,
2.0.1. Versions du second mode de ratage formulées dans la langue, p21,
2.0.2. Versions du second mode de ratage formulée dnas des schémas, p22,

 3. D'une autre écriture modifiant à peine les lois de la logique, p24,
3.0. Le principe de la modification,


3.1. La modification de la logique en tant que telle, p27,


 

suite...
3.1.1. Une négation nouvelle, une clause formative et un axiome supplémentaires, p28,
La première négation modifiée, ~, tilde,
   1.2.4.L3,T3,
   2.2.4. Axiome de Van Bellingen, Ax~
(~p' (~p' ¬p'))

3.1.2. Une autre négation et deux constantes nouvelles,
Définition Nég2,
Définition C, (constante)
Proposition / ,
Démonstration,
Corollaire I / / / O,
Démonstration,
3.1.3. Revenons aux deux négations modifées, p31,
Propositions ~ p / ,
Démonstration,
Corollaire / p /~ p
Démonstration,
3.2.L'écriture des prédicats monadiques modifiée (L3,T3) monadique, p32
voir annexe n°6,
3.2.0. Coordination des propositions et des prédicats,
Théorème principal, / E / ~ E,
Démonstration,
Proposition,
Démonstration,
Proposition ~ E / ,
Démonstration,

3.2.1. Deux kanteurs abréviateurs de L3 monadique, p33,
Définition A modifié
Définition E modifié,
3.2.2. Enfin les trois propositions qui vont servir dans la lecture du côté F, p36,
Théorème principal spécifié,
Proposition
Proposition,
4. Revenons su cpoté femme pour le résoudre dans cette topologie, p37,
4.0. Second mode de ratage, classique plongé dans L3,T3, p38,
Théorème principal,
Théorème P(a), p40,
Théorème (a) / (a),
Fin de l'exposé du ratage classique plongé dans notre topologie,
4.1. Second mode de suppléance non classique dans (L3,T3), p41,
Fin de l'exposé de la suppléance non classique dans notre topologie,
4.1.1. Un mot d'esprit en logique mathématique, p43,
4.1.2. Conséquence dans la lecture des formules du côté femme,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
   
suite ci-contre en haut-droite --->
   
 
   
JMV, *,

 

 

 

Annexe 1, LCC syntaxe monadique, (aperçu)

Fragment de la Logique canonique classique I,
Composant syntaxique monadique simple pour la coordination et la quantification,

A. Caractère primitifs et clauses formatives des énocnés monadiques classiques,
Premier système monadique : L1 (monadique)
1. Caractères primitifs,
2. Clauses formatives,
3. Abréviations,

B. Enoncés catégoriques de la logique classique grecque,
A, E, I, O,


Fin de la première annexe.

¬
 
 
         
 
   
JMV, *,

 

 

 

 

 

Annexe 2, LCC syntaxe et sémantique de la coordination, (aperçu)

Fragment de la Logique canonique classique II,
Composant syntaxique et séantique hyper simple pour la coordination vérifonctionnelle,

Formule du Clacul des coordinations classiques, L2 +1, L2, T2,
0.1. L'assertion ,
0.2. La substitution, Q | p ; ( | = ou ?),

1. Le Calcul des coordinations classiques, ( L2,T2),
a1- Le composant grammatical, de stricte syntaxe : L2,
1.1. Les lettres, (petites lettres, connecteurs, parenthèses)
1.2. Les clauses formatives ...
( les petites lettres sont des formules chacunes, ... ¬ P, ... P ∨Q,),
1.2.3. Si P ∧ Q sont des formules alors P ∨Q sont des formules,
1.3. Abréviations,
1.3.1. ( P ∧ Q ) = voir le texte ...
13.3. ( P ⇔ Q ) = voir le texte,
a2- Le composant démonstratif, de stricte déduction : T2,
2.1. Les clauses déductives,
2.1.1. Le détachement :
2.1.2.La substitution,
2.2. Les axiomes,
2.3.Abréviations,
dans lobjet littéral L2,
Du commentaire littéral L2+1 ,

 

¬
 
 
   

2. Les modèles servant aux commentaires de la coordination classique, au nombre de trois,

1. Tables de vérité,
2. Diagrammes, translitérations de Tables,
3. Calculs algébrique de Boole, version mathématique de la logiqe dans la langue du commentaire,
Une arithmétique dans un Anneau de Boole, ∀x ( x ∈K ∧ (x2 = x)),
0. Deux lois de composition interne de notre anneau,
1. Le caractère parasitaire de l'assertion P = 1 pour P,
Abréviateur de ( L2,T2),
I, O, (équivalence tautologique), (l'assertion),
2. Liste des polynomes à deux variables à coefficient dans Z2,

Fin de la seconde annexe,

 

ces calculs qui peuvent être présenter en termes
de Tables de vérité,
de diagrammes de type Euler-Venn-Carroll,
ou du calcul algébrique booléien.

Ce rapprochement entre différents moyens permet aussi de s'interroger sur les style d'écriture qui impliquent différents type de lecture de ces diverses interprétations elles mêmes.

 
         
 
 
JMV, *,

 

 

 

Annexe 3, (aperçu)

Fragment de la Logique canonique classique III,
Composant sémantique monadique simple pour la quantification catégorique,

1. Le diagramme de Peirce approximation pour la théorie de la quantification,
2. Les schémas d'Euler Venn des énoncés catégoriques, où deu x ronds correspondent aux aux deux concepts respectifs de Sujet et de Prédicat,

 

Fin de l'annexe 3

¬

1. Diagramme de Peirce
(présentation ici trompeuse ! Le concept Sujet est éludé !)
 
         
 
 
JMV, *,

 

 

 

 

 

 

Annexe 4, (aperçu)

Les énoncés restreints,
Ils correspondent à l'introduction de nouveau kanteurs qui écrivent des kantifications relatives à quelques domaines donnés

Définition A,
Un nouveau caractère composé ∀S , défini à l'occasion d'une abréviation ...

Définition E,
Un nouveau caractère ∃S , défini à l'occasion d'une abréviation ...

à propos de la kantification abrégée : où le connecteur binaire de la coordination logique qui devient implicite n'est pas indifférent !
La kantification universelle est liée à l'implication matérielle (⇒), alors que la kantification existentielle est lié à la conjonction (∧)

Raison du lien qui impose deux définitionss distinctes des énoncés restreints, ...

Application aux énoncés catégoriques de la syllogistique d'Aristote :
A, E, I, O, ( et non 0 !).
& exercice : Construire un diagramme à la manière de Peirce qui contient les diagrammes à la manière Venn,
& Solution :

Conclusions et questions :

Les énoncés restreints permettent dans un premier temps de montrer comment se résout le ratage par l'impossible du côté Homme en une suppléance classique, ...

Justification de la logique modifiée ...

