Aa 21051969
Ecrits p 571
Encore, p73
résumé de la LF 1967-1968
S IX l'identification

Joyce le symptôme AEp565,569

S XXIII, le sinthome

Bourbaki

RSI S XXII

Position de l'ICS, Ep829

2- La suite de Fibonacci existe ..... ! , F-suites, poursuite .....  R-suites .. suite des rapports      en cours de rédaction              noeud        1
une érotique mathématique logique ou une érotologie mathématique
( ( ( ( ( ( 1, 1) 2 ) 3 ) 5 ) 8 )13) 24 ...

 

préalables :

L'enjeu de cette lecture cerne la question de la fin de l'analyse, son achèvement pour lui donner une limite (en raison), ce par le fermeture d'un bord, consistant. Elle intéresse l'acte analytique y révélant ainsi l'entrée !

L'analyse infinie implique la fuite des signifiants dans une répétition à l'identique, dans une figuration assymptotique comme l'explicite l'étude du Président Screber de Lacan dans Ecrits, p571," du traitement possible de la psychose".
La répétition à l'identique du signifiant crée l'idéal du Moi, ce qu'on atteind jamais, la fuite ... 1/ 0 = infini

=0


Depuis Désargue existe une solution au problème de l'infini, car les branches infinies se conjoignent en un point dit de compactification :

          

 

 

En ce point anti-podale, nous poserons l'objet a de Lacan, agalma, trésor des signifiants, bijou,(objet désiré et rejeté, lieu brillant et sombre, étrangé !), objet de l'aliénation et de la séparation (separer, se parer ..) , lieu du nombre d'or que Lacan indique comme " a " (à noter qu'en mathématique le nombre d'or est noté 1/a , soit un rapport ! ....)

les sujets analysant sont aliénés par l'impérative division première du sujet et du signifiant, c'est le vel aliénant, premier.
(résumé du séminaire"la logique du fantasme" paru dans l'annuaire, 1967-1968 )

 

 

Lacan identifie dans le séminaire XVI "d'un Autre à l'autre " :
les sujets de la névrose, les rapports des hommes et des femmes, et la dialectique du Maitre et de l'esclave ce dans une identité de structure :

"Ils ne s'y croient pas !"
Le fait de s'y croire, de se prendre pour ...étant critère de folie !

-dans la névrose obsessionnelle, le sujet refuse de se prendre pour un maître,
-dans la dialectique du Maitre et de l'esclave : le Maître est asservi à l'esclave dans un rapport de prestige et de lutte à mort ..!!! identique au rapport du sujet au signifiant .., identique à la soumission du sujet au(x) signifiant(s) (Maître) ..., mais le sujet ne se prend pas pour un signifiant, le signifiant ...le représente ..!!... le sujet est en cela barré ! ..(où ?) : vers un autre Signifiant .... Le signifiant a priori contingent s'aliène ...
-dans la névrose hystérique, le sujet (masculin ou féminin) refuse de se prendre pour La Femme, elle refoule ce point de jouissance à l'infini, comme absolu et de ce fait veut être un symptome dernier pour un Homme . Elle (il) se retourne vers leprécédent pour s'y intéresser comme .- à préciser !- ( Ce sera le cas des suites de Fibonacci qui ne passent pas par 0) . Socrate et Hegel sont hystériques. L'hystérique est incapable de dire le sexe de l'autre.
Contrairement à ce qu'une femme congrue (fétichiste ou homosexuelle - qui aime un homme-) veut être pour un homme : un symptôme pour un autre corps.

Ce qui se transpose dans les formules de la sexuation par (flèche de "La barré" vers" PHI")


 

et se son corrolaire La Femme est un symptôme ()   pour l'Homme , réverbéré dans la formule :

un corps est un (symptôme) pour un autre corps

L'Hystérique n'est pas un    dernier pour un Homme, elle refuse d'être    dernier pour un autre !
( Serait-ce la position d'un sujet en fin d'analyse et de l'aveu du désir de l'analyste ?)
Lacan fait de Joyce un hystérique passant du symptôme au sinthome (SXXIII, le sinthome 1975-1976)

Ainsi après avoir traité de l'aliénation du sujet de la Science(et de la tradition) dans la logique du fantasme et "Position de l'Ics" , la séparation est traitée progressivement par Lacan à l'aide du calcul Pascalien (le pari de Pascal, la règle des parties, -Huygens-, et des suites de Fibonacci ( F-suites).

