Christianisme, ,

[kʁist],ou (prononcé [ʒezykri] ou [ʒezykrist])
 
 
Christ ou Jésus-Christ
 
 
 
illustration
Cette icône Christ Pantocrator est magnifique par l'éclat qui s'en dégage dû principalement à la couleur du fond jaune or, qui rappelle la royauté. Le Christ, dans son humanité, est vraiment roi car il a conquis son royaume par sa Passion. Cette royauté est signifiée aussi par le mot Pantocrator qui est d'origine grecque et que l'on peut traduire par « Le Souverain universel ». Cet aspect de royauté universelle se lit dans la gravité ou sévérité du regard qui rappelle que le Christ jugera toute l'humanité au jugement dernier car le Père a remis au Christ Jésus tout jugement. Mais cette puissance est tempérée par un signe de bienveillance dans la main droite qui nous bénit. Les deux doigts levés, le majeur et l'index signifient les deux natures divine et humaine unies dans la personne du Verbe, deuxième personne de la sainte Trinité. Ce mystère central de notre foi est symbolisé par les trois autres doigts qui se touchent : une seule Substance en trois Personnes.
De la maint gauche, le Christ Sauveur tient l'Evangile comme s'il voulait le montrer pour nous rappeler que les saintes Ecritures parlent de Lui, et que tout ce qui a été dit de Lui, s'est vérifié. et inversement il est est le garant de la vérité des Evangiles. Il est l'Alpha et l'Omega.
La couleur rouge de sa tunique symbolise sa royauté ou divinité ; Jésus est vraiment Roi de l'univers. Cette royauté a été officiellement proclamée ou rappelée en 1925 par le pape Pie XI par l'encyclique « Quas Primas » et par l'institution de la fête liturgique du Christ Roi fixée au dernier dimanche d'octobre pour la forme extraordinaire du Rite Romain ou le dernier dimanche de l'année liturgique (fin novembre) pour la forme ordinaire. La couleur bleue symbolise son humanité. Il ne faut pas oublier que ce n'est pas en tant que Dieu qu'il viendra juger toute l'humanité mais en tant qu'homme.
La tête du Christ est entourée d'une auréole ou nimbe cruciforme. Les trois lettres grecques OWN, forment un mot qui signifient le Etant ou Celui qui est, d'après la révélation du nom divin faite à Moïse sur l'Horeb avec le buisson ardent qui ne se consumait pas.
Les quatre lettres qui se trouvent en haut à gauche et à droite sont la première et dernière des deux mots qui signifient Jesus Christ en grec.

Cette icône du Christ Pantocrator a été réalisée par les religieuses bénédictines du Mont des Oliviers à Jérusalem.

 
 
 
Définitions :
 

Christ [kʁist] (du grec χριστός / christós) est la traduction du terme hébreu מָשִׁיחַ (mashia'h, dont dérive le nom français « Messie »), signifiant « l’oint [du Seigneur] », c’est-à-dire une personne consacrée par une onction divine. Les deux dernières lettres de Christ (st) ne sont généralement pas muettes ; elles se prononcent habituellement1.

Les chrétiens attribuent ce nom à Jésus de Nazareth, qu'ils désignent par « Jésus-Christ » (souvent abrégé en « J.-C. » quand il s'agit de parler d'une date) ou simplement « le Christ ».

 
 
 
 
 
 
Catholique
Théologie Morale, a pour objet ce que le Catholique doit croire,
Théologie dogmatique, ce que le catholique doit faire.
Droit canonique, organise au for externe la société religieuse.
La Morale Théologique concerne les obligations de conscience au for int
erne.
La théologie morale n’est pas la Philosophie morale ou l’Ethique naturelle (fin naturelle de l’homme) ni la Sociologie ... qui ne se préoccupent pas des fins Surnaturellesmais de la Raison.
 
 
L'Un chez les mystiques chrétiens
La théologie mystique du Pseudo-Denys l'Aréopagite (vers 490, en Syrie) conserve l'idée d'Un au-delà de l'essence mais il l'infléchit dans un sens chrétien : « Toute affirmation reste en deçà de la Cause unique et parfaite de toutes choses, car toute négation demeure en deçà de la transcendance de Celui qui est simplement dépouillé de tout et qui se situe au-delà du Tout »(Théologie mystique, trad. Maurice de Gandillac, 1943, p. 184). Le pseudo-Denys défend la fameuse proposition selon laquelle "tout être est super-être en Dieu" (en latin esse omnium est superesse divinitas) (Hiérarchie céleste, IV, 1). Or cela peut s'entendre de deux façons : soit au sens panthéiste où "Dieu est le même que les choses", soit au sens catholique, défendu par Bernard de Clairvaux, où « Dieu est l'être causal des choses ».
L'Un
Les Séraphins
Les Chérubins
Les Trônes
HIÉRARCHIE
CÉLESTE
Les Dominations
Les Autorités
Les Puissances
Les Principautés
Les Archanges
Les Anges
L'Évêque
Le Prêtre
Le Diacre
HIÉRARCHIE
ECCLÉSIASTIQUE
Les Moines
Les Chrétiens baptisés
Les Catéchumènes
 
Le grand théoricien de la mystique de l'Un est, dans le christianisme, Maître Eckhart (vers 1260-1327). Il distingue la déité et Dieu. La déité, l'Un, c'est l'essence divine absolue, isolée, au-dessus de tout nom, de tout rapport, et dont nous ne pouvons rien affirmer, sinon qu'elle est unité. On ne peut donc en parler qu'en termes de théologie négative : la déité n'est pas ceci... Dieu, au contraire, c'est la déité en tant qu'elle entre en rapport. Pour certains commentateurs, il y aurait deux Eckhart, celui pour qui Dieu est l’Être et celui pour qui Dieu est l’Un, d'autres (comme Hervé Pasqua) tiennent Eckhart pour néoplatonicien.
 
Commentaires :
 
 
 
 
 
Textes :
 
 
 
 
Bibliographie :
 
 
 
 
Iconographie orthodoxe du Christ,
Saint Luc, fiche S,
- Wikipedia, Jesus-Christ,
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