Fin de l'annexe 4,

¬

 

 

 


Les énoncés catégoriques de la Syllogistique,

Solution de l'exercice proposé,

 
         
 
 
JMV, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Annexe 5, (aperçu)

La théorie axiomatisée des ensembles,

Plaçons-nous en Langage des prédicats du premier ordre, c’est à dire que nous admettons et considérons connu le Calcul des propositions, soit la théorie de la vérifonctionnalité qui régit la coordination grammaticale entre concepts et entre propositions.
Puis le Langage des prédicats du premier ordre monadiques et quelques résultats élémentaires relatifs aux prédicats polyadiques, soit la théorie de la kantification qui croise les deux régimes de la coordination des concepts et des propositions.
En un mot La Logique canonique classique, l'agencement de la théorie de la vérifonctionnalité et de la théorie de la kantification, désormais (LCC).

Rappels en Théorie des ensembles,
Présentation de la théorie axiomatique des ensembles de Zermelo et de Fränkel, désormais (Z-F), ... permettant de lire voir d'écrire les formules dites axiomes, muettent pour beaucoup ..

1.1. Une relation singulière et des axiomes spécifiques,
   1.1.1. Une relation binaire notée ∈ ...,
   1.1.2. Des axiomes légifèrent sur l'emploi de cette relation,

- La relation ( x ∈ y ) dite d'appartenance est une relation primitive singulière, qui nous place non en Logique mais en Mathématiques, ...
La Logique est démontrée consistante par Gödel, premier théorèmes,
Les Mathématiques sont démontrées incomplètes du fait de contenir l'Arithmétique, second théorème de Gödel.
- Les Axiomes, spécifient la relation singulière en question.
Ils introduisent l'arithmétique sous l'aspect d'ensembles ordinaux dans cette construction, ...
Construction incomplète ...
Mais ici, intéressons nous à l'aspect syntaxique et déductif, ...

1.2. Trois types d'axiomes.
Formules qui écrivent et réalisent les axiomes de la théorie (Z-F).
I- Premier type
         L'axiome d'extentionalité,

             ∀x ∀y [ ∀z ((z ∈ x) ⇔ z ∈y ) ⇒ ( x = y) ]
         .....

II- Deuxième type,
          L'axiome des parties, ...
          L'axiome de l'union, ...
          Le schéma d'axiome de substitution, ...

 

suite Annexe 5 ci-contre haut , --->

                                       --------------------------------------------

 

-->

 

  ---->

¬

suite Annexe 5,

III- Troisème type,
           L'axiome de l'infini,
                Axω ∃x ¬ f ( x),

1.3. La fabrique d'ensembles (les axiomes commentés),
Le premier axiome, l'axiome d'extentionalité,
Le premier axiome définit la relation d'identité ( x = y ) par l'expression
R0(x,y) : ∀z ( ( z ∈x ⇔ z ∈ y) )

Le dernier axiome, l'axiome de l'infini,
Voir la première partie de l'Ethique de Spinoza, intitulé Dieu !

La structure syntaxique commune aux autre axiomes,
Deux plus une infinité, présentent la même structure syntaxique interne, du fait dela notion de schéma d'axiome,
Cette structure de choix et d'ordre des lettres qui les composent peut être rendu ainsi,
                 AxR ∀x ∃ y [∀z (z ∈ y ⇔ R (x, z) ],
...

Axiome des parties,

R(x,z) : ∀t (t ∈ z ⇒ t ∈ x),
Axp ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ∀t (t ∈ z ⇒ t ∈ x)

Axiome de l'union,
R(x,z) : ∃u ( z ∈ u ∧ u ∈ x),
AxU ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ∃u ( z ∈ u ∧ u ∈ x) ]

Schéma d'Axiome de substitution,

∀x ∀y ∀y' [ E (x,y) ∧ E(x, y') ⇒ y = y',
∀t ∀u ∀u' [ E (t, u) ∧ E(t, u') ⇒ u = u'],

il reste alors
R(x,z) : ∃v ( v ∈x∧ (E v,z)),
AxS ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ∃v (v ∈x ∧ E (v,z)) ],

Chaque type d'axiome est bien de la forme :

AxR ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ R (x,z)) ],

 

 

 

 

 

 

 


1.4. Le schéma de compréhension,
Introduisons un nouveau type de schéma déductible du schéma d'axiome de substitution afin de faire voir une différence importante pour la théorie des ensembles (notion de définition des ensembles en compréhension et qui va apparaître dans l'Éthique de Spinoza telle que nous proposons de la lire.
....
Apprendre à lire le composé :
       (x = y ∧ A(y) pour E (x,y), (lire l'explication du cheminement)
Formule pour le schéma de compréhension :
SC ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ( z ∈ x ∧ A (z))]
déductible du schéma d'axiome de Substitution dépendant d'une relation dyadique E (x,y), fonctionnelle,
SAxS ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ∃v (v ∈x ∧ E (v,z)) ],

voir ci contre les illustrations de la différence des schémas de compréhension et de substitution,

Substitution et Compréhension, Schémas à gauche,

La substitution vers la Compréhension, Schémas à gauche,

Schéma de compréhension,
R(x,z) : ∃ v (v ∈ x ∧ ( v = z ∧ A (z))) : ( z ∈ x ∧ A(z)),
E(v,z) : (v = z ∧A(z),
SC ∀x ∃ y [ ∀z (z ∈ y ⇔ ( z ∈ x ∧ A (z))]

1.5. Reprenons maintenant l'axiome de l'infini,

Axω ∃x  ¬ f (x),

Seul axiome à commencer par n kanteur d'existence,et à permettre la fabrication d'ensemble. Il assure l'existence d'ne substance au sens de Spinoza ( premire partie, définition III), là où commence la formulation de l'Ethique *, comme Logique de la théorie des ensembles,

Fin de l'annexe 5,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 

JMV, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Annexe 6, (aperçu),

Modification de la Logique classique,

Second système génératif défini ici L3(monadique),

Caratères primitifs et supplémentaires et clauses formatives originales des énoncés monadiques modifiés,

1. Caractères primitifs,
Les caractères primitifs de L3(monadique) sont ceux de L1(monadique),
où s'ajoute :
1.6. Le premier connecteur logique de la coordination modifiée, la première négation modifiée : ~ est un caractère primitif de L3(monadique),

2. Clauses formatives,
Les clauses formatives de L3(monadique) sont celles de L1(monadique) auquelles nous ajoutons ;
2.6. Si E est une ebf de   L3(monadique) , alors ~ E est une ebf de L3(monadique) ,

3.Abréviations,

Les abréviations de L3(monadique) sont ceux de L1(monadique),
où s'ajoutent :

3.5. La seconde négation modifiée est notée et difinie par
= ( ¬ E ∧ ¬ ~ E ), est un caractère abréviateur de L3(monadique),

3.6.. La première négation modifiée : = ~ est un caractère abréviateur de L3(monadique).