La séparation ainsi décomposée fait suite à la logique des propositions .... ?? et précède les formules de la sexuation (Encore, SXX 1972-1973)

La séparation c'est la fonction de la coupure, de la porte, du dire, elle est produite chez les humain par l'objet a, c'est a qui produit le sujet et non l'inverse ! l'objet a est le dire, c'est la fonction de la vérité (falsidique!, afirmative ou négative). Le signifiant est constitué d'oppositions sans nécessités, contingentes, sans rivalité, c'est un trait de la séparation qui invalide toute chaine de causes, mais non sans logique.
Ainsi peut manquer à dire l'obet a, vide , pure coupure, dans le phallus non marquable, par l'ensemble vide et dans la castration, au delà de la mort. (Réel du NdP / S barré )

Le dire : entre ordre, impératif et aboiement ! La parole c'est la fonction phallique, impérative, objet du prestige, et de la domination territoriale, porte du territoire territorial et imaginaire, phallus symbolique. Ainsi les animaux parlent (ce qui chatouille l'épiderme des éthologistes et de la SPA), Saint François d'Assises en témoigne avant le Séminaire IX de Lacan sur l'Identification en 1961-1962.

Ainsi le calcul de a est-il l'objet mis en jeu dans le calcul pascalien et la suite de Fibonacci
L'hystérique s'intéresse au prédécesseur (en celà il il y a de l'hystérie dans la psychanalyse !)

L'étude des suites de Fibonacci est un Réel des Nombres qui révèle des relations impératives entre ceux-ci !
(tout comme le triangle arithmétique!)

Impossible d'y percevoir quelque chose sans passer par l'Acte de calcul des suites (d'un cetain nombre de ces suites), les recalculer pour "soi" ! s'y éprouver !
Il est sûr que les petits malins utiliserons les résultats ou mieux une formule, un algorythme , et très certainement la programmation d'une machine,
ce qui permet justement d'éviter d'éprouver la rigueur de ces calculs ( et donc nos erreurs, ou notre agilité et la régularité des résultats ...)

 

 

La suite de Fibonacci : dans l'ensemble N (nombres entiers)

0, 1, 1, 2, 3, 5, 8, 13, 21, 34, 55, 89, 134 ...... infini
nous avons : 1 = 0 + 1, 1 = 1 + 0, 2 = 1 + 1, 3 = 2 + 1

Le principe en est : un nombre quelconque de la suite se décompose en la somme des 2 nombres précédents .

Suite semi-ouverte (point de butée à 0 et ouverte vers l'infini )

Il suffit de 2 nombres entiers quelconques pour ordonner une suite de Fibonacci : ex : 5 et 9
soit : 5, 9, 14, 23, 37, 60 .....

Dans la suite le successeur est différent du précédent sauf pour la suite triviale 0, 0, 0, 0

la suite peut être ouverte des 2 côté dans l'ensemble Z (entiers relatifs décimaux)

 

 

F-suites : dans l'ensemble Z (entier relatif décimaux)

où l 'on voit que l'Homme (Hétéro) court après la Femme (Homo ou fétichiste (congrue))
où l'on voit qu'entre 2 termes de la suite, il y a un rapport, et que le suite des rapports tend vers le nombre d'or (R-suites, suite des rapports)
où l'on voit que les Femmes ne vont pas se comporter comme les suites de Fibonacci
où l'on voit que le désir de l'Homme a toujours un temps de retard par rapport au désir de la Femme
où l'on voit que La femme n'existe pas

 
création des F-suites, des bases 1 à 5 , calcul du nombre de mot de 2 lettres (car il suffit de 2 nombre (lettres) pour créer une suite de Fibonacci  
1--0 (1) 1  
2--0
    110
(4) 2 puissance 2      4 couples de 2 lettres 00, 11, 01, 10  

3--0
    11202210

(9) 3 puissance 2     9 couple de 2 lettres 00,11,22,01,10,02,20,12,21  
4--0
    112310
    220
    332130
(16) 4 puissance 2     16 couples de 2 lettres  

5--0
    11230331404432022410 (1123 .....)
    1342(13) suite sans zéro (hystérique sans idéal )
    

 

 

 

(25) 5 puissance 2     25 couples de 2 lettres  
résultats des dix premiers cas (JMV); et résultats bases 11 à 3711, 12, 13, 14, 15, 16, 17, 18, 19 , 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26 , 37..... base )  
F suites ,