3.7. La seconde constante modifiée ; = est un caractère abréviateur de L3(monadique).

3.8. Le premier kanteur modifié dit "il n'y a pas", est noté et défini par l'expression , est un caractère abréviateur de L3(monadique),

3.9. Le second kanteur modifié, dit "pastout" est noté : et défini par l'expression est un caractère abréviateur de L3(monadique),

La construction de notre second système génératif L3(monadique), portant sur la syntaxe est terminée,

 

suite à droite --->

~

suite Annexe 6,

Le second composant T3(monadique), déductif ou sémantique du système formel de la logique modifiée L3T3(monadique) va nous occuper.

Le composant T3(monadique) :

Adoptons le composant déductif ou sémantique qu enous avons écarté dans la présentation de L1T1(monadique) pour lui préférer les composants sémantiques :
- constitué par les tables de vérité auquelles nous renvoyons le lecteur poiur donner du sens à la coordination logique (la vérifonctionnalité de (L2,T2) qui se trouve dans les livres d'enseignement même les plus élémentaires)
- constitué par les schémas de Peirce et de Venn commentés et présentés ici en annexe grâce à un exercice pour interpréter les quanteurs dans le cas hyper simple et réduit du prédicat monadique.

La seule innovation introduite dans le composant déductif, corrélative à la seule modification introduite dans le composant syntaxique avec la première négation modifiée, sera un unique axiome supplémentaire.

Cet unique axiome supplémentaire porte sur la première négation modifiée en relation avec la négatio classique, relation entre négation que nous désignons par le terme de trivialisation, qui déforme les lois de la coordination des concepts et des propositions. Nous le donnons ici,
                 Ax~ (~E ⇒ (~E' ⇔ ¬E),

Il s'ajoute au composant qui a les faveurs du lecteur pour le calcul classique des propositions (CP), soit déductif (axiomes), soit sémantique (tables). Ce calcul est en fait un calcul de la coordination logique des concepts comme des propositions, pour nous (L2,T2), que nous ne présentons pas ici parce qu'il est standard et bien connu comme peuvent l'être les méthodes qui lui sont adjointes ou le calcul de Boole.

Pour établir quelles sont les thèses classiques de ce système (CP) ou (L2,T2) de la coordination logique des énoncés classiques et disposer d'une procédure de décision, se référer à Nons, J-M.Vappereau, non publié, ou à Quine, Méthode de logique,

Par contre nous donnnons une méthode de logique au sens de Quine, très simple, facile et rapide d'usage, suite aux annexes introductives ...

Nous devons l'expression de cet axiome supplémentaire pour la logique modifiée à Alain Van Bellingen, l'un de nos auditeurs lors de notre introduction de cette logique à peine différente de la classique,

Ce dernier à construit la méthode de double trivialisation à partir de cet axiome et de la thèse duale corrélative, démontrable à partir de lui, et portant sur la seconde négation modifiée.
Cette méthode de logique (au sens de Quine) permet de déduire toutes les thèses de la topologie du sujet grâce à deux déductions ou évaluations classiques .

Dans le cas de la logique modifiée il suffit de remplacer dans son arbre syntaxique en deux temps successifs :

1- Le première négation modifiée par la négation classique et la seconde par l'antilogie afin d'obtenir une première formule classique,
2- La seconde négation modifiée par la négation classique et la pemière par l'antilogie afin d'obtenir une seconde formule classique,

Si, dans ces conditions, les deux formules classiques obtenues sont des thèses classiques, la formule de la logique modifiée est une thèse de cette logique.

Nous pouvons par ce moyen proposer au lecteur de déduire ici quelques thèses de la topologie du sujet qui facilitent beaucoup l'interprétation des définitions.

exemple :

     ~E ⇔ ( ∧¬E)

      ⇔ ( ∧¬E)

      ⇔ ¬

Le traitement déductif du second composant L3T3(monadique) est terminé,

Nous soulignons encore comment, d'après ce qui précède, grâce à la définition des énoncés restreints, nous pouvons interpréter les kanteurs propres au côté Femme de telle manière qu'ils condensent dans une écriture kantifiée la nouveauté de la modification du calcul de la coordination qui emporte avec elle une solution logique à la question de la vérité, c'est à dire de l'Ics. de Freud

x P(x) = x ¬ P (x) = ∃ x ( (x) ∧¬P (x)),

x (Px) = x ¬ P (x) = ∀x ( (x) ⇒ ¬P (x)),

(à propos de ces dernières expressions : les consulter dans le texte original, pour corriger quelques décalages de position des lettres indiciées liées à un défaut de maitrise du clavier dans la transcription ..., le scribe)

 

Fin de l'annexe 6,
Fin des annexes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
   
JMV, *,
Table des matières,    
 
           
 
     
 
 

P

2007-09-11

Cours, *,

 

 

 

 

 

Le noeud borroméen généralisé,
Sommaire ......................................................................................................................1

Quelques schémas au tableau du cours du 11 septembre 2007....................................2
Le sinthome, RSI, nœud de Trèfle ou nœud à 3
? .......................................................3
Une névrose olympique, et un borroméen presque trivial, de la folie
Névrose et perversion,
De la communication : le message inversé
L’interprétation Trèflière de Soury-Thomé.
.............................................................4
L’interprétation et la proposition de J-M. Vappereau
: le nœud à 3.10
Qu’est le nœud à 3
? Trèfle, Bo ou Tiskel ?...............................................................5
La chaine à 3 de 3 tétraèdres de Lacan
......................................................................6
Méthode de construction ...........................................................................................7
Nœud propre et nœud impropre ...............................................................................8
La métaphore, le mathème et la condensation
Des charmes du trumeau ............................................................................................9
Sexe n’est pas sexualité,

Vers le nœud borroméen généralisé !? Les chaines bruniennes. .............................10
Le nœud
borroméen généralisé c’est quoi ?
De Brunn à Debrunner,
Le borroméen généralisé au sens stricte ...................................................................11
Le borroméen généralisé de Lacan, ...........................................................................12
Le faux-trou,
De la nomination, pas de linguistique de l’énonciation............................................14
De l’homotopie,25
Nœud propre, nœud impropre, croisement propre, croisement impropre ............15
Mouvement nœud, hybride, propre,
Hyper-généralisé et fortement généralisé .................................................................16
Planche des questions topologiques dans le Sinthome
Schémas de la leçon suivante du 18 septembre 2007
 
 
         
 
 
2007-08-19

B.A, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Afin de préciser le narcissisme, (Texte provisoire);
Géométries intrinsèques et extrinsèques d'un objet (espace -variété)
Traits inversés d'un objet dans la symétrie miroir : de la dimension.
de
la différence entre géométries intrinsèque et extrinsèque
et
de la fonction décisive de la dimension dans la symétrie

Abrégé,
DE LA LECTURE DES GENS PRESSÉS, COMME LA FARINE OU LE
MOULIN À CONFITURE, 4,
DE L ' OBJET À L ' OCCASION, 6,
P ROPOSONS NOUS DE RAFRAÎCHIR UN PEU LA LECTURE, 8,
1- Traiter quelque chose comme un objet,
2- L'inversion aliénante dans le miroir,
DU PHONÈME A LA SIGNIFICATION PAR LE MOYEN DES INCORPORELS 10

I, INTRINSEQUE EXTRINSEQUE, 14,
L'opposition : intrinsèque/extrinsèque,
II, DÉFAIRE LES
ILLUSIONS COURANTES EN MATIÈRE DE SYMÉTRIE, 17,
La droite et la gauche dans le symétrie miroir,
Le miroir est isotope dans ses deux dimensions,
Reprenons nos observations intuitives pour corriger ces formulations,
1. Inversion de l'écriture dans le miroir,
1.1. Problème : Présenter un mor écrit devant un miroir,
1.2. Solution : Le mot est retourné mécaniquement,
1.3. Preuve : Si je retourne selon une autre direction,
Première conclusion.

2. Inversion de la main droite et de la main gauche,
2.1. Problème : L'image de ma main droite,
2.2. Solution :
2.3. Preuve : L'image symétrique de la main plate
2.3.1. Identité,
2.3.2. Le signe distinctif, non identité,
III, DE LA SYMÉTRIE EN GÉOMÉTRIE, 21,
De la solution du problème proposé,
Résultat principal,
Petit corollaire dans le cas où n = 2,
Corrolaire dans le cas où n = 3,
Corrolaire supplémentaire pour n = 3,

IV, DE LA GÉOMÉTRIE, 23
De la géométrie depuis Félix Klein,
Vers une définition classique plus précise,
Le Tas,
Catégorie,
Ensemble,
Géométrie enfin,
Définition classique en mathématiques, 26
Définition,
Pourquoi ce groupe en géométrie,
Théorème,
Démonstration,
Définition,
Réfutation de l'objection la plus courante,

V, DE LA PLUS SIMPLE SYMÉTRIE CONCEVABLE DANS UN MIROIR (comme un plan de dimension deux)
ou
DES DIFFÉRENTES
GÉOMÉTRIES DES OBJETS DE DIMENSION DEUX ET TROIS DÉPLACÉS DE MANIÈRE DISCRÈTE DANS UN ESPACE DE DIMENSION TROIS . 31,

La géométrie G3 dans le cas où n = 3,
1- La multiplicité M3 domaine de notre géométrie,
2- Les transformations entre les éléments de notre géométrie,

A. Le groupe des transformations de cette géométrie,
2.1. Les symétries élémentaires, si si∈ se , 37
2.2. Les rotations élémentaires, riδ
Re ,
2.3. Composition des transformations élémentaires,
Définition de la composition,
B. Vers une autre écriture de notre géométrie,
2.3. D'autres expressions utilisables,
2.4. D'une autre écriture de notre géométrie,
Petite remarque clinique, politique et éthique importante,
2.5. Réécriture de notre multiplicité M3,
2.5. Réécriture
des transformations de notre géométrie et de leur composition
3. Résultats principaux, 47,
Théorème principal,
Lemme 1,
Démonstration 1,
Lemme 2,
Démonstration 2,
Lemme 3,
Démonstration 3,
La géométrie G2 , dans le cas où n = 2, 56
1. La multiplicité M2 de notre géométrie, les 24 éléments de M2,
2. Les transformations entre les éléments de notre géométrie,
3. Résultat principal,
Théorème principal,
Démonstrations,

1.1. Démonstration de notre théorème,
1.2. Démonstration du corollaire,

VI, LE COMPOSANT THEOLOGIQUE DE LA SCIENCE, 63,
KANT,
KOYRÉ,

VII, L'ENVERS DU NARCISSISME, 67,

BIBLIOGRAPHIE, 71,

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 
2007-02-01

B-A, *,

 

 

 

 

 

Joyce-Hamlet et Freud-Oedipe,
refaire la clinique freudienne à partir des manières de  suppléer aux ratages du noeud,

1. Une nouvelle géométrie,
0. L'achèvement de la D.I.
0.1. La D.I. elle même.
0.2. Le couple d'opposés parmi les familles de droites :
1. Le point,
1.0. Le point classique,
1.1. Le nouveau point,
3. Le Noeud, structure du sujet,
   Le borroméen (lévogyre) métaphore impropre du Nom du père,
   Le point à l'infini de la solution cherchée,
2. Oedipe et Hamlet,
   Lacan dans La troisième,
   a. Le noeud,
   b. Le point noeud,
   c. La 4-chaine (de Freud),
   d. Enfin ... Le triskel extrait de la présentation armillaire du noeud,
2.1. Le ratage,
2.2. La suppléance,
   Réparation ou Quatrième,

Après ce repérage lire l'écrit "Joyce le symptôme" et le Séminaire Le sinthome,

entreprendre une lecture croisée des deux séminaires respectifs :
Livre XXIII
Le sinthome (1975-1976) et
Livre VI
Le désir et son interprétation (1958-1959).

Proposition : Le séminaire Le sinthome est une reprise, prés de vingt ans
après, du séminaire Le désir et son interprétation.
 
         
 
 
2007-01-10
B.A, *,
La deuxième, La raison d'un échec, (1967),
Le premier résultat,
Les deux problèmes,
La deuxième,
La proposition du 9 octobre 1967 sur le psychanalyste de l'École,
La réponse annoncée à la seconde question ....
Conclusion,
L'involution signifiante,
 
   
 
 
2006
   
 
 
     
 
 
 
2006-07-04
JMV, *,
Le vel de l'aliénation construction effective de l'opérateur vel et son articulation commune en logique classique .(B.A 28-05/24-07-2006) (III-5.1)
 
 

P

 

 

 

 

 

Une différence morganienne d'aspect, s'anime de ce qu'un choix forcé la rende dissymétrique,
Définition,
Définition symbolique du vel aliénant,
2, Explication dans la LCC et monstration dans son métalangage,
2.1, L'aspect morganien des connecteurs,
2.2, Deux connecteur classiques préalables,
2.3, Le couple affirmation/négation,
2.3.1, Introduction au caractère d'assertion : , marque d'un Enoncé complexe au regard de sa vérité !
2.4, Le couple Vrai/Faux,
2.5, Comparaison de ces deux couples de la logique,
   Homogénéité de ces deux couples,
   Distinction entre ces deux couples
  Conclusion,
  Résumé de cette conclusion par un graphique,
Appendice 1, Présentation géométrique de la Dualité de De Morgan,
Appendice 2, Planche résumant l'équivalent et la différence entre les couples de la logique affirmation/négation et Vrai/Faux

 
 
       
 
 
 
 
 

 

 

 

 

P

2006-04-15

JMV, *,

 

 

La D.I., la Droite Infinie, (D.I, DI, Dei ...)

La droite infinie,
I- Desargues achève la théorie des coniques,
La D.I. est une cercle,
Les ordonnances de D.I. sont des types uniques,
La raison depuis Desargues,
Explications numériques,
En quoi la D.I. est un cercle,
Comment les ordonnances de D.I. sont d'un type uniques,
Les coniques ou les quatre types de sections obtenues du cône coupé par un plan,
Unité des coniques à branches infinies entre elles et avec les autres,
II- Lacan achève la théorie des surfaces topologiques intrinsèques et la suite,
L'involution qui produit l'unité de' ces objets dans leurs différences,
Où se découvre la fonction topologique nécessaire du noeud,
Généralisation extrinsèque de l'involution,
La classification des objets homologues de un, deux, trois ronds,
L'évolution signifiante des dimensions,
Bibliographie,


 

 

 

 

 
 
 
 
 
2006-01-01

 

 

B.A, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Théorie des noeuds, première partie,
Théorie des non-noeuds,
(Chap V de Noeud, p161, 167, 178, extrait de l'ouvrage de J-M.VAPPEREAU, Noeud),
Théorie des non-noeuds, ..ou chaque objet peut-être rangé dans une classe, un idéal pour la science classique, liste, énumération, retour à la taxinomie.

La classification repose sur le calcul d'un invariant, la répartition des nombres d'enlacements entre les ronds des couples de composants de ces chaînes qui ne sont pas des noeuds : les non-noeuds. Les non-noeuds sont les classes d'équivalence définies par cette théorie.
a1 - Calcul sur la figure du nombre d'enlacement global,
   0. Orientation des composants d'une chaîne,
       L'effet de ce choix sur chaque croisement de l'objet va permettre de le
chiffrer, grâce au  couple des valeurs
       +1 et
-1. Choix préalable qui n'a aucun sens privilégié comme en tout  système d'opposition structurale
       (instance du phonème qui se retrouve réparti selon le  versant du
signifiant ou celui de la lettre d'après Lacan).

   1. Caractéristique des croisements, (fig.2a, ci-contre --->),
       Voir dans Noeud, le protocole de coloriage des surfaces associées à ces noeuds, (Coloriages et orientations, chap I),
   2- Différence des croisements propres (même rond) et impropres ..., (Fig.3, ci-contre --->),
   3- Calcul du nombrer de Chaîne sur la figure même,
       Définition : Nous appellerons nombre de chaîne d'un objet X et nous noterons ce nombre :
ch(X),
       la demi somme des valeurs caractéristiques des croisements impropres de X
.
       Résultat bien connu depuis la fin du XIXéme
siècle (P.G.Tait et C.N.Little, voir Nœud p. 11).
a2 - De la répartition des nombres d'enlacement d'entre les couples de ronds,

   4 ?- (noté 3), Premier résultat original présenté sous l'aspect d'un répartitoire,
        Cas de un à trois ronds,
        Théorème,
        Démonstration,
        Deux,
        Un,
        Cas de quatre ronds et plus,
        Théorème,
 a3 - La géométrie des non noeuds,
       0. Multiplicité des objets,
       1. Transformations permises, ( ci-contre figure .6, --->),
       2. Invariance de la répartition du nombre d'enlacement,
           Les invariants les plus sûr sont :
                     -
le nombre de ronds
                     -
la répartition des nombres de chaîne d'entre les couples de ronds.

a4 - Résultat de la classification de un à trois ronds, Chap V de Noeud, p180-181,

[- Le plus petit non-nœud est une chaine, c'est un enlacement (de deux ronds, l'un empruntant le trou de l'autre et réciproquement). Np68
- Si la surface d'empan de l'objet considéré (Nœud) est bilatère, une face + et une face -, alors le Nœud se présente comme un non-nœud. Np64
- Il existe des non-nœuds faits d'un seul rond. Ce sont des non-nœuds propres. Le plus connu est le nœud de Lacan. (Sem XXIII, 17-02-76)Np68,
& voir la Table des noeuds de Lacan propres, (J-M.V Table des noeuds de Lacan propres .pdf,
& voir dans Pianoeuds, )
& voir Vocabulaire sur Gaogoga,
& voir Table des noeuds de Rolfsen, sur TEE, - ajout du scribe]
                                       -------------------------------------------------------------

 

 

 

 

 

 

 

 
         
 
 

2006-01-01

 

 

JMV, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Théorie des noeuds, deuxième partie, ( Noeud, chapitre VII, Clinique du processus du noeud, p257),
Théorie des noeuds propres comme sections transverses des noeuds  impropres et hybrides.
 Les composés de 3-chaines Bo et de Whitehead. (prolongement de Noeud).

0. Des surfaces au noeud, p258
Les trois chapîtres de l'enseignement de Lacan, (graphes, surfaces, noeuds) se traduisent l'un dans l'autre,
1. Théorie des chaines intrinsèques et Théorie du noeud,
  a1- Le mouvement noeud, N3, (sur triskels alternés)
  a2- De la théorie des noeuds extrinsèques à la théorie des chaînes intrinsèques, T00,
  a3- Le nombre de noeud,
  a4- En jeu de ce nouvel invariant,
  a5- Une théorie du noeud,
  a6- Décomposition et T3 par G2 et N3,
  a7- Le Trois est la raison du rapport de trois à quatre ronds,


2. Différenciation de trois types de mouvement noeuds,
  a1- Le treillis des (huit) théories du noeud,           p 301 ---------------------------->
  a2- Précision dans le débat Lacan et Soury,


3. Structures freudiennes de la clinique en topologie du noeud,
  1- pratiquer la lecture et de répondre de la lisibilité de ce qui a été énoncé par Lacan.
  2- la mise à jour de la structure principale du champ freudien dont dépend, du signifiant au symptôme, une quelconque formation de l’Ics et du fantasme à la pulsion la refente subjective.
    a0- Folie et causalité psychique, (être parlé par un autre, le moi structure folle, s'y coire, ),
    Folies particulière et collective,

    Alternative à l'asile,
    Clinique de l'asile,  
     a1- Causalité psychique avec métaphore,
     Le tore névrotique,
     Clinique de la psychanalyse,
     Dimension clinique,
     Fonction intellectuelle et processus affectif,
        0.2.1- Aspect rhétorique du symptôme,
          Ce qu'est un style ...
     La perversion, le sinthome, le chaînoeud Bo-généralisé,
     La métaphore impropre,
     La structure du fantasme, proximité avec la chaîne de Whitehead ????
     Le délire de la psychose paranoïaque,
     La subjectivité scientifique,
     a3- Causalité psychique et condensation,
          L'objet de la psychanalyse, Le noeud de Lacan,              p315 -------------->


4. Hétérologie du noeud,
      a1- Homologie, rappel,
     a2- Trivialisation par symétrie,
     a3- Les sections transverses,
     a4- Les sections qui n 'entravent pas le trivialisation,
     a5- Nombre de ronds de la chaîne maximale,
     a6- Chaînes partielles d'une chaîne donnée,
     a7- Définition de la relation d'homplogie et noeuds homologues,
     a8- Propriétés à étudier :
           Invariance du nombre de noeud,
          Mouvements homologues,
     a9- Série de chaînes et de noeuds homologues,
          Tables de 3-Chaînoeuds, de 2-Chaînoeuds, de Noeuds propres,

 

( En l'attente d'un texte spécifique, nous reprenons les éléments exposés dans Noeud.
& Théorie des noeuds propres, Arguments , 2, 9, 16 sept 2008

Pour les composés de 3-Chaines Bo et de Whitehead, des éléments de l'enseignement 2008, 2009, ...2012, 2013, 2014 sont proposés ...précisions à venir...Le scribe,)

- Enseignement JMV 1994-2008,
- Enseignements JMV 2009-2012,
- Enseignements JMV 2012-2015,

          ----------------------------------------------------------------------------------------------------------

Le lecteur constatera que les non-noeuds, sous l'aspect de l'enlacement occupent tous les postes de ce treillis, c'est ce trait qui nous fait parler de l'asile à ce propos,


 

 

 

 

 

 

 

 
           
 
   
 
 
2004
   
 
 
         
 
 
2004-11-23

 

 

B.A, *,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Trois petites géométries de ronds pour faire des ronds, (aperçu),

Définition de trois petites géométrie comme systèmes formels, c-à-d au moyen d'un double système génératif.

I. Géométrie rudimentaire ,
Défiir une géométrie c'est d'abord définir la multiplicité des figures élémentaires V de cette géométrie.

0. - Figures,
     0.1. La figure primitive,
     ( -fp.0) L'espace vide d'une portion de plan dénué du moindre trait est une figure V de cette géométrie,
     0.2. Les clauses formatives,
     ( -cf.1) Si V est une figure de cette géométrie alors V entouré d'un rond est une figure V' de cette géométrie, ... V V' V" ... Vv'

1. -Calculs (Axiomes)
     Trois axiomes géométriques,
     1.1. Les axiomes géométriques,
     ( -ag.1) Deux figures V et V' peuvent se déplacer dans la même zone du plan sans jamais se rencontrer, se croiser, ni travers la ligne d'une rond,
     ( -ag.2) Deux figures identiques V et V' = V coexistantes dans la même zone du plan se réduisent à un exemplaire unique de cette figure V,
     ( -ag.3) Deux ronds concentriques entourant un vide sont identiques à la figure primitive  dite de l'espace vide, c'est dire que deux ronds concentriques autour d'une zone vide s'effacent.

Notre géométrie est difinie.

a'. Conséquences dans cette géométrie, (voir aussi ci-contre à droite)
toutes
les figures V de cette géométrie définies en (0. -Figures) se réduisent soit à un rond seul soit s’effacent purement et simplement.
      Théorème principal, : Il n'y a que deux objets dans , toute figure se réduit à un rond, soit à la page blanche,

Premier exercice, (voir ci-contre à droite),

 

Seconde constatation,
Liste de figures simples dont les égalités qui lient certaines d’entre elles sont les conséquence des axiomes de notre théorie géométrique.

Axiome 1 & Axiome 2, ( Présentation ci-dessous partielles, voir texte original)
       
Noter la disparité entre les alignements de ronds ou les emboitements de ronds ...

 

Ce petit exposé Trois petites géométries de ronds est destiné à trouver sa place dans l’essai intitulé Faire des ronds De la topologie du sujet . qui expose la fonction, les définitions nécessaires et les grandes lignes de la Topologie du sujet dans le discours analytique.
Il
doit se prolonger dans un autre intitulé Trois petits systhémes d’écriture des ronds.

                         ---------------------------------------------


Premier exercice,

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
   

L'arbre et la hauteur d'une figure,
..., à chaque figure correspond un arbre syntaxique qui est unique,

puis --->

 

Construire un arbre

 
   

Construction d'un arbre de hauteur six,
Définition : La hauteur d'une figure est donnée par la hauteur du point qui marque la zone extérieur de son arbre syntaxique

Théorème : la hauteur n d'une figure est toujours au moins supérieure d'une unité à la hauteur des figures qui la composent, celles-ci sont d'une hauteur i ≤ n-1,

Démonstration du -Théorème principal,
1. - première figures de hauteur 0, 1, et 2,
2. - Considération pour les figures jusqu'à la hauteur n - 1,
   2.1.- distribution de la figure V ... et conséquences,
   2.2.- La figure V" venant à la hauteur inférieure ou égale à n-1 .. auquel cas la figure V" est un vide ou dans les deux suivants un rond .

Le -Théorème est démontré,

   
 
   

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Première géométrie augmentée

d'abord définir la multiplicité des figures élémentaires, notées P, de cette géométrie.
Et formuler les axiomes qui définissent les dérivations par déformations tolérées dans cette géométrie.
0. -Figures,
0.1. La figure primitive,

     ( -fp.0) L'espace vide d'une portion de plan dénué du moindre trait est une figure P de cette géométrie,
     ( -fp.1) Un rond bleu est une figure P de cettte géométrie, ,
0.2. Les clauses formatives,
     ( -cf.1) Si P est une figure de cette géométrie alors P entourée d'un rond est une figure P' de cette géométrie.
     ( -cf.1) Si P et P' sont deux figures de cette géométrie alors l'une disposée à côté de l'autre est une figure P" de cette géométrie, PP",
1. -Calculs (axiomes),
1.1. Les axiomes géométriques,
     (-ag.1)
     (-ag.2)
     (-ag.3)
     (-ag.4)
     (-ag.5)
     -Théorème principal : Il y a quatre objet dans .
          Premier lemme
          -Lemme (J-M Cahen) : Réduction à un rond noir, ....
         Démonstration,

Notre -Lemme est démontré,

Démonstration du -Théorème principal,
      Démonstration par récurence avec la construction d'un arbre syntaxique pour chaque figure.
1.- premières figures de hauteur 0, 1, et 2,
2.- Si théorème vrai jusqu'à hauteur n-1, Alors à la hauteur n.
     2.1- La figure P' ....
     2.2.- La figure P" ...

Notre -Théorème est démontré.

Suite du texte en Haut droite, --->

 

suite...
Deuxième géométrie augmentée ou la géométrie modifié


d'abord définir la multiplicité des figures élémentaires, notées P, de cette géométrie.
Et formuler les axiomes qui définissent les dérivations par déformations tolérées dans cette géométrie.


0. -Figures,
     0.1. La figure primitive,
     ( -fp.0)
     0.2. Les clauses formatives,
       ( -cf.1)
       ( -cf.2)
       ( -cf.3)

1. Claculs (Axiomes),
     1.1. Les axiomes géométriques,

       ( -ag.1)
       ( -ag.2)
       ( -ag.3)
       ( -ag.4)
       ( -ag.5)
       ( -ag.6)

     - Théorème principal : Il y a quatre objet dans .
         Démonstration,

Exercice pour le lecteur attentif 17

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
           
 
 
 
 

P

2004-05-29

JMV, *,

 

 

La métaphore du nom-du-père comme envers du Narcissisme,
involution entre les formules de la sexuations et les tours du dire au dit dans l'Étourdit.

Théorème pour le plongement, ,
Découpe en et par le chainoeud Borroméen,
I- La métaphore du nom-du-père ou l'envers du Narcissisme
Une lecture dirigée au travers de l'Étourdit
Les formule de la sexuation, H et F,
Théorie de la kantification, et Théorie des ensembles,
Kant et l'existence, et la kantification,
Liaison de cette logique avec la topologie,
Le Nom du père distingué de la phonction du fallus dans le narcissisme.
Théorème de la symétrie,
II- La généralisation de l'involution dans le cas du nœud Bo,
Question, commentaire, réponses, monstration, algorithme du plongement d'un noeud,
invariant gourmand, Les surfaces d'empan du noeud borroméen,
Parcours placé sur la shéma R

 

 

 

 
   
 
 
P          
 
   
 
 
1998
   
 
 
 
 
 

 

 

 

 

P

1998-10-08

PLAIS, *,

 

 

 

 

Psychanalyse et Sciences,
du fondement du discours de l'analyse,

 

... la psychanalyse est une science, oui ou non, auquel cas, dans l’affirmative elle est estimable comme telle, ou bien la psychanalyse n’est pas une science, auquel cas elle ne vaut rien, tout juste bonne à amuser quelques débats entre écologie, para-sciences, médecines douces, voir astrologie ou science politique.
L’exercice n’est pas facile et engage une grave responsabilité. Pourtant la réponse est
toujours la même. La psychanalyse est affaire de raison, la science aussi. La rationalité scientifique n’est pas le tout de la raison. La psychanalyse est affaire de raison, logique et mathématique, mais n’est pas une science, elle relève de la raison qui n’est pas réductible à la logique canonique classique. Or la raison est unique, il ne saurait y avoir plusieurs raisons. Encore nous faut-il expliquer cela par le menu, dans le détail. Précisément la question de la raison a bougé depuis Freud.
Elle relève d’un type d’unité qui n’est pas réductible à l’unité scientifique classique, mais
unité réelle que nous avons défini ailleurs à partir de la négation.

- Le sujet de la science,
- Logique, mathématiques et logique de l’observation expérimentale.
- La psychanalyse n’est pas une science expérimentale.
- Psychanalyse et médecine.
- Élaboration d’un appareil mental à traiter du sujet,
- Relation d’un sujet et d’un discours,

- Le sinthome,
- Le délire en place de la métaphore et du discours analytique,
- Pour conclure, une perspective d’avenir,

 

 

 

 

 

 

 

 
             
 
1997
           
             
 
1997-03
JMV, *, Pour introduire à
11.2. Seconde partie : Théorie des noeuds propres comme sections tranverses des noeuds impropres et hybrides.
Les composés de 3-chaînes Bo et de Whitehead (prolongement de Noeud)
  (VI - De la pratique commune de la psychanalyse par le graphisme de la structure (topologie des variétés)    11.2. ) ,    
               
      Le travail du noeud, Chapître VI, Noeuds, page 189, à 255
     
 
 

- Introduction, .......................................................................................p189,
I. Description graphique, .....................................................................p192,
0. Le graphe de Terrasson,
   a1. Définitions,
   a2. Les poinçons,
         Le 4-poinçons, ..............................................................................p195,
         Les 2n-poinçons, ...........................................................................p197,
1. Les modes de compositions, ..............................................................p198,
   a0. Définition de la composition, ........................................................p199,
        Détermination des caractéristiques de la composition, ...................p200,
        Ouverture des poinçons,
       Retournement d'un poinçon, ............................................................p201,
        Composition proprement dite des deux poinçons,
   a1. La 2-composition,
        Il y a quatre modes de la 2-compostition, ........................................p203,
        Une notion inuitive avec précision,
        Deuxième exemple,
   a2- La multi-composition, ....................................................................p208,
   a3- Les deux multi-compositions extrêmes, .........................................p211,
   a4- La composition dans la dualité, ......................................................p212,

2. Les montages réguliers,
   a1- Définition,
         D'autres exemples,
         Troisème exemple,
   a2- Propriétés remarquables de ces montages, ...................................p222,
   a3- Extension à n parties, les n+1 tresses, ..........................................p225,
        Tableau des Montages réguliers provenant des 3-Tresses,
3. Passage des montages réguliers aux cax quelconques, ......................p228,
   a1- Ajoutons les sections transverses,
   a2- Formalisons les sections transverses,
   a3- Revenons à la description d'un cas quelconque,
         Donnons d'autres exemples de cas non alternés, .........................p234,
   a4- Voilà pourquoi il y a de la complication,
   a4- Les cas non alternables, ................................................................p236,


        

       
      II. Plasticité nodale, ............................................................................................p237,
0. Nouages,
   Tableau I -- E0, Tableau 2 -- f : E0 --> { -1, 0, +1}, ..............................p238 & 239,
    a2- Le nombre de nouage,
          Expression du nouage,
          Chiffrage de notre exemple,
          Invariance du nombre de nouage entre deux représentations données, ....p242,
I. Interprétation de Sigma S ................................................................................p243,
   Chiffrage de notre exemple,
2. Partie noeud, partie nouage et partie non noeud,
   a1- Partie noeud et partie non-noeud,
   a2- Partie nouage, partie non noeud et partie Lacan, ......................................p246,
3. Exercices,
   e1- Graphe de Terrasson, partie noeud et partie non-noeud,
   e2- Ouverture des poinçons, dans les deux modes de composition,
   e3- Composition des sources et du matériel du noeud, ...................................p250
   e4- L'objet petit a aux Chinois,
         Question et Méthode, ................................................................................p253,
         Solution de l'exercice proposé sur l'objet petit a aux Chinois, ..................p255,
       
         
 
 
1992
       
 
         
 
 
1992-12-18
JMV, *, L'amour du tout aujourd'hui, ( le mode majeur de l'écriture de la vérité).
Théorie de l'évanouissement de l'assimilation comme de l'anti-assimilation :
La castration comme manque absolu dans l'Autre.
¬
FAIRE L 'EXPÉRIENCE EFFECTIVE DE L ' EFFACEMENT
COMME RAISON DE CE QUE L
' ON APPELLE
PRINCIPES DE LA PENS
ÉE
 

P

Première partie : Construire l'insconscient freudien en logique,
0- Hans, a1, a2, a3,
I- Tarski,
a1, La neige n'est pas blanche (adéquation formelle),
Nom, citation, mention et utilisation,
II- Formalison la condition enfin exprimée par Tarski.

III- Logique déductive,
IV- La ligne de partage,
V- La structure de la condensation, une différence, un marqueur de la différence, une assimilation et c'est la discrimination invisible,
VI- L'étendue de la logique,
VII- Seconde partie de l'argument de Tarski,
a2- Le titre de ce paragraphe n'est pas vrai (correction matérielle)
 
 
         
 

P

 

JMV, *,

 

 

 

2 eme partie :

I- La logique canonique classique,
L=Langage, T= Thèse,
L2T2, Calcul des propositions, (Théorie de la vérifonctinnalité),
Construction effective du calcul des propositions (voir Annexe 1 et 2),
Mais, Théo ...,
Incidence de T2 sur L2,

Le caractère,   , assertion,
Le caractère,  , équivalence,
II- La vérité dans L2T2, sP
III- Formalisation du métalangage,
Il y a du métalangage,
IV- Le langage de lettres (La topo
logie modifiée en une topologie du sujet), L2T3, ~,
V- L3-1, Plongement de L2 dans L3,
Simplification de  L3-1  grâce à la déduction dans T3,
Première démonstration,

~
 
 
         
 

P

1994-03-01

JMV, *

 

 

 

 

2 eme partie, II,

VI- La vérité dans cette topologie,
0-.
T3-1
, la vérité logique de ce plongement,
Théorème 2 :
Deuxième démonstration,
Théorème,
VII- La formalisation du marqueur de la vérité empirique,
Théorème 3,
Troisième démonstration,
VIII- L'assimilation enfin formalisée,
IX- Transparence, (La théorie avec assimilation écrite dans le langage de lettres).
Théorème 4,
Quatrième démonstration,
Théorème 5,
Cinquième démonstration,
Théorème 6,
Sixième démonstration,
7.0,
X- Antitransparence (La théorie avec désassimilation écrite dans le langage de lettre).
Théorème 7,
Dernière démonstration,
XI- Résumons notre itinéraire jusqu'ici,
L2T2
Calcul des propositions, Logique canonique classique,
L3T3, Topologie du sujet, plongement du CP,
Transparence,

~
 
 
         
 
    JMV, *      
 

P

 

 

 

 

 

3 eme partie,

Retour à Freud avec Lacan,
L3T3, La Topologie du sujet,
La négation classique, ¬,
L*3-1 plongement de L2 dans L3,

I- Freud,
les nons de cette topologie,
II- L'Ics ne connait pas la négation,
III- La dénégation,
IV- ICS,
V- La sexualité freudienne : Il n'y a pas de rapport sexuel,
La différence sexuelle,
La castration,
VI- La structure du langage : Il n'y a pas de métalangage,

 
 
         
 
 
1992-12-18 04
JMV, *, 4 eme partie,
Les deux seules institutions monumentales de la psychanalyse, (Homosexualité et Eglises)
0- La psychanalyse dans la culture scientifique,
 
 
         
 

P

1993-08-30

JMV, *,

 

 

 

 

 

Annexes et Table des matières,

Eléménts formels pour la logique modifiée et la théorie de l'évanouissement,

Annexe n°1,
Le calcul des propositions et sa modification présentés comme une théorie écrite dans un double système génératif,
Première partie,
1) Les premiers éléments des langages L2 et L3,
2) Les premiers éléments spécifiques de l'étage suivant de cette description, le
métalangage L3+1
3) Nous écrivons avec les éléments précédents les principes d'une bonne écriture des
éléments premiers
Deuxième partie,
4) Les éléments suivants du métalangage L3+1,
5) Nous écrivons avec les éléments précédents les principes de raisonnement corrects
d'entre les thèses.
6) Les thèses génératrices de T2
puis de T3 ou les axiomes.
Troisième partie,
Consistance,
Complétude,

Annexe n°2,
Articulation de la syntaxe de L2 et L3,
1) Analyse de chaque formule par un arbre,
2) Longueur des énoncés,

Annexe n°3,
Démonstration en topologie du sujet,
La méthode de la double trivialisation d'A. Van Bellingen,
1- Méthode :
2- Etayage de la méthode :
Retour sur les méthodes de logique,

Table des Matières,

~

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 
 
 
 
1991
     
 
 
1991-02-01

JMV, *,

 

 

 

 

Rupture et précipitation, Rupture du signifiant et précipitation de petites lettres,
Les démentis du Réel, faire témoin d'une fracture à l'Ecole de la cause freudienne.
Rupture du signifiant et précipitation de petites lettres,
Chronique :
1. Dénigrement du savoir supposé à Lacan,
2. L'intégration de la psychanalyse dans d'autres discours conduit à rejeter l'exercice de la lettre ...
3. Entériner la ségrégation et la croyance en la totalité.
4. Les deux grandes organisation psychanalytiques monumentales épiclères de Freud et de Lacan !
5. La quête de la raison littérale du désir,

Etat de la lettre,
La métaphore, le phallus et l'objet a,
L'involution signifiante,
Achèvement de la lecture des Ecrits de J.Lacan,

, ,

 
         
 
 
1987
     
 
 
1987-01-01

CLF, *,

 

 

 

Thèse sur le ruisseau ardent, à René LEW,

Logique bilatère, logique unilatère ?
11 arguments sur l'involution signifiante et/ou l'ardent ruisseau de la répétition freudienne,
1. Les termes bilatère et unitlatère dans la théorie des sufaces topologiques,
2. En Logique : Vrai et Faux, affirmation et négation d'une proposition,
3. L'opposition logique et les surfaces ?
4. L'opposition algèbrique,
5. Les surfaces topologiques à bord et le groupe fondamental du noeud.
Les surfaces topologiques sans bord et le trou imaginable comme rupture de surface,
6. Le caractère unilatère de la surface, l'élément neutre dit ni-potent,
7. La structure de groupe, Equivalence logique et diférence symétrique,
8. Logique modifiée en topologie du sujet,
9. Logique classique unilatère, logique modifiée bilatère, (nilpotent)
10. Happy birthday René, le 14 février 1987 !
11. L'involution signifiante, Résumé de la situation, L'oppositin logique, La structure du langage, la condensation freudienne soit la structure du refoulement, Ics et Cs,
La topologie du sujet articulable